Les opérations de secours menées par les gardes-côtes tunisiens au large des îles Kerkennah, ont permis d'évacuer 570 passagers du chalutier tombé en panne à 20 miles de la côte, alors que 200 personnes étaient portées disparues, indiquent des sources officielles. La disparition d'un aussi grand nombre de personnes est due à la bousculade qui a eu lieu à bord du bateau de pêche qui a chaviré sous le poids des passagers, en plus de cela on citera les mauvaises conditions climatiques et la faiblesse des moyens mobilisés par rapport au nombre de passagers. Au cours de la nuit de mercredi, 193 rescapés ont été transférés au camp de Choucha près de la frontière tuniso-libyenne. Environ 385 autres rescapés étaient attendus, jeudi matin, au port commercial de Sfax pour être évacués vers le même camp de réfugiés. 800 personnes de nationalités africaines et asiatiques étaient bloquées, depuis mardi soir, au large des îles de Kerkennah, dans ce chalutier provenant de la Libye pour tenter d'accéder clandestinement aux côtes Italiennes, rappelle-t-on. Les opérations de secours menées par les gardes-côtes tunisiens au large des îles Kerkennah, ont permis d'évacuer 570 passagers du chalutier tombé en panne à 20 miles de la côte, alors que 200 personnes étaient portées disparues, indiquent des sources officielles. La disparition d'un aussi grand nombre de personnes est due à la bousculade qui a eu lieu à bord du bateau de pêche qui a chaviré sous le poids des passagers, en plus de cela on citera les mauvaises conditions climatiques et la faiblesse des moyens mobilisés par rapport au nombre de passagers. Au cours de la nuit de mercredi, 193 rescapés ont été transférés au camp de Choucha près de la frontière tuniso-libyenne. Environ 385 autres rescapés étaient attendus, jeudi matin, au port commercial de Sfax pour être évacués vers le même camp de réfugiés. 800 personnes de nationalités africaines et asiatiques étaient bloquées, depuis mardi soir, au large des îles de Kerkennah, dans ce chalutier provenant de la Libye pour tenter d'accéder clandestinement aux côtes Italiennes, rappelle-t-on.