La situation qui prévaut en Libye a été abordée par le Secrétaire général du FLN qui a réitéré une fois encore, l'opposition de son parti et celle de l'Algérie de toute ingérence étrangère dans ce pays voisin. "Nous refusons toute ingérence étrangère et nous estimons que les mesures adoptées, à ce jour, ne vont pas dans ce sens. Aussi, nous craignons que ce qui se passe en Libye soit un épisode d'une longue série qui a commencé au Soudan et que seuls les auteurs de ce plan horrible savent où il s'arrêtera" a, en effet, indiqué, hier, Abdelaziz Belkhadem dans son allocution à l'ouverture des travaux de la 4ème session du Comité central du FLN. Il a assimilé à ce que ce qui se passe dans certains pays arabes à un nouveau "Sykes Picot" en référence aux accords de 1916 entre la France et la Grande-Bretagne à travers lesquels, ils se sont partagés les pays arabe du Moyen- Orient. II a accusé les pays occidentaux d'avoir alimenté davantage les germes de la discorde en sabordant toutes les solutions pacifiques. Belkhadem a aussi pointé un doigt accusateur en direction du Conseil de coopération du Golfe (CCG) et "son étrange invitation à l'adhésion du Maroc" qui a pour objectif "de détourner l'Algérie de ce qui se passe dans ses frontières est, mais les Algériens ne vont pas oublier leurs frères libyens." La situation qui prévaut en Libye a été abordée par le Secrétaire général du FLN qui a réitéré une fois encore, l'opposition de son parti et celle de l'Algérie de toute ingérence étrangère dans ce pays voisin. "Nous refusons toute ingérence étrangère et nous estimons que les mesures adoptées, à ce jour, ne vont pas dans ce sens. Aussi, nous craignons que ce qui se passe en Libye soit un épisode d'une longue série qui a commencé au Soudan et que seuls les auteurs de ce plan horrible savent où il s'arrêtera" a, en effet, indiqué, hier, Abdelaziz Belkhadem dans son allocution à l'ouverture des travaux de la 4ème session du Comité central du FLN. Il a assimilé à ce que ce qui se passe dans certains pays arabes à un nouveau "Sykes Picot" en référence aux accords de 1916 entre la France et la Grande-Bretagne à travers lesquels, ils se sont partagés les pays arabe du Moyen- Orient. II a accusé les pays occidentaux d'avoir alimenté davantage les germes de la discorde en sabordant toutes les solutions pacifiques. Belkhadem a aussi pointé un doigt accusateur en direction du Conseil de coopération du Golfe (CCG) et "son étrange invitation à l'adhésion du Maroc" qui a pour objectif "de détourner l'Algérie de ce qui se passe dans ses frontières est, mais les Algériens ne vont pas oublier leurs frères libyens."