Les gendarmes de la Section de recherches du Groupement de Blida ont présenté, dimanche dernier, devant le Parquet d'El-Affroun deux employés au bureau de Postes de Oued El-Alayeg pour notamment "vol, faux et usage de faux, falsification de documents administratifs et usurpation de fonction". Il s'agit d'un receveur, âgé de 39 ans, répondant aux initiales de M. A. ainsi qu'un autre employé, H.A., âgé de 44 ans, qui ont été placés sous contrôle judiciaire. Les faits remontent quand une de leur victime, qui serait probablement la première, s'est dirigée vers ledit bureau pour procéder à un retrait d'argent avec sa carte magnétique. Profitant de l'ignorance de leurs "clients", l'un des deux mis en cause a prétendu que ladite carte magnétique ne fonctionnait pas et nécessitait une réparation, explique le 1er Commandement régional de la Gendarmerie nationale de Blida. Pour ce faire, la victime, âgée de 37 ans et répondant aux initiales de L..M., a naïvement déposé sa carte et est revenu, le lendemain pour la récupérer et retirer son argent afin de de retirer un peu d'argent. Mais, indique notre source, "il n'y aucune preuve que la victime a déposé sa carte magnétique". Alors, a-t-elle fait remarquer, "ce retrait est synonyme d'un retrait d'une nouvelle carte et non pas d'une carte dans laquelle il y a une somme d'argent". D'ailleurs, la victime a, après avoir retiré une somme de 20.000DA, constaté que 10.000DA ont disparu de son compte. Réalisent qu'elle s'est faite arnaquée, la victime s'est dirigée vers le siège de la Gendarmerie nationale de Blida et a déposé plainte. Les investigations minutieuses des enquêteurs de la gendarmerie ont conduit à la découverte des deux mis en cause et ont même signé avec de fausses signatures, au nom de la victime, pour ledit retrait. En outre, il s'est avéré qu'ils ont également obtenu le code confidentiel de la victime, pour vraisemblablement une autre arnaque dans l'intention de commettaient d'autres actes durant la pause déjeuner. Après avoir nié leur acte, les deux mis en cause ont, devant les preuves formelles et sous la pression de l'interrogatoire, ont reconnu leurs actes. C'est dire que cette affaire, résolue, doit attirer l'attention des autres usagers de la carte magnétique afin que ce scénario ne se réédite plus. Les gendarmes de la Section de recherches du Groupement de Blida ont présenté, dimanche dernier, devant le Parquet d'El-Affroun deux employés au bureau de Postes de Oued El-Alayeg pour notamment "vol, faux et usage de faux, falsification de documents administratifs et usurpation de fonction". Il s'agit d'un receveur, âgé de 39 ans, répondant aux initiales de M. A. ainsi qu'un autre employé, H.A., âgé de 44 ans, qui ont été placés sous contrôle judiciaire. Les faits remontent quand une de leur victime, qui serait probablement la première, s'est dirigée vers ledit bureau pour procéder à un retrait d'argent avec sa carte magnétique. Profitant de l'ignorance de leurs "clients", l'un des deux mis en cause a prétendu que ladite carte magnétique ne fonctionnait pas et nécessitait une réparation, explique le 1er Commandement régional de la Gendarmerie nationale de Blida. Pour ce faire, la victime, âgée de 37 ans et répondant aux initiales de L..M., a naïvement déposé sa carte et est revenu, le lendemain pour la récupérer et retirer son argent afin de de retirer un peu d'argent. Mais, indique notre source, "il n'y aucune preuve que la victime a déposé sa carte magnétique". Alors, a-t-elle fait remarquer, "ce retrait est synonyme d'un retrait d'une nouvelle carte et non pas d'une carte dans laquelle il y a une somme d'argent". D'ailleurs, la victime a, après avoir retiré une somme de 20.000DA, constaté que 10.000DA ont disparu de son compte. Réalisent qu'elle s'est faite arnaquée, la victime s'est dirigée vers le siège de la Gendarmerie nationale de Blida et a déposé plainte. Les investigations minutieuses des enquêteurs de la gendarmerie ont conduit à la découverte des deux mis en cause et ont même signé avec de fausses signatures, au nom de la victime, pour ledit retrait. En outre, il s'est avéré qu'ils ont également obtenu le code confidentiel de la victime, pour vraisemblablement une autre arnaque dans l'intention de commettaient d'autres actes durant la pause déjeuner. Après avoir nié leur acte, les deux mis en cause ont, devant les preuves formelles et sous la pression de l'interrogatoire, ont reconnu leurs actes. C'est dire que cette affaire, résolue, doit attirer l'attention des autres usagers de la carte magnétique afin que ce scénario ne se réédite plus.