Abdelhamid Mehri a finalement accepté l'invitation de l'Instance de consultations sur les réformes politiques initiées par le président de la République. Dans une lettre laconique adressée au président de ladite Instance, Abdelkader Bensalah, l'ex-Secrétaire général du FLN a expliqué que cette rencontre «est une occasion d'enrichir le débat» sur les réformes politiques «décisives pour l'avenir du pays». Tout en soulignant se «réserves» concernant la mission de consultations sur mes réformes confiée au président du Conseil de la nation, Abdelhamid Mehri s'est dit accepter l'invitation dans le souci «d'expliciter le contenu de la lettre ouverte adressée au chef de l'Etat relatives aux réformes et la demande de changement voulu par le peuple algérien». En attendant de fixer la date de la rencontre avec l'Instance de consultations sur les réformes politiques, Mehri a émis le souhait de voir ses propositions réunir «le consensus parmi toutes les bonnes volontés». Pour rappel, Abdelhamid Mehri avait adressé une longue lettre au président de la République en février dernier, où il avait exposé en détail ses propositions pour un changement politique en Algérie. L'auteur de la missive avait réclamé la mise en place d'un régime réellement démocratique et laisser le peuple algérien relever ce défi. «De ce qui précède, il apparaît que la question centrale qui exige un effort national global et organisé est celle de la mise en place d'un régime réellement démocratique, capable de résoudre les problèmes du pays et de le préparer à relever les défis de l'avenir. Un régime démocratique qui libère les larges catégories sociales du cercle de l'exclusion et de la marginalisation pour les faire entrer dans une citoyenneté responsable et active. Il en découle également que le changement ne viendra pas d'une décision du sommet, isolée du mouvement de la société et de ses interactions. Il est, au contraire, nécessaire de faire mûrir le processus de changement et de le consolider par les initiatives multiplies provenant, en toute liberté, des différentes catégories de la société.», avait-il écrit dans sa lettre. "Cependant, le changement, selon l'ex-SG du FLN, devra s'effectuer dans la paix et la sérénité, dans la perspective d'éviter au pays et au peuple algérien de replonger dans le chaos dont il vient à peine de s'extirper." Abdelhamid Mehri a finalement accepté l'invitation de l'Instance de consultations sur les réformes politiques initiées par le président de la République. Dans une lettre laconique adressée au président de ladite Instance, Abdelkader Bensalah, l'ex-Secrétaire général du FLN a expliqué que cette rencontre «est une occasion d'enrichir le débat» sur les réformes politiques «décisives pour l'avenir du pays». Tout en soulignant se «réserves» concernant la mission de consultations sur mes réformes confiée au président du Conseil de la nation, Abdelhamid Mehri s'est dit accepter l'invitation dans le souci «d'expliciter le contenu de la lettre ouverte adressée au chef de l'Etat relatives aux réformes et la demande de changement voulu par le peuple algérien». En attendant de fixer la date de la rencontre avec l'Instance de consultations sur les réformes politiques, Mehri a émis le souhait de voir ses propositions réunir «le consensus parmi toutes les bonnes volontés». Pour rappel, Abdelhamid Mehri avait adressé une longue lettre au président de la République en février dernier, où il avait exposé en détail ses propositions pour un changement politique en Algérie. L'auteur de la missive avait réclamé la mise en place d'un régime réellement démocratique et laisser le peuple algérien relever ce défi. «De ce qui précède, il apparaît que la question centrale qui exige un effort national global et organisé est celle de la mise en place d'un régime réellement démocratique, capable de résoudre les problèmes du pays et de le préparer à relever les défis de l'avenir. Un régime démocratique qui libère les larges catégories sociales du cercle de l'exclusion et de la marginalisation pour les faire entrer dans une citoyenneté responsable et active. Il en découle également que le changement ne viendra pas d'une décision du sommet, isolée du mouvement de la société et de ses interactions. Il est, au contraire, nécessaire de faire mûrir le processus de changement et de le consolider par les initiatives multiplies provenant, en toute liberté, des différentes catégories de la société.», avait-il écrit dans sa lettre. "Cependant, le changement, selon l'ex-SG du FLN, devra s'effectuer dans la paix et la sérénité, dans la perspective d'éviter au pays et au peuple algérien de replonger dans le chaos dont il vient à peine de s'extirper."