Décrocher le bac est pour les deux mille candidats des centre pénitentiaires est plus qu'un rêve puisque sa réalisation est synonyme de renaissance et de liberté. Ces derniers, se sont présenté, hier, aux épreuves du baccalauréat, répartis à travers 32 établissements pénitentiaires accrédités par l'Office national des examens et concours. Les examens des détenus des établissements pénitentiaires se sont déroulés sous la supervision et l'encadrement du ministère de l'Education nationale. Pour les prisonniers qui ont eu la chance de passer le baccalauréat de l'enseignement secondaire, décrocher ce sésame a toujours été synonyme d'espoir pour une éventuelle remise de peine ou, mieux, d'une grâce présidentielle qui donnerait un sens à leur initiative arrachée de derrière les barreaux. En effet, ceux qui vont réussir vont probablement bénéficier d'une grâce présidentielle, ou au moins d'une réduction de peine, mais aussi d'une liberté conditionnelle ou d'une permission pour passer quelques jours parmi les siens, a souligné Ali Benaïssa, sous-directeur de la formation des détenus à la direction générale de l'administration pénitentiaire. Il a relevé que l'administration pénitentiaire a mis à la disposition des détenus «tous les moyens et conditions» pour les encourager et les aider à poursuivre les cours et se préparer aux examens de fin de l'année. Il faut noter par ailleurs que l'administration pénitentiaire est assistée dans cette tâche par le ministère de l'Education nationale et l'Office national de l'enseignement à distance. Décrocher le bac est pour les deux mille candidats des centre pénitentiaires est plus qu'un rêve puisque sa réalisation est synonyme de renaissance et de liberté. Ces derniers, se sont présenté, hier, aux épreuves du baccalauréat, répartis à travers 32 établissements pénitentiaires accrédités par l'Office national des examens et concours. Les examens des détenus des établissements pénitentiaires se sont déroulés sous la supervision et l'encadrement du ministère de l'Education nationale. Pour les prisonniers qui ont eu la chance de passer le baccalauréat de l'enseignement secondaire, décrocher ce sésame a toujours été synonyme d'espoir pour une éventuelle remise de peine ou, mieux, d'une grâce présidentielle qui donnerait un sens à leur initiative arrachée de derrière les barreaux. En effet, ceux qui vont réussir vont probablement bénéficier d'une grâce présidentielle, ou au moins d'une réduction de peine, mais aussi d'une liberté conditionnelle ou d'une permission pour passer quelques jours parmi les siens, a souligné Ali Benaïssa, sous-directeur de la formation des détenus à la direction générale de l'administration pénitentiaire. Il a relevé que l'administration pénitentiaire a mis à la disposition des détenus «tous les moyens et conditions» pour les encourager et les aider à poursuivre les cours et se préparer aux examens de fin de l'année. Il faut noter par ailleurs que l'administration pénitentiaire est assistée dans cette tâche par le ministère de l'Education nationale et l'Office national de l'enseignement à distance.