Le Comité central (CC) du FLN sera, de nouveau, convoqué pour une session au mois de juillet prochain. En effet, cette session, qui sera extraordinaire, se tiendra le 23 juillet, avons-nous appris hier auprès de Kaca Aïssi membre du bureau politique chargé de la communication et de l'information au sein du parti. «Cette session sera consacrée à l'examen de toutes les questions encore pendantes au parti qu'elles soient d'ordre politique ou organique» a indiqué notre interlocuteur. C'est le bureau politique du FLN, lors de sa réunion d'avant-hier, qui a entériné cette décision de convoquer la plus haute instance du parti entre deux congrès qui s'est déjà réuni, pour rappel, en session ordinaire les 4, 5 et 6 juin. Selon Kaca Aïssi, contacté hier, le bureau politique a passé en revue de nombreuses questions et le secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem, a présenté devant cette instance exécutive le compte-rendu de sa rencontre avec les membres de l'Instance de consultations sur les réformes politiques. Belkhadem accompagné d'une délégation du BP, a présenté aux membres de l'instance que préside Abdelkader Bensalah les propositions du FLN concernant les réformes politiques que comptent initier le Président Abdelaziz Bouteflika , des propositions qui restent toutefois tronquées puisque le vieux parti n'a pas encore définitivement tranché sur de nombreuses questions. Lors de la quatrième session du CC, qui s'est tenue au début du mois en cours, les membres de cette instance n'ont pu, en effet, se déterminer par exemple sur la question de la limitation ou non du nombre des mandats du président de la république. Si les uns étaient pour la limitation à deux mandats, d'autres étaient contre et favorisaient l'option ouverte. Belkhadem partisan de la non-limitation du nombre des mandats a, dans ce cadre précisé, que «c'est au peuple et à lui seul que revient le choix». C'est donc une question qui sera probablement soumise une fois encore aux membres du CC le 23 juillet prochain. Comme il sera certainement aussi question lors de ce conclave extraordinaire de la question du «Mouvement de redressement et d'authenticité» qui est entré en dissidence ouverte avec la direction actuelle du parti et qui boycotte les sessions du CC. II n'est d'ailleurs pas exclu que les membres du CC qui font partie de ce mouvement, appelé communément les «redresseurs», assistent à ce rendez-vous. C'et en tout cas ce qu'espère Belkhadem et ce, en vue de régler toutes les questions litigieuses. Il faut dire que Belkhadem a fait un premier pas en direction de «redresseurs» lorsqu'il s'est rendu au domicile de Salah Goudjil, le coordinateur national du Mouvement de redressement, le vendredi dernier en vue de trouver des solutions à cette crise grave interne. Les «redresseurs» demandent, grosso modo, l'assainissement de rangs du Comité central, dont des dizaines de membres avaient soutenu il y a quelques jours Salah Goudjil, ne répondent pas aux critères explicitement énoncés dans le règlement intérieur et les statuts du parti. En somme ils ne peuvent pas siéger au CC. Cette crise, pour laquelle de efforts sont déployés pour la circonscrire et favoriser la réconciliation interne, menace d'hypothéquer les chances du parti lors des élections de 2012, ce d'autant que «les redresseur» n'excluent pas d'y participer avec leurs propres listes. D'où, c'est évident, la volonté affichée par Belkhadem de résoudre, au plus vite, cette crise interne. Belkhadem aura certainement à évoquer cette question devant les cadres et militants lors des quatre rencontres régionales qui se tiendront à partir du 17 de ce mois. Ce jour-là, il présidera à Constantine une rencontre de l'est du pays qui sera suivie le 18 d'une autre rencontre régionale à Mascara, une autre le 24 juin à Alger et, enfin, la dernière rencontre aura lieu à Ghardaïa le 25 juin. Le Comité central (CC) du FLN sera, de nouveau, convoqué pour une session au mois de juillet prochain. En effet, cette session, qui sera extraordinaire, se tiendra le 23 juillet, avons-nous appris hier auprès de Kaca Aïssi membre du bureau politique chargé de la communication et de l'information au sein du parti. «Cette session sera consacrée à l'examen de toutes les questions encore pendantes au parti qu'elles soient d'ordre politique ou organique» a indiqué notre interlocuteur. C'est le bureau politique du FLN, lors de sa réunion d'avant-hier, qui a entériné cette décision de convoquer la plus haute instance du parti entre deux congrès qui s'est déjà réuni, pour rappel, en session ordinaire les 4, 5 et 6 juin. Selon Kaca Aïssi, contacté hier, le bureau politique a passé en revue de nombreuses questions et le secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem, a présenté devant cette instance exécutive le compte-rendu de sa rencontre avec les membres de l'Instance de consultations sur les réformes politiques. Belkhadem accompagné d'une délégation du BP, a présenté aux membres de l'instance que préside Abdelkader Bensalah les propositions du FLN concernant les réformes politiques que comptent initier le Président Abdelaziz Bouteflika , des propositions qui restent toutefois tronquées puisque le vieux parti n'a pas encore définitivement tranché sur de nombreuses questions. Lors de la quatrième session du CC, qui s'est tenue au début du mois en cours, les membres de cette instance n'ont pu, en effet, se déterminer par exemple sur la question de la limitation ou non du nombre des mandats du président de la république. Si les uns étaient pour la limitation à deux mandats, d'autres étaient contre et favorisaient l'option ouverte. Belkhadem partisan de la non-limitation du nombre des mandats a, dans ce cadre précisé, que «c'est au peuple et à lui seul que revient le choix». C'est donc une question qui sera probablement soumise une fois encore aux membres du CC le 23 juillet prochain. Comme il sera certainement aussi question lors de ce conclave extraordinaire de la question du «Mouvement de redressement et d'authenticité» qui est entré en dissidence ouverte avec la direction actuelle du parti et qui boycotte les sessions du CC. II n'est d'ailleurs pas exclu que les membres du CC qui font partie de ce mouvement, appelé communément les «redresseurs», assistent à ce rendez-vous. C'et en tout cas ce qu'espère Belkhadem et ce, en vue de régler toutes les questions litigieuses. Il faut dire que Belkhadem a fait un premier pas en direction de «redresseurs» lorsqu'il s'est rendu au domicile de Salah Goudjil, le coordinateur national du Mouvement de redressement, le vendredi dernier en vue de trouver des solutions à cette crise grave interne. Les «redresseurs» demandent, grosso modo, l'assainissement de rangs du Comité central, dont des dizaines de membres avaient soutenu il y a quelques jours Salah Goudjil, ne répondent pas aux critères explicitement énoncés dans le règlement intérieur et les statuts du parti. En somme ils ne peuvent pas siéger au CC. Cette crise, pour laquelle de efforts sont déployés pour la circonscrire et favoriser la réconciliation interne, menace d'hypothéquer les chances du parti lors des élections de 2012, ce d'autant que «les redresseur» n'excluent pas d'y participer avec leurs propres listes. D'où, c'est évident, la volonté affichée par Belkhadem de résoudre, au plus vite, cette crise interne. Belkhadem aura certainement à évoquer cette question devant les cadres et militants lors des quatre rencontres régionales qui se tiendront à partir du 17 de ce mois. Ce jour-là, il présidera à Constantine une rencontre de l'est du pays qui sera suivie le 18 d'une autre rencontre régionale à Mascara, une autre le 24 juin à Alger et, enfin, la dernière rencontre aura lieu à Ghardaïa le 25 juin.