La machine de lutte contre le commerce informel, relancée par les pouvoirs publics récemment, après une brève «récréation» suite à la révolte de l'«huile et du sucre» ; ne connaîtra pas une autre «trêve». C'est d'ailleurs ce qu'a fait entendre le directeur de la sécurité publique de la Sûreté nationale, le commissaire divisionnaire Aïssa Naïli. Exposant son plan d'action, hier à l'Ecole de police de Château-neuf à Alger, quant au «plan Azur» de la saison estivale 2011 ; M. Naili a déclaré que «pour ce qui est du maintien de l'ordre public, nous allons renforcer notre présence sut le terrain, à savoir les patrouilles pédestres notamment celles en civil (…) la lutte contre le commerce informel …». Interrogé par Midi Libre sur une probable récréation après la saison estivale, le commissaire divisionnaire a indiqué que «le commerce informel est un phénomène existant que les autorités compétentes sont en train d'étudier afin de l'éradiquer définitivement. Nous savons tous que les vendeurs ambulants nuisent à la circulation routière et à l'architecture urbaine». Sur un autre plan, le chef de la Sûreté d'Alger, le commissaire divisionnaire, Hadj Serrir Mohamed a, de son côté, tenu à souligner que la rencontre avec les responsables de la Sûreté nationale avec la presse est «une occasion pour rassurer les citoyens quant à la sécurisation de la capitale notamment dans le cadre du plan Azur». D'ailleurs, a-t-il annoncé, «un cordon sécuritaire, composé de 5.000 agents de police, en plus de ceux déjà installés, notamment les patrouilles pédestres, sera mis en place sur tous les points donnant accès à la capitale» avec le lancement du «plan Azur». Au cours de leur présentation, les deux intervenants ont indiqué que les sites touristiques, les lieux de loisir et de détente, les manifestations culturelles et sportives ainsi que les plages, même celles non autorisées à la baignade, seront sous le contrôle minutieux des éléments de la police. Il convient de noter, sur ce dernier point, que 80.000 policiers, sur l'ensemble du territoire national, seront mobilisés pour que les nationaux et autres touristes puissent passer d'agréables vacances en toute sérénité. Aussi, pas moins de 40.000 éléments sillonneront les villes côtières alors que 1.300 postes de police seront installés afin de répondre aux préoccupations légitimes de sécurités du touriste algérien notamment étranger. La machine de lutte contre le commerce informel, relancée par les pouvoirs publics récemment, après une brève «récréation» suite à la révolte de l'«huile et du sucre» ; ne connaîtra pas une autre «trêve». C'est d'ailleurs ce qu'a fait entendre le directeur de la sécurité publique de la Sûreté nationale, le commissaire divisionnaire Aïssa Naïli. Exposant son plan d'action, hier à l'Ecole de police de Château-neuf à Alger, quant au «plan Azur» de la saison estivale 2011 ; M. Naili a déclaré que «pour ce qui est du maintien de l'ordre public, nous allons renforcer notre présence sut le terrain, à savoir les patrouilles pédestres notamment celles en civil (…) la lutte contre le commerce informel …». Interrogé par Midi Libre sur une probable récréation après la saison estivale, le commissaire divisionnaire a indiqué que «le commerce informel est un phénomène existant que les autorités compétentes sont en train d'étudier afin de l'éradiquer définitivement. Nous savons tous que les vendeurs ambulants nuisent à la circulation routière et à l'architecture urbaine». Sur un autre plan, le chef de la Sûreté d'Alger, le commissaire divisionnaire, Hadj Serrir Mohamed a, de son côté, tenu à souligner que la rencontre avec les responsables de la Sûreté nationale avec la presse est «une occasion pour rassurer les citoyens quant à la sécurisation de la capitale notamment dans le cadre du plan Azur». D'ailleurs, a-t-il annoncé, «un cordon sécuritaire, composé de 5.000 agents de police, en plus de ceux déjà installés, notamment les patrouilles pédestres, sera mis en place sur tous les points donnant accès à la capitale» avec le lancement du «plan Azur». Au cours de leur présentation, les deux intervenants ont indiqué que les sites touristiques, les lieux de loisir et de détente, les manifestations culturelles et sportives ainsi que les plages, même celles non autorisées à la baignade, seront sous le contrôle minutieux des éléments de la police. Il convient de noter, sur ce dernier point, que 80.000 policiers, sur l'ensemble du territoire national, seront mobilisés pour que les nationaux et autres touristes puissent passer d'agréables vacances en toute sérénité. Aussi, pas moins de 40.000 éléments sillonneront les villes côtières alors que 1.300 postes de police seront installés afin de répondre aux préoccupations légitimes de sécurités du touriste algérien notamment étranger.