Une atmosphère festive, souvent envoûtante, marquée par la présence d‘un public aussi nombreux qu‘enthousiaste, a marqué dans la soirée de lundi à la maison de la culture de Mila, la clôture du 6e festival national culturel des Aïssaoua. La soirée de clôture de cette manifestation qui aura été, d‘un avis général, une réussite, a été "confiée" à la formation constantinoise Er-Rachidia, conduite par Cheikh Bouabid, dont les trente membres ont su "transporter" le public par leur verve dans l‘exécution des chants aïssaoua, dit de transe (tehoual), dans la plus pure tradition de la cité de Sidi-Rached. Selon un spectateur, féru de ce festival depuis sa création, la salle de spectacles de la Maison de la culture Moubarek El-Mili, prise d‘assaut par de nombreuses familles, n‘a jamais vécu une telle ambiance mêlant allégresse, mysticisme et félicité. La soirée a donné lieu à un hommage appuyé aux troupes participantes, à des représentants de la presse, mais aussi au public dont la présence en force n‘est pas étrangère au succès de la manifestation. C‘est à M. Allaoua Achouri, un animateur de la scène culturelle locale, spectateur "impénitent" du festival qu‘échut l‘honneur de recevoir des mains des autorités une distinction destinée, en fait, à toute l‘assistance. Le wali de Mila n‘était visiblement pas le moins heureux des spectateurs en déclarant que le succès du 6è festival national aïssaoua "démontre les grandes possibilités de la wilaya et incite ses responsables à aller encore de l‘avant pour promouvoir la vie culturelle". De son côté, le commissaire du festival, M. Mohamed Zetili, a rendu hommage à "tous ceux qui ont participé, de près ou de loin, à la réussite de cette manifestation" qui a permis, a-t-il estimé, de "consacrer les valeurs de la culture algérienne authentique". Un jeune spectateur, Hichem (25 ans), universitaire, soulignant qu‘il aurait "souhaité que le festival ne s‘arrête jamais", a considéré que cet événement culturel, outre qu‘il a permis aux familles de la région et aux jeunes Miléviens de passer des moments "magiques", a réussi à "réconcilier le public avec sa culture ancestrale et authentique". La 6è édition du festival national culturel des Aïssaoua a donné lieu, sept jours durant, à des spectacles présentés par une vingtaine de troupes, dont une de Tunisie, et cinq groupes folkloriques, en plus de l‘animation de conférences consacrées à la confrérie des Aïssaoua en Algérie. Une atmosphère festive, souvent envoûtante, marquée par la présence d‘un public aussi nombreux qu‘enthousiaste, a marqué dans la soirée de lundi à la maison de la culture de Mila, la clôture du 6e festival national culturel des Aïssaoua. La soirée de clôture de cette manifestation qui aura été, d‘un avis général, une réussite, a été "confiée" à la formation constantinoise Er-Rachidia, conduite par Cheikh Bouabid, dont les trente membres ont su "transporter" le public par leur verve dans l‘exécution des chants aïssaoua, dit de transe (tehoual), dans la plus pure tradition de la cité de Sidi-Rached. Selon un spectateur, féru de ce festival depuis sa création, la salle de spectacles de la Maison de la culture Moubarek El-Mili, prise d‘assaut par de nombreuses familles, n‘a jamais vécu une telle ambiance mêlant allégresse, mysticisme et félicité. La soirée a donné lieu à un hommage appuyé aux troupes participantes, à des représentants de la presse, mais aussi au public dont la présence en force n‘est pas étrangère au succès de la manifestation. C‘est à M. Allaoua Achouri, un animateur de la scène culturelle locale, spectateur "impénitent" du festival qu‘échut l‘honneur de recevoir des mains des autorités une distinction destinée, en fait, à toute l‘assistance. Le wali de Mila n‘était visiblement pas le moins heureux des spectateurs en déclarant que le succès du 6è festival national aïssaoua "démontre les grandes possibilités de la wilaya et incite ses responsables à aller encore de l‘avant pour promouvoir la vie culturelle". De son côté, le commissaire du festival, M. Mohamed Zetili, a rendu hommage à "tous ceux qui ont participé, de près ou de loin, à la réussite de cette manifestation" qui a permis, a-t-il estimé, de "consacrer les valeurs de la culture algérienne authentique". Un jeune spectateur, Hichem (25 ans), universitaire, soulignant qu‘il aurait "souhaité que le festival ne s‘arrête jamais", a considéré que cet événement culturel, outre qu‘il a permis aux familles de la région et aux jeunes Miléviens de passer des moments "magiques", a réussi à "réconcilier le public avec sa culture ancestrale et authentique". La 6è édition du festival national culturel des Aïssaoua a donné lieu, sept jours durant, à des spectacles présentés par une vingtaine de troupes, dont une de Tunisie, et cinq groupes folkloriques, en plus de l‘animation de conférences consacrées à la confrérie des Aïssaoua en Algérie.