Le romancier Yasmina Khadra, vient d'être distingué par l'Académie française qui lui a décerné le Grand prix de littérature Henri-Gal, Prix de l'Institut de France, pour récompenser l'ensemble de ses œuvres. C'est la deuxième fois que ce romancier algérien est récompensé par cette institution qui lui avait décerné en 2001 la Médaille de Vermeil. "Ce prix d'Académie me rassure et me réconforte dans ma vocation d'écrivain" a déclaré hier Yasmina Khadra à l'APS, soulignant que "c'est la preuve qu'il y a toujours une justice dans ce monde". Ecrivain inlassable, humaniste en quête de vérité, Yasmina Khadra, de son vrai nom Mohammed Moulessehoul, dont le succès littéraire ne se dément jamais, a souvent pris pour cible, dans ses romans, avec une plume subtile, le dialogue de sourds opposant l'Occident au Monde arabe, la bêtise humaine, la culture de la violence et l'intolérance. Les hirondelles de Kaboul (2002), sur l'Afghanistan Attentat Sur la descente aux enfers d'une Palestinienne entraînée vers le terrorisme, (2005), Les sirènes de Bagdad, sur la guerre d'Irak (2006) dépeignent un voyage initiatique dans la violence qui secoue l'Orient et que seul le lyrisme poétique de l'auteur a la faculté de décrire au lecteur par des images insoutenables, mais qui restent belles dans leur atrocité. L'Attentat a obtenu le Prix Découverte Figaro Magazine fouquet's, le Prix des libraires 2006. Le Grand Prix des Lycéens, et le Grand Prix des Lectrices, côté Femmes. Parmi les livres les plus récents de ce romancier,, traduit dans une quarantaine de pays, il y a lieu de citer également : Ce que le jour doit à la nuit (2008) et L'Olympe des infortunes (2010). Le romancier Yasmina Khadra, vient d'être distingué par l'Académie française qui lui a décerné le Grand prix de littérature Henri-Gal, Prix de l'Institut de France, pour récompenser l'ensemble de ses œuvres. C'est la deuxième fois que ce romancier algérien est récompensé par cette institution qui lui avait décerné en 2001 la Médaille de Vermeil. "Ce prix d'Académie me rassure et me réconforte dans ma vocation d'écrivain" a déclaré hier Yasmina Khadra à l'APS, soulignant que "c'est la preuve qu'il y a toujours une justice dans ce monde". Ecrivain inlassable, humaniste en quête de vérité, Yasmina Khadra, de son vrai nom Mohammed Moulessehoul, dont le succès littéraire ne se dément jamais, a souvent pris pour cible, dans ses romans, avec une plume subtile, le dialogue de sourds opposant l'Occident au Monde arabe, la bêtise humaine, la culture de la violence et l'intolérance. Les hirondelles de Kaboul (2002), sur l'Afghanistan Attentat Sur la descente aux enfers d'une Palestinienne entraînée vers le terrorisme, (2005), Les sirènes de Bagdad, sur la guerre d'Irak (2006) dépeignent un voyage initiatique dans la violence qui secoue l'Orient et que seul le lyrisme poétique de l'auteur a la faculté de décrire au lecteur par des images insoutenables, mais qui restent belles dans leur atrocité. L'Attentat a obtenu le Prix Découverte Figaro Magazine fouquet's, le Prix des libraires 2006. Le Grand Prix des Lycéens, et le Grand Prix des Lectrices, côté Femmes. Parmi les livres les plus récents de ce romancier,, traduit dans une quarantaine de pays, il y a lieu de citer également : Ce que le jour doit à la nuit (2008) et L'Olympe des infortunes (2010).