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«De nombreux projets de création d'entreprises en voie de gestation» Yasmina Ziari, professeur et consultante de SEVE, encourage l'entreprenariat féminin
«Il faut absolument une symbiose entre l'Université et les entreprises industrielles afin de favoriser la recherche-développement et les échanges», a, notamment, déclaré, avant-hier, Yasmina Ziari, maître de conférences et consultante de l'association des femmes algériennes chefs d'entreprises SEVE (Savoir et vouloir entreprendre) à la salle polyvalente de l'Université des sciences et des technologies Houari Boumediene (USTHB) de Bab Ezzouar, lors du forum de sensibilisation sur l'entreprenariat et le dispositif de l'ANSEJ (Agence nationale de soutien à l'emploi des jeunes), en collaboration avec l'observatoire de l'insertion des diplômés de l'USTHB. «Il faut absolument une symbiose entre l'Université et les entreprises industrielles afin de favoriser la recherche-développement et les échanges», a, notamment, déclaré, avant-hier, Yasmina Ziari, maître de conférences et consultante de l'association des femmes algériennes chefs d'entreprises SEVE (Savoir et vouloir entreprendre) à la salle polyvalente de l'Université des sciences et des technologies Houari Boumediene (USTHB) de Bab Ezzouar, lors du forum de sensibilisation sur l'entreprenariat et le dispositif de l'ANSEJ (Agence nationale de soutien à l'emploi des jeunes), en collaboration avec l'observatoire de l'insertion des diplômés de l'USTHB. Agissant dans l'esprit entrepreneurial de Yasmina Taya, présidente de SEVE, qui a récemment assisté à une rencontre à l'Algex sur le management des femmes avec la collaboration du Centre international de commerce de Genève et EnACT (Programme de renforcement des capacités commerciales des pays arabes), dirigé par Torek Farhadi, Françoise Agli, vice-présidente de SEVE, qui a procédé à l'inauguration des travaux du forum, a mis l'accent sur «les enjeux stratégiques d'une telle rencontre en termes de capacités de création de nouvelles entités économiques et de construction des relations de partenariat entre l'Université et les entreprises». Aussi, elle a mis en exergue l'importance «de donner la parole aux jeunes et aux étudiants afin d'exprimer leurs rêves et leurs préoccupations et ce qu'ils souhaitent faire de leur vie pour contribuer au développement économique et social de leur pays tout en mettant en exécution le savoir et les connaissances universitaires au service de l'économie et des affaires». Yasmina Ziari n'a pas manqué de mettre l'accent sur la nécessaire coopération et les échanges mutuels qui doivent exister entre les universités et les entreprises, non seulement dans le cadre de la création d'entreprises ou de recrutement, mais également dans le contexte de la promotion de la recherche- développement en fonction des besoins économiques qui pèsent sur l'entreprise algérienne, sachant que l'innovation et l'amélioration de la qualité sont des éléments clés de la créativité et de la compétitivité. En effet, les innovations technologiques sont le fait d'un travail de collaboration entre les institutions de recherche et les entreprises industrielles. Ce qui contraint davantage ces deux parties à coopérer étroitement pour trouver des formules de partenariat susceptibles de déboucher sur l'obtention de brevets de fabrication… «Les jeunes sont des créateurs nés car ils sont porteurs d'idées nouvelles et de projets innovants», a-t-elle souligné. Elle affirme, ainsi, ouvertement sa disposition à œuvrer pour la promotion de l'entreprenariat féminin et la construction d'un partenariat économique et scientifique ente l'USTHB et la SEVE et d'autres organisations patronales. Ziari est pragmatique et favorise l'éclosion de jeunes talents pilotant des entreprises et des micro-entreprises. Ainsi, elle affirme que «nous avons identifié déjà une trentaine de projets économiques qui sont présentés avec motivation par des étudiants désirant devenir chefs d'entreprises». Quant à Nacéra Haddad, Associate executive director (Incosyn), elle a précisé que «nous aurons aimé voir en permanence ici à l'USTHB, et ailleurs dans d'autres universités algériennes, des antennes d'ANSEJ et comme guichets uniques pour régler les dossiers des jeunes promoteurs et finaliser sur-le-champ leurs projets de création d'entreprises». Ainsi, elle souhaite contribuer activement et efficacement à l'emploi massif des jeunes détenteurs de projet de création d'entreprises, notamment des PME qui participent, en grande partie, à la création de richesses et à la génération de nombreux postes de travail. Agissant dans l'esprit entrepreneurial de Yasmina Taya, présidente de SEVE, qui a récemment assisté à une rencontre à l'Algex sur le management des femmes avec la collaboration du Centre international de commerce de Genève et EnACT (Programme de renforcement des capacités commerciales des pays arabes), dirigé par Torek Farhadi, Françoise Agli, vice-présidente de SEVE, qui a procédé à l'inauguration des travaux du forum, a mis l'accent sur «les enjeux stratégiques d'une telle rencontre en termes de capacités de création de nouvelles entités économiques et de construction des relations de partenariat entre l'Université et les entreprises». Aussi, elle a mis en exergue l'importance «de donner la parole aux jeunes et aux étudiants afin d'exprimer leurs rêves et leurs préoccupations et ce qu'ils souhaitent faire de leur vie pour contribuer au développement économique et social de leur pays tout en mettant en exécution le savoir et les connaissances universitaires au service de l'économie et des affaires». Yasmina Ziari n'a pas manqué de mettre l'accent sur la nécessaire coopération et les échanges mutuels qui doivent exister entre les universités et les entreprises, non seulement dans le cadre de la création d'entreprises ou de recrutement, mais également dans le contexte de la promotion de la recherche- développement en fonction des besoins économiques qui pèsent sur l'entreprise algérienne, sachant que l'innovation et l'amélioration de la qualité sont des éléments clés de la créativité et de la compétitivité. En effet, les innovations technologiques sont le fait d'un travail de collaboration entre les institutions de recherche et les entreprises industrielles. Ce qui contraint davantage ces deux parties à coopérer étroitement pour trouver des formules de partenariat susceptibles de déboucher sur l'obtention de brevets de fabrication… «Les jeunes sont des créateurs nés car ils sont porteurs d'idées nouvelles et de projets innovants», a-t-elle souligné. Elle affirme, ainsi, ouvertement sa disposition à œuvrer pour la promotion de l'entreprenariat féminin et la construction d'un partenariat économique et scientifique ente l'USTHB et la SEVE et d'autres organisations patronales. Ziari est pragmatique et favorise l'éclosion de jeunes talents pilotant des entreprises et des micro-entreprises. Ainsi, elle affirme que «nous avons identifié déjà une trentaine de projets économiques qui sont présentés avec motivation par des étudiants désirant devenir chefs d'entreprises». Quant à Nacéra Haddad, Associate executive director (Incosyn), elle a précisé que «nous aurons aimé voir en permanence ici à l'USTHB, et ailleurs dans d'autres universités algériennes, des antennes d'ANSEJ et comme guichets uniques pour régler les dossiers des jeunes promoteurs et finaliser sur-le-champ leurs projets de création d'entreprises». Ainsi, elle souhaite contribuer activement et efficacement à l'emploi massif des jeunes détenteurs de projet de création d'entreprises, notamment des PME qui participent, en grande partie, à la création de richesses et à la génération de nombreux postes de travail.