Les coupures d'électricité enregistrées ces derniers jours dans plusieurs localités de la périphérie d'Alger, notamment à Draria, El Achour, Aïn Naâdja et Baba Hacen, sont essentiellement dues aux agressions d'ouvrages électriques, a affirmé, hier, à Alger, le directeur de la distribution d'électricité et du gaz de Gué de Constantine, M. Lakehal Loucif. Lors d'un point de presse tenu pour expliquer les raisons de ces pannes électriques, M. Lakehal a indiqué que «les agressions» d'ouvrages électriques étaient à l'origine de 90% des coupures survenues ces derniers jours dans les 13 communes gérées par sa direction. M. Lakehal a reconnu que les 10% des cas de coupures ont été causés par le problème de surcharge pour lequel sa direction «n'est pas restée les bras croisés» en engageant un programme d'investissement de 1,7 milliard de dinars qui peine à se concrétiser en raison du manque d'assiettes foncières devant accueillir les nouveaux postes d'alimentation. Mais il a récusé à ce propos l'existence d'un vrai problème de surcharge dans ces localités qui astreint sa direction à recourir au délestage, notamment en période de pointe, afin de mieux répartir l'alimentation de cette énergie. «Le problème que nous rencontrons actuellement n'est pas celui de surcharge, de ce côté-là, il n'y a pas un problème de souffrance en matière de puissance», a-t-il rassuré, en précisant que «la principale cause des incidents dont souffre la concession de Gué de Constantine est l'agression d'ouvrages électriques». Selon lui, les entreprises de réalisation intervenant à proximité de ces ouvrages, notamment ceux souterrains, n'avisent pas les services de distribution d'électricité pour leur permettre de prendre les mesures nécessaires de sécurité et de protection, décriant par la même occasion «ce manque de coordination entre ces entreprises et ses services». En tout état de cause, ces entreprises ne peuvent engager des travaux de proximité sur les ouvrages concernés sans l'avis préalable du distributeur, et ce, en vertu de l'article 9 du décret relatif aux conditions de fourniture d'électricité, a-t-il expliqué. «De janvier 2011 jusqu'au jour d'aujourd'hui nous avons enregistré 65 agressions d'ouvrages qui ont mis 171.000 clients hors service dans ces 13 communes», a-t-il dit pour illustrer la gravité de la situation. La commune de Aïn Naâdja, par exemple, a enregistré, lundi, deux agressions d'ouvrages, causées par une entreprise de réalisation, qui a plongé presque toute la population de cette localité dans le noir, alors que la commune de Baba Ali a connu également mardi matin les mêmes raisons des perturbations en alimentation électrique. Plusieurs régions du pays ont aussi connu, ces derniers jours, des pannes d'électricité de plusieurs heures, malgré les assurances du groupe Sonelgaz de ne pas recourir au délestage pendant cet été, période où la consommation enregistre des pics de consommation. Les coupures d'électricité enregistrées ces derniers jours dans plusieurs localités de la périphérie d'Alger, notamment à Draria, El Achour, Aïn Naâdja et Baba Hacen, sont essentiellement dues aux agressions d'ouvrages électriques, a affirmé, hier, à Alger, le directeur de la distribution d'électricité et du gaz de Gué de Constantine, M. Lakehal Loucif. Lors d'un point de presse tenu pour expliquer les raisons de ces pannes électriques, M. Lakehal a indiqué que «les agressions» d'ouvrages électriques étaient à l'origine de 90% des coupures survenues ces derniers jours dans les 13 communes gérées par sa direction. M. Lakehal a reconnu que les 10% des cas de coupures ont été causés par le problème de surcharge pour lequel sa direction «n'est pas restée les bras croisés» en engageant un programme d'investissement de 1,7 milliard de dinars qui peine à se concrétiser en raison du manque d'assiettes foncières devant accueillir les nouveaux postes d'alimentation. Mais il a récusé à ce propos l'existence d'un vrai problème de surcharge dans ces localités qui astreint sa direction à recourir au délestage, notamment en période de pointe, afin de mieux répartir l'alimentation de cette énergie. «Le problème que nous rencontrons actuellement n'est pas celui de surcharge, de ce côté-là, il n'y a pas un problème de souffrance en matière de puissance», a-t-il rassuré, en précisant que «la principale cause des incidents dont souffre la concession de Gué de Constantine est l'agression d'ouvrages électriques». Selon lui, les entreprises de réalisation intervenant à proximité de ces ouvrages, notamment ceux souterrains, n'avisent pas les services de distribution d'électricité pour leur permettre de prendre les mesures nécessaires de sécurité et de protection, décriant par la même occasion «ce manque de coordination entre ces entreprises et ses services». En tout état de cause, ces entreprises ne peuvent engager des travaux de proximité sur les ouvrages concernés sans l'avis préalable du distributeur, et ce, en vertu de l'article 9 du décret relatif aux conditions de fourniture d'électricité, a-t-il expliqué. «De janvier 2011 jusqu'au jour d'aujourd'hui nous avons enregistré 65 agressions d'ouvrages qui ont mis 171.000 clients hors service dans ces 13 communes», a-t-il dit pour illustrer la gravité de la situation. La commune de Aïn Naâdja, par exemple, a enregistré, lundi, deux agressions d'ouvrages, causées par une entreprise de réalisation, qui a plongé presque toute la population de cette localité dans le noir, alors que la commune de Baba Ali a connu également mardi matin les mêmes raisons des perturbations en alimentation électrique. Plusieurs régions du pays ont aussi connu, ces derniers jours, des pannes d'électricité de plusieurs heures, malgré les assurances du groupe Sonelgaz de ne pas recourir au délestage pendant cet été, période où la consommation enregistre des pics de consommation.