Un rapport publié par DisplaySearch affirme que le marché des écrans tactiles représentera 13,4 milliards de dollars cette année (env. 9,5 milliards d'euros) et qu'il continuera de croître pour atteindre 23,9 milliards de dollars en 2017 (environ 17 milliards de dollars). La grande majorité de ces dalles vont dans les téléphones qui représentaient les deux tiers des livraisons en 2010, les consoles portables et les tablettes. En 2011, l'ensemble des écrans destinés à ces produits totalisera 10,5 milliards de dollars (environ 7,43 milliards d'euros). Durant les prochaines années, ce marché sera tiré vers le haut par les dalles de plus grandes diagonales destinées aux PC tout-en-un, aux ordinateurs portables,aux tableaux de bord des voitures et les jeux vidéos de salon, selon les analystes. Le rapport prédit aussi que les écrans tactiles capacitifs seront largement majoritaires. Cette année, ils devraient représenter 70 % des revenus générés par les dalles tactiles. Les écrans résistifs profitaient auparavant du fait que leurs cousins étaient bien plus chers à fabriquer. C'est de moins en moins vrai aujourd'hui et les dalles tactiles résistives devraient être cantonnées à des marchés de niches qui ont besoin de terminaux qui seront utilisés dans des conditions extrêmes, cette technologie résistant mieux à l'humidité, à la poussière et pouvant être utilisée avec un gant (cf. «Les écrans résistifs»). Les experts expliquent aussi que la technologie in-cell devrait prendre son envol en 2012. Aujourd'hui, les écrans capacitifs utilisent un dépôt conducteur d'oxyde d'étain et indium (ITO) placé entre deux substrats de verre (cf. «Les écrans capacitifs»). C'est ce que l'on appelle la technologie On-Cell. Dans les dalles In-Cell, chaque pixel intègre un capteur qui va remplacer cette couche. Comme le note le rapport, les rendements de cette technologie sont aujourd'hui trop faibles pour une production de masse. À terme, la technologie In-Cell devrait permettre d'abaisser les coûts de production et offrir des dalles plus fines. Le rapport ne dit pas néanmoins quel type de technologie In-Cell est concernée. Il est fort probable que ce soit celle qui intègre une électrode dans chaque pixel pour détecter les doigts de l'utilisateur. Néanmoins, ce n'est pas la seule qui est disponible. Des chercheurs ont pu intégrer des capteurs photosensibles capables de détecter la lumière. L'écran devient alors une sorte de scanner. D'autres intègrent des switchs capables de reconnaître des doigts ou un stylet. Pour l'instant, la première technologie est plus facile à fabriquer. Un rapport publié par DisplaySearch affirme que le marché des écrans tactiles représentera 13,4 milliards de dollars cette année (env. 9,5 milliards d'euros) et qu'il continuera de croître pour atteindre 23,9 milliards de dollars en 2017 (environ 17 milliards de dollars). La grande majorité de ces dalles vont dans les téléphones qui représentaient les deux tiers des livraisons en 2010, les consoles portables et les tablettes. En 2011, l'ensemble des écrans destinés à ces produits totalisera 10,5 milliards de dollars (environ 7,43 milliards d'euros). Durant les prochaines années, ce marché sera tiré vers le haut par les dalles de plus grandes diagonales destinées aux PC tout-en-un, aux ordinateurs portables,aux tableaux de bord des voitures et les jeux vidéos de salon, selon les analystes. Le rapport prédit aussi que les écrans tactiles capacitifs seront largement majoritaires. Cette année, ils devraient représenter 70 % des revenus générés par les dalles tactiles. Les écrans résistifs profitaient auparavant du fait que leurs cousins étaient bien plus chers à fabriquer. C'est de moins en moins vrai aujourd'hui et les dalles tactiles résistives devraient être cantonnées à des marchés de niches qui ont besoin de terminaux qui seront utilisés dans des conditions extrêmes, cette technologie résistant mieux à l'humidité, à la poussière et pouvant être utilisée avec un gant (cf. «Les écrans résistifs»). Les experts expliquent aussi que la technologie in-cell devrait prendre son envol en 2012. Aujourd'hui, les écrans capacitifs utilisent un dépôt conducteur d'oxyde d'étain et indium (ITO) placé entre deux substrats de verre (cf. «Les écrans capacitifs»). C'est ce que l'on appelle la technologie On-Cell. Dans les dalles In-Cell, chaque pixel intègre un capteur qui va remplacer cette couche. Comme le note le rapport, les rendements de cette technologie sont aujourd'hui trop faibles pour une production de masse. À terme, la technologie In-Cell devrait permettre d'abaisser les coûts de production et offrir des dalles plus fines. Le rapport ne dit pas néanmoins quel type de technologie In-Cell est concernée. Il est fort probable que ce soit celle qui intègre une électrode dans chaque pixel pour détecter les doigts de l'utilisateur. Néanmoins, ce n'est pas la seule qui est disponible. Des chercheurs ont pu intégrer des capteurs photosensibles capables de détecter la lumière. L'écran devient alors une sorte de scanner. D'autres intègrent des switchs capables de reconnaître des doigts ou un stylet. Pour l'instant, la première technologie est plus facile à fabriquer.