Au troisième jour du mois sacré de Ramadhan, les prix de certains produits de large consommation ont connu une légère baisse. Bien que les prix encore pratiqués dans les marchés, de l'Algérois en l'occurrence, restent quand même élevés. Au troisième jour du mois sacré de Ramadhan, les prix de certains produits de large consommation ont connu une légère baisse. Bien que les prix encore pratiqués dans les marchés, de l'Algérois en l'occurrence, restent quand même élevés. La frénésie qui a touché les marchés en début de semaine, à la veille du mois sacré, n'a pas été des plus bénéfiques, faut-il le dire. Les consommateurs qui se sont bousculés sur les étals pour remplir leurs frigos, notamment en début de semaine, devaient se douter que les prix des fruits et légumes seront revus à la baisse une fois les premiers jours de jeûne passés. En effet, au niveau du marché populaire sis à la rue Réda-Houhou, à Alger-centre, les prix des légumes ont légèrement baissé. La tomate est vendue entre 30 et 50 dinars. La salade, elle, qui en début de semaine était à 120 dinars, est affichée aujourd'hui au prix de 80 dinars. Les ognons, eux, voient leur prix varier entre 30 à 35 dinars le kilogramme, alors que le concombre est à 50 dinars. Côté carotte, la mercuriale peut-on dire n'est pas prête de la voir baisser de sitôt, car laissée encore à 70 dinars le kilo. La courgette est vendue pour 60 dinars tandis que la pomme de terre est exposée à 45 dinars. Pour les haricots verts, ils restent encore à un prix élevé bien qu'affichés à 120 dinars. Selon les témoignages de certains consommateurs, faire ses courses demeure un vrai casse-tête. «Aucune honte en ce mois sacré, et ces vendeurs continuent d'augmenter leur prix», se plaint un père de famille. Et d'ajouter : «Ce n'est pas évident de pouvoir faire ses courses quotidiennement avec les prix affichés dans les marchés en ce moment.» Pour ce qui concerne les fruits, l'on peut citer la pomme qui est cédée à 80 dinars, alors que dimanche dernier, elle était à 120 dinars le kilogramme. Evidemment, la pomme d'importation reste toujours hors de portée du consommateur algérien. La poire et la pêche, de leur côté, restent à 100 dinars alors que la banane voit son prix varier d'un vendeur à un autre, à savoir entre 90 à 130 dinars. Pour certaines bourses, pour ne pas dire pour bon nombre, l'accès à certains produits de large consommation, vu les prix pratiqués, reste encore difficile. Cependant, une chose reste certaine : une fois la frénésie des premiers jours de Ramadhan passée, une grande partie des produits de large consommation verront leur prix à la baisse, comme à l'accoutumée. La frénésie qui a touché les marchés en début de semaine, à la veille du mois sacré, n'a pas été des plus bénéfiques, faut-il le dire. Les consommateurs qui se sont bousculés sur les étals pour remplir leurs frigos, notamment en début de semaine, devaient se douter que les prix des fruits et légumes seront revus à la baisse une fois les premiers jours de jeûne passés. En effet, au niveau du marché populaire sis à la rue Réda-Houhou, à Alger-centre, les prix des légumes ont légèrement baissé. La tomate est vendue entre 30 et 50 dinars. La salade, elle, qui en début de semaine était à 120 dinars, est affichée aujourd'hui au prix de 80 dinars. Les ognons, eux, voient leur prix varier entre 30 à 35 dinars le kilogramme, alors que le concombre est à 50 dinars. Côté carotte, la mercuriale peut-on dire n'est pas prête de la voir baisser de sitôt, car laissée encore à 70 dinars le kilo. La courgette est vendue pour 60 dinars tandis que la pomme de terre est exposée à 45 dinars. Pour les haricots verts, ils restent encore à un prix élevé bien qu'affichés à 120 dinars. Selon les témoignages de certains consommateurs, faire ses courses demeure un vrai casse-tête. «Aucune honte en ce mois sacré, et ces vendeurs continuent d'augmenter leur prix», se plaint un père de famille. Et d'ajouter : «Ce n'est pas évident de pouvoir faire ses courses quotidiennement avec les prix affichés dans les marchés en ce moment.» Pour ce qui concerne les fruits, l'on peut citer la pomme qui est cédée à 80 dinars, alors que dimanche dernier, elle était à 120 dinars le kilogramme. Evidemment, la pomme d'importation reste toujours hors de portée du consommateur algérien. La poire et la pêche, de leur côté, restent à 100 dinars alors que la banane voit son prix varier d'un vendeur à un autre, à savoir entre 90 à 130 dinars. Pour certaines bourses, pour ne pas dire pour bon nombre, l'accès à certains produits de large consommation, vu les prix pratiqués, reste encore difficile. Cependant, une chose reste certaine : une fois la frénésie des premiers jours de Ramadhan passée, une grande partie des produits de large consommation verront leur prix à la baisse, comme à l'accoutumée.