Les prix des légumes au marché Réda-Houhou d'Alger-Centre (ex-Clauzel) restent élevés comparés avec ceux affichés les premiers jours du Ramadhan alors qu'on promettait de réduire les prix des produits à large consommation. Les prix des légumes au marché Réda-Houhou d'Alger-Centre (ex-Clauzel) restent élevés comparés avec ceux affichés les premiers jours du Ramadhan alors qu'on promettait de réduire les prix des produits à large consommation. La mercuriale de la première semaine du Ramadhan est loin de satisfaire le consommateur algérien. Les prix des fruits et légumes stagnent certes, mais à un prix élevé pour certains produits. Les prix des légumes au marché Réda-Houhou d'Alger-Centre (ex-Clauzel) restent élevés comparés avec ceux affichés les premiers jours du Ramadhan. Les carottes, les piments sont cédés au prix de 60 DA alors que le poivron lui est à 70 DA. Le chou-fleur est au prix de 100 DA. La tomate, elle, son prix varie d'un commerçant à un autre, bien qu'ils se trouvent sur le même marché, car certains l'affichent à 25 DA, d'autre à 40 et 50 DA. Ce n'est pas là une sauce qui va réjouir les ménages algérois, faut-il le dire. « Il faut le dire, les prix restent malgré tout élevés, alors qu'on promettait de réduire les prix des produits à large consommation, mais que des promesses, comme à chaque année», s'exclame un citoyen, qui le moins qu'on puisse dire de lui, était furieux. La courgette, pour sa part, est à 40 DA. L'ognon est à prix bas, a-t-on constaté, rien que pour 25 DA. La salade et le concombre sont laissés au prix de 60 DA le kilogramme, bien plus qu'elle ne l'était au début du Ramadhan, car elle était cédée à 25 DA. Ils ne seront pas nombreux à servir des frites à l'heure de rompre le jeûne, à en juger par le prix de la pomme de terre qui est à 40 DA, alors qu'elle était cédée à un prix réduit la semaine dernière. Côté fruits, le consommateur n'a pas trop à se plaindre, du moins pour certains produits dont le prix a baissé, à l'instar de la pastèque qui est affichée à 35 DA le kilo, alors que le melon lui, voit son prix se stabiliser depuis plus d'une semaine ne dépassant pas les 50 DA. Les figues, elles ont vu leur prix monter, alors qu'elles étaient à moins de 150 DA au début du Ramadhan, elles sont "laissées" au prix de 200 DA le kilo. Pour les raisins, ils oscillent entre 130 et 180 DA, tandis que la pêche est au prix de 150 DA. Ce n'est pas là un prix qui va donner envie de mettre la main à la poche. Les bananes sont à un prix élevé, à savoir 130 DA. Les poires restent au prix de 100 DA, alors que les pommes affichent 90 DA. Bien que les prix affichent élevés dans la majorité des marchés de l'Algérois, toujours est-il qu'un rush important est remarqué quotidiennement dans ces espaces. Comme quoi, peu importe le prix, avec le jeûne, ce n'est pas pour autant ce qui découragera le consommateur algérien de mettre la main à son porte-monnaie. La mercuriale de la première semaine du Ramadhan est loin de satisfaire le consommateur algérien. Les prix des fruits et légumes stagnent certes, mais à un prix élevé pour certains produits. Les prix des légumes au marché Réda-Houhou d'Alger-Centre (ex-Clauzel) restent élevés comparés avec ceux affichés les premiers jours du Ramadhan. Les carottes, les piments sont cédés au prix de 60 DA alors que le poivron lui est à 70 DA. Le chou-fleur est au prix de 100 DA. La tomate, elle, son prix varie d'un commerçant à un autre, bien qu'ils se trouvent sur le même marché, car certains l'affichent à 25 DA, d'autre à 40 et 50 DA. Ce n'est pas là une sauce qui va réjouir les ménages algérois, faut-il le dire. « Il faut le dire, les prix restent malgré tout élevés, alors qu'on promettait de réduire les prix des produits à large consommation, mais que des promesses, comme à chaque année», s'exclame un citoyen, qui le moins qu'on puisse dire de lui, était furieux. La courgette, pour sa part, est à 40 DA. L'ognon est à prix bas, a-t-on constaté, rien que pour 25 DA. La salade et le concombre sont laissés au prix de 60 DA le kilogramme, bien plus qu'elle ne l'était au début du Ramadhan, car elle était cédée à 25 DA. Ils ne seront pas nombreux à servir des frites à l'heure de rompre le jeûne, à en juger par le prix de la pomme de terre qui est à 40 DA, alors qu'elle était cédée à un prix réduit la semaine dernière. Côté fruits, le consommateur n'a pas trop à se plaindre, du moins pour certains produits dont le prix a baissé, à l'instar de la pastèque qui est affichée à 35 DA le kilo, alors que le melon lui, voit son prix se stabiliser depuis plus d'une semaine ne dépassant pas les 50 DA. Les figues, elles ont vu leur prix monter, alors qu'elles étaient à moins de 150 DA au début du Ramadhan, elles sont "laissées" au prix de 200 DA le kilo. Pour les raisins, ils oscillent entre 130 et 180 DA, tandis que la pêche est au prix de 150 DA. Ce n'est pas là un prix qui va donner envie de mettre la main à la poche. Les bananes sont à un prix élevé, à savoir 130 DA. Les poires restent au prix de 100 DA, alors que les pommes affichent 90 DA. Bien que les prix affichent élevés dans la majorité des marchés de l'Algérois, toujours est-il qu'un rush important est remarqué quotidiennement dans ces espaces. Comme quoi, peu importe le prix, avec le jeûne, ce n'est pas pour autant ce qui découragera le consommateur algérien de mettre la main à son porte-monnaie.