Les pays d'Afrique du Nord, dont l'Algérie bien évidemment, sont gravement menacés par la sécheresse et les changements climatiques. Ainsi, selon le groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), l'Afrique du Nord est considérée comme la deuxième zone la plus vulnérable aux risques climatiques à l'échelle mondiale. Le site d'information économique sur la Méditerranée basé à Marseille, indique que la banque Mondiale vient de publier au début de l'été 2011 une étude sur « l'adaptation au changement climatique et la résilience aux désastres naturels dans les villes côtières d'Afrique du Nord » présentée dans le cadre des programmes du centre de Marseille pour l'intégration en Méditerranée (CMI). Les experts ayant concocté cette étude scientifique soulignent que « la Banque Mondiale se préoccupe depuis déjà plusieurs années de la menace que fait planer le changement climatique sur les pays de la rive sud de la Méditerranée ». Pour l'expert Anthony Bigio, « les catastrophes naturelles de type inondations et érosion côtière, ont des effets de plus en plus dévastateurs, particulièrement dans les villes. Or les grandes cités côtières représentent une part très importante du PIB des pays arabes ». Il précise que « ces villes à forte croissance démographique font face à des risques concrets qui s'intensifieront au cours des prochaines décennies à mesure que les conséquences du changement climatique se feront sentir davantage. La région Mena (Afrique du nord et Moyen-Orient) souffre d'une augmentation du nombre de désastres naturels. La moyenne annuelle de trois catastrophes dans les années 1980 a atteint le chiffre de quinze en 2006. Sur les 276 désastres naturels recensés depuis vingt cinq ans dans la région, 120 ont eu lieu pendant les derniers cinq ans ». Les pays du Maghreb, selon le bureau d'Alger du PNUD (Programme des Nations unies pour le développement), « le Maghreb a été identifié comme une zone particulièrement vulnérable face aux risques liés au changement climatique. L'exode rural conjugué à l'urbanisation intense sur la côte méditerranéenne durant les dernières décennies ont augmenté la vulnérabilité des populations concernées tout en accentuant les facteurs qui contribuent aux changements climatiques ». Cet organisme onusien préconise des programmes nationaux pour lutter contre les effets dévastateurs du réchauffement de la planète en recommandant des plans ambitieux de développement économique à long terme. La sécheresse guette l'Afrique « Le Programme des Nations unies pour le développement en Algérie soutient les efforts du gouvernement algérien en matière de changements climatiques et dans son rôle de porte-parole des pays africains. Fort de son double mandat de coordination du Conseil des ministres arabes responsables de l'environnement (CAMRE) et de présidence du groupe Afrique aux négociations sur le changement climatique, l'Algérie participe activement aux négociations sur les changements climatiques » poursuit le bureau d'Alger. Il ajoute : « L'Algérie préside le groupe Africain en charge des questions liées aux changements climatiques pour les années 2008-2009, dans ce sens elle continue à coordonner les actions pour la définition du nouvel accord climatique mondial lié au plan d'action de Bali, dont la présentation est prévue lors de la quinzième conférence des Etats partis en décembre 2009 à Copenhague ». Le directeur de l'Agence nationale des changements climatiques, Mostefa Kamel Kara, estime dans son ouvrage sur la menace climatique en Algérie et en Afrique « qu'une contribution active et efficace au dialogue mondial actuel sur les changements climatiques est importante ». Les pays d'Afrique du Nord, dont l'Algérie bien évidemment, sont gravement menacés par la sécheresse et les changements climatiques. Ainsi, selon le groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), l'Afrique du Nord est considérée comme la deuxième zone la plus vulnérable aux risques climatiques à l'échelle mondiale. Le site d'information économique sur la Méditerranée basé à Marseille, indique que la banque Mondiale vient de publier au début de l'été 2011 une étude sur « l'adaptation au changement climatique et la résilience aux désastres naturels dans les villes côtières d'Afrique du Nord » présentée dans le cadre des programmes du centre de Marseille pour l'intégration en Méditerranée (CMI). Les experts ayant concocté cette étude scientifique soulignent que « la Banque Mondiale se préoccupe depuis déjà plusieurs années de la menace que fait planer le changement climatique sur les pays de la rive sud de la Méditerranée ». Pour l'expert Anthony Bigio, « les catastrophes naturelles de type inondations et érosion côtière, ont des effets de plus en plus dévastateurs, particulièrement dans les villes. Or les grandes cités côtières représentent une part très importante du PIB des pays arabes ». Il précise que « ces villes à forte croissance démographique font face à des risques concrets qui s'intensifieront au cours des prochaines décennies à mesure que les conséquences du changement climatique se feront sentir davantage. La région Mena (Afrique du nord et Moyen-Orient) souffre d'une augmentation du nombre de désastres naturels. La moyenne annuelle de trois catastrophes dans les années 1980 a atteint le chiffre de quinze en 2006. Sur les 276 désastres naturels recensés depuis vingt cinq ans dans la région, 120 ont eu lieu pendant les derniers cinq ans ». Les pays du Maghreb, selon le bureau d'Alger du PNUD (Programme des Nations unies pour le développement), « le Maghreb a été identifié comme une zone particulièrement vulnérable face aux risques liés au changement climatique. L'exode rural conjugué à l'urbanisation intense sur la côte méditerranéenne durant les dernières décennies ont augmenté la vulnérabilité des populations concernées tout en accentuant les facteurs qui contribuent aux changements climatiques ». Cet organisme onusien préconise des programmes nationaux pour lutter contre les effets dévastateurs du réchauffement de la planète en recommandant des plans ambitieux de développement économique à long terme. La sécheresse guette l'Afrique « Le Programme des Nations unies pour le développement en Algérie soutient les efforts du gouvernement algérien en matière de changements climatiques et dans son rôle de porte-parole des pays africains. Fort de son double mandat de coordination du Conseil des ministres arabes responsables de l'environnement (CAMRE) et de présidence du groupe Afrique aux négociations sur le changement climatique, l'Algérie participe activement aux négociations sur les changements climatiques » poursuit le bureau d'Alger. Il ajoute : « L'Algérie préside le groupe Africain en charge des questions liées aux changements climatiques pour les années 2008-2009, dans ce sens elle continue à coordonner les actions pour la définition du nouvel accord climatique mondial lié au plan d'action de Bali, dont la présentation est prévue lors de la quinzième conférence des Etats partis en décembre 2009 à Copenhague ». Le directeur de l'Agence nationale des changements climatiques, Mostefa Kamel Kara, estime dans son ouvrage sur la menace climatique en Algérie et en Afrique « qu'une contribution active et efficace au dialogue mondial actuel sur les changements climatiques est importante ».