Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Bouabdallah Ghlamallah, a souligné, jeudi, que les instructions données aux imams concernant l'allégement des prières des Taraouih durant le mois sacré de Ramadhan, visaient à assurer le bien-être du citoyen. Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Bouabdallah Ghlamallah, a souligné, jeudi, que les instructions données aux imams concernant l'allégement des prières des Taraouih durant le mois sacré de Ramadhan, visaient à assurer le bien-être du citoyen. Réagissant aux critiques émises contre cette mesure, le ministre a précisé que ces instructions «émanent du souci d'assurer le bien-être du citoyen». Lors d'un séminaire organisé par la direction des affaires religieuses et des wakfs de la wilaya d'Alger sur «la santé et le jeûne en été», Ghlamallah a mis l'accent sur le rôle de l'imam dans la sensibilisation et l'orientation, indiquant que le prêche religieux doit émaner «de la conscience de l'imam de sa responsabilité et sa volonté d'accomplir pleinement sa mission». Dans ce cadre, il a souligné que les cours religieux (dourouss) dispensés dans les mosquées durant le mois sacré de Ramadhan doivent être basés sur la jurisprudence (fiqh) et les préceptes de l'Islam. Concernant le séminaire, le ministre a indiqué qu'il visait essentiellement à «permettre aux jeûneurs de tirer profit des conseils prodigués par des médecins et des spécialistes». Par ailleurs, Ghlamallah a insisté sur la nécessité du don de sang et le rôle des imams dans la sensibilisation durant le mois de Ramadhan. Il a, dans ce sens, salué la campagne de don de sang initiée par la direction des affaires religieuses et des wakfs de la wilaya d'Alger en collaboration avec la direction de la santé de la wilaya d'Alger à l'occasion du mois sacré du Ramadhan, à travers les camions de collecte de sang installés près des mosquées d'Alger pour permettre aux fidèles de faire don de cette denrée vitale. Ghlamallah avait, lors d'une récente sortie médiatique, indiqué que les mosquées du pays sont «toutes dotés d'imams pour l'accomplissement des divers rituels religieux, durant ou en dehors du mois sacré de Ramadhan». Le «relatif déficit» enregistré en matière d'encadrement des mosquées concerne «uniquement les imams-oulémas», avait précisé le ministre en marge d'une visite de travail dans la wilaya de Constantine. Ce déficit, a ajouté M. Ghlamallah, sera comblé «au fur et à mesure de la concrétisation du programme national d'organisation de la profession d'imam». La politique nationale portant sur le recrutement annuel d'un millier d'imams, au lieu de 500, nouvellement adoptée par le gouvernement, devra également assurer une restructuration «qualitative» de la cartographie nationale des mosquées, a affirmé le ministre, faisant état d'une «nette» amélioration du niveau des imams s'agissant des prêches et de la récitation du saint Coran. Evoquant le mode de fonctionnement des mosquées durant le mois sacré de Ramadhan, M. Ghalamallah a affirmé que ces lieux de culte seront «ouverts de jour comme de nuit», ce qui devrait satisfaire les fidèles qui préfèrent, exceptionnellement durant ce mois de jeûne, passer plus de temps dans les mosquées. Réagissant aux critiques émises contre cette mesure, le ministre a précisé que ces instructions «émanent du souci d'assurer le bien-être du citoyen». Lors d'un séminaire organisé par la direction des affaires religieuses et des wakfs de la wilaya d'Alger sur «la santé et le jeûne en été», Ghlamallah a mis l'accent sur le rôle de l'imam dans la sensibilisation et l'orientation, indiquant que le prêche religieux doit émaner «de la conscience de l'imam de sa responsabilité et sa volonté d'accomplir pleinement sa mission». Dans ce cadre, il a souligné que les cours religieux (dourouss) dispensés dans les mosquées durant le mois sacré de Ramadhan doivent être basés sur la jurisprudence (fiqh) et les préceptes de l'Islam. Concernant le séminaire, le ministre a indiqué qu'il visait essentiellement à «permettre aux jeûneurs de tirer profit des conseils prodigués par des médecins et des spécialistes». Par ailleurs, Ghlamallah a insisté sur la nécessité du don de sang et le rôle des imams dans la sensibilisation durant le mois de Ramadhan. Il a, dans ce sens, salué la campagne de don de sang initiée par la direction des affaires religieuses et des wakfs de la wilaya d'Alger en collaboration avec la direction de la santé de la wilaya d'Alger à l'occasion du mois sacré du Ramadhan, à travers les camions de collecte de sang installés près des mosquées d'Alger pour permettre aux fidèles de faire don de cette denrée vitale. Ghlamallah avait, lors d'une récente sortie médiatique, indiqué que les mosquées du pays sont «toutes dotés d'imams pour l'accomplissement des divers rituels religieux, durant ou en dehors du mois sacré de Ramadhan». Le «relatif déficit» enregistré en matière d'encadrement des mosquées concerne «uniquement les imams-oulémas», avait précisé le ministre en marge d'une visite de travail dans la wilaya de Constantine. Ce déficit, a ajouté M. Ghlamallah, sera comblé «au fur et à mesure de la concrétisation du programme national d'organisation de la profession d'imam». La politique nationale portant sur le recrutement annuel d'un millier d'imams, au lieu de 500, nouvellement adoptée par le gouvernement, devra également assurer une restructuration «qualitative» de la cartographie nationale des mosquées, a affirmé le ministre, faisant état d'une «nette» amélioration du niveau des imams s'agissant des prêches et de la récitation du saint Coran. Evoquant le mode de fonctionnement des mosquées durant le mois sacré de Ramadhan, M. Ghalamallah a affirmé que ces lieux de culte seront «ouverts de jour comme de nuit», ce qui devrait satisfaire les fidèles qui préfèrent, exceptionnellement durant ce mois de jeûne, passer plus de temps dans les mosquées.