L'or a atteint mercredi un nouveau record historique, bondissant pour la première fois à plus de 1.670 dollars l'once, porté par un afflux d'investisseurs recherchant la sécurité dans un climat d'incertitude généralisée. En début d'échanges européens, le cours de l'once de métal jaune est monté à 1.672,80 dollars, un niveau jamais vu auparavant. Après ce sommet, les prix sont restés élevés, atteignant par exemple 1.667,15 dollars dans l'après-midi. Ballottés entre les crises des dettes des deux côtés de l'Atlantique, et les signes d'un ralentissement marqué de la reprise économique mondiale, les investisseurs achetaient en masse du métal jaune, considéré comme une valeur refuge par excellence face aux incertitudes économiques et aux soubresauts des marchés obligataires. En outre, "l'attrait de l'or est renforcé par le fait qu'aucune banque centrale n'a le contrôle de son cours et ne peut intervenir pour limiter sa force", contrairement aux devises refuge que sont le franc suisse et le yen japonais, a noté un analyste. Preuve de l'engouement généralisé pour l'or, la Banque centrale de Corée du Sud a annoncé mardi avoir acheté 25 tonnes du métal précieux sur les marchés mondiaux entre juin et juillet, une première en 13 ans. L'argent montait aussi dans le sillage du métal jaune, grimpant à 41,88 dollars l'once en début d'après-midi, son niveau le plus fort depuis début mai, mais restait tout de même à distance d'un record historique à 49,79 dollars l'once atteint le 25 avril. Le métal gris est traditionnellement vu par les investisseurs comme une alternative meilleure marché à l'or. L'or a atteint mercredi un nouveau record historique, bondissant pour la première fois à plus de 1.670 dollars l'once, porté par un afflux d'investisseurs recherchant la sécurité dans un climat d'incertitude généralisée. En début d'échanges européens, le cours de l'once de métal jaune est monté à 1.672,80 dollars, un niveau jamais vu auparavant. Après ce sommet, les prix sont restés élevés, atteignant par exemple 1.667,15 dollars dans l'après-midi. Ballottés entre les crises des dettes des deux côtés de l'Atlantique, et les signes d'un ralentissement marqué de la reprise économique mondiale, les investisseurs achetaient en masse du métal jaune, considéré comme une valeur refuge par excellence face aux incertitudes économiques et aux soubresauts des marchés obligataires. En outre, "l'attrait de l'or est renforcé par le fait qu'aucune banque centrale n'a le contrôle de son cours et ne peut intervenir pour limiter sa force", contrairement aux devises refuge que sont le franc suisse et le yen japonais, a noté un analyste. Preuve de l'engouement généralisé pour l'or, la Banque centrale de Corée du Sud a annoncé mardi avoir acheté 25 tonnes du métal précieux sur les marchés mondiaux entre juin et juillet, une première en 13 ans. L'argent montait aussi dans le sillage du métal jaune, grimpant à 41,88 dollars l'once en début d'après-midi, son niveau le plus fort depuis début mai, mais restait tout de même à distance d'un record historique à 49,79 dollars l'once atteint le 25 avril. Le métal gris est traditionnellement vu par les investisseurs comme une alternative meilleure marché à l'or.