Le ministre indien de l'Intérieur P. Chidambaram a évoqué un possible lien entre les attentats de Bombay commis en juillet dernier qui avaient fait 26 morts et une organisation locale. "Toutes les indications vont dans le sens d'un module indien", a déclaré le chef du gouvernement indien jeudi soir devant le parlement. "On ne peut pas vivre dans le déni. On ne peut pas fermer les yeux sur des faits. Il y a des modules indiens", a-t-il déclaré devant la Rajya Sabha, la chambre haute du parlement. Une enquête de police est toujours en cours pour faire la lumière sur cette attaque meurtrière qu'aucun groupe n'a revendiqué pour l'instant. Cependant, les enquêteurs soupçonnent une organisation locale, les "Moudjahidine indiens", qui avait revendiqué une série d'attentats meurtriers en 2008, à New Delhi et Ahmedabad (ouest). Ce groupe a été également soupçonné après l'explosion d'une bombe en février 2010 dans un café-restaurant populaire à Pune (ouest), qui avait fait 16 morts. P. Chidambaram a, en outre, reconnu que son pays n'était pas exempte de la hausse du nombre de groupes terroristes dans le monde et il a admis que le terrorisme national menaçait l'unité du pays. Les derniers attentats de Pune et Bombay sont "deux ombres majeures" dans la lutte contre le terrorisme, a-t-il dit. Le ministre indien de l'Intérieur P. Chidambaram a évoqué un possible lien entre les attentats de Bombay commis en juillet dernier qui avaient fait 26 morts et une organisation locale. "Toutes les indications vont dans le sens d'un module indien", a déclaré le chef du gouvernement indien jeudi soir devant le parlement. "On ne peut pas vivre dans le déni. On ne peut pas fermer les yeux sur des faits. Il y a des modules indiens", a-t-il déclaré devant la Rajya Sabha, la chambre haute du parlement. Une enquête de police est toujours en cours pour faire la lumière sur cette attaque meurtrière qu'aucun groupe n'a revendiqué pour l'instant. Cependant, les enquêteurs soupçonnent une organisation locale, les "Moudjahidine indiens", qui avait revendiqué une série d'attentats meurtriers en 2008, à New Delhi et Ahmedabad (ouest). Ce groupe a été également soupçonné après l'explosion d'une bombe en février 2010 dans un café-restaurant populaire à Pune (ouest), qui avait fait 16 morts. P. Chidambaram a, en outre, reconnu que son pays n'était pas exempte de la hausse du nombre de groupes terroristes dans le monde et il a admis que le terrorisme national menaçait l'unité du pays. Les derniers attentats de Pune et Bombay sont "deux ombres majeures" dans la lutte contre le terrorisme, a-t-il dit.