Un homme répondant aux initiales de R. G., âgé d'une cinquantaine d'années, s'est donné, jeudi matin, la mort par pendaison, à l'intérieur mêmebdes toilettes du service de réanimation de l'hôpital de Bordj Ménaïel, dans l'est de la wilaya de Boumerdès. L'homme, médecin dans le même établissement hospitalier, est originaire de la localité de Chabet El Ameur et souffrait de troubles psychiques et mentaux, indique-t-on auprès de sources locales. Selon ces mêmes sources, la victime était hospitalisée au niveau dudit établissement hospitalier et souffrait d'une maladie chronique. Il a été trouvé, par des collègues, pendu vers 2h du matin. Des sources notent que la victime avait été emprisonnée et y a passé cinq de sa peine globale, en raison de la détérioration de son état de santé, pour avoir tué, dans les années 1990, sa femme. Après ce drame, la victime avait passé plusieurs mois dans des hôpitaux psychiatriques, notamment celui de Oued Aïssi (Tizi Ouzou) avant qu'il ne soit culpabilisé et arrêté par les services de sécurité qui enquêtaient alors sur la mort de sa femme. A sa sortie de la prison, R. G. avait tenté à deux reprises de mettre un terme à sa vie. Il s'est remarié vers la fin des années 1990 et a eu trois enfants. Les services de sécurité ont enclenché une enquête pour élucider les circonstances dudit drame. Notons, également, que ce cas de suicide est le deuxième du genre à être commis par un habitant de la localité de Chabet El Ameur en l'espace d'un mois après qu'un jeune homme de 28 ans, commerçant de son état, se suicide en se jetant dans une retenue collinaire. Un homme répondant aux initiales de R. G., âgé d'une cinquantaine d'années, s'est donné, jeudi matin, la mort par pendaison, à l'intérieur mêmebdes toilettes du service de réanimation de l'hôpital de Bordj Ménaïel, dans l'est de la wilaya de Boumerdès. L'homme, médecin dans le même établissement hospitalier, est originaire de la localité de Chabet El Ameur et souffrait de troubles psychiques et mentaux, indique-t-on auprès de sources locales. Selon ces mêmes sources, la victime était hospitalisée au niveau dudit établissement hospitalier et souffrait d'une maladie chronique. Il a été trouvé, par des collègues, pendu vers 2h du matin. Des sources notent que la victime avait été emprisonnée et y a passé cinq de sa peine globale, en raison de la détérioration de son état de santé, pour avoir tué, dans les années 1990, sa femme. Après ce drame, la victime avait passé plusieurs mois dans des hôpitaux psychiatriques, notamment celui de Oued Aïssi (Tizi Ouzou) avant qu'il ne soit culpabilisé et arrêté par les services de sécurité qui enquêtaient alors sur la mort de sa femme. A sa sortie de la prison, R. G. avait tenté à deux reprises de mettre un terme à sa vie. Il s'est remarié vers la fin des années 1990 et a eu trois enfants. Les services de sécurité ont enclenché une enquête pour élucider les circonstances dudit drame. Notons, également, que ce cas de suicide est le deuxième du genre à être commis par un habitant de la localité de Chabet El Ameur en l'espace d'un mois après qu'un jeune homme de 28 ans, commerçant de son état, se suicide en se jetant dans une retenue collinaire.