La direction du commerce de la wilaya d'Alger a mobilisé pour le mois de Ramadhan 120 équipes composées de 240 agents de contrôle des prix et des pratiques commerciales et de répression de la fraude à travers la wilaya. Dans un entretien acciordé, hier à l'APS, le chargé de la concurrence et des prix de la direction du commerce, M. Djaâti Mohamed Tahar, a précisé que les mesures prises par la direction visent à intensifier l'action de proximité, à lutter contre la spéculation sous toutes ses formes et à réprimer les pratiques commerciales illégales. Ces mesures consistent, selon M. Djaâti, à contrôler les prix des produits alimentaires subventionnés par l'Etat conformément à la loi. Parmi ces produits soumis au contrôle, l'on compte le lait en sachets, le pain ordinaire et amélioré de 250 g, la semoule ordinaire, le sucre blanc et l'huile alimentaire ordinaire. Concernant le phénomène de la hausse des prix de certains produits de consommation tels fruits et légumes, le responsable a fait remarquer que ces produits sont régis par la loi de l'offre et de la demande, ajoutant qu'il n'est pas possible d'intervenir pour en fixer les prix. Il a affirmé à ce propos, que la mission de son service résidait dans «la lutte contre le changement de l'activité commerciale sans autorisation, le stockage de certains produits alimentaires et le contrôle des factures pour vérifier le mouvement des marchandises». Ces équipes contrôlent aussi les locaux de restauration, les salons de thé et les vendeurs de glaces pour vérifier la chaîne de froid et les conditions de stockage, de transport, d'offre et de consommation. Pour ce qui est des produits vendus librement sur les trottoirs au détriment de la santé du citoyen, M. Djaâti a imputé ce phénomène essentiellement aux consommateurs qui achètent ces produits dont l'origine et le contenu sont inconnus, mais uniquement pour leurs prix. S'agissant du bilan des opérations de répression de la fraude durant la dernière semaine du mois de juillet, le responsable a précisé que 241 interventions ayant induit la fermeture de 13 locaux ont été effectuées à la suite d'actes d'infraction outre la saisi de 583 kg de denrées alimentaires. Ces infractions, a-t-il ajouté, peuvent être suivies de poursuites judiciaires et de mesures administratives qui consistent en la fermeture des locaux, la saisie, la destruction des produits périmés et la transformation du commerce en utilité publique. La direction du commerce de la wilaya d'Alger a mobilisé pour le mois de Ramadhan 120 équipes composées de 240 agents de contrôle des prix et des pratiques commerciales et de répression de la fraude à travers la wilaya. Dans un entretien acciordé, hier à l'APS, le chargé de la concurrence et des prix de la direction du commerce, M. Djaâti Mohamed Tahar, a précisé que les mesures prises par la direction visent à intensifier l'action de proximité, à lutter contre la spéculation sous toutes ses formes et à réprimer les pratiques commerciales illégales. Ces mesures consistent, selon M. Djaâti, à contrôler les prix des produits alimentaires subventionnés par l'Etat conformément à la loi. Parmi ces produits soumis au contrôle, l'on compte le lait en sachets, le pain ordinaire et amélioré de 250 g, la semoule ordinaire, le sucre blanc et l'huile alimentaire ordinaire. Concernant le phénomène de la hausse des prix de certains produits de consommation tels fruits et légumes, le responsable a fait remarquer que ces produits sont régis par la loi de l'offre et de la demande, ajoutant qu'il n'est pas possible d'intervenir pour en fixer les prix. Il a affirmé à ce propos, que la mission de son service résidait dans «la lutte contre le changement de l'activité commerciale sans autorisation, le stockage de certains produits alimentaires et le contrôle des factures pour vérifier le mouvement des marchandises». Ces équipes contrôlent aussi les locaux de restauration, les salons de thé et les vendeurs de glaces pour vérifier la chaîne de froid et les conditions de stockage, de transport, d'offre et de consommation. Pour ce qui est des produits vendus librement sur les trottoirs au détriment de la santé du citoyen, M. Djaâti a imputé ce phénomène essentiellement aux consommateurs qui achètent ces produits dont l'origine et le contenu sont inconnus, mais uniquement pour leurs prix. S'agissant du bilan des opérations de répression de la fraude durant la dernière semaine du mois de juillet, le responsable a précisé que 241 interventions ayant induit la fermeture de 13 locaux ont été effectuées à la suite d'actes d'infraction outre la saisi de 583 kg de denrées alimentaires. Ces infractions, a-t-il ajouté, peuvent être suivies de poursuites judiciaires et de mesures administratives qui consistent en la fermeture des locaux, la saisie, la destruction des produits périmés et la transformation du commerce en utilité publique.