Il semble bien que le secrétaire général de l'UGTA n'ait pas profité pleinement de ses vacances qu'il aurait, d'ailleurs, écourtées. Abdelmadjid Sidi Saïd et les membres du secrétariat national de l'UGTA sont totalement absorbés par les préparatifs de la prochaine tripartite, prévue au mois de septembre. Pour être fin prête à cet important rendez-vous, la centrale syndicale se doit bien de préparer au moindre détail les dossiers qu'elle compte défendre auprès de ses deux autres partenaires, en l'occurrence le gouvernement et le patronat, privé et public. Il semble bien que le secrétaire général de l'UGTA n'ait pas profité pleinement de ses vacances qu'il aurait, d'ailleurs, écourtées. Abdelmadjid Sidi Saïd et les membres du secrétariat national de l'UGTA sont totalement absorbés par les préparatifs de la prochaine tripartite, prévue au mois de septembre. Pour être fin prête à cet important rendez-vous, la centrale syndicale se doit bien de préparer au moindre détail les dossiers qu'elle compte défendre auprès de ses deux autres partenaires, en l'occurrence le gouvernement et le patronat, privé et public. Selon Louisa Hanoune, la secrétaire générale du Parti des travailleurs, qui est très proche de la direction de l'UGTA, notamment de Sidi Saïd, le syndicat s'attèlle à peaufiner certains dossiers, à l'exemple de celui relatif à l'augmentation des salaires et du SNMG, la protection de l'économie nationale et le sauvetage de la filière textile. La secrétaire générale du PT, qui s'est exprimée avant-hier lors d'une réunion du bureau politique de son parti, a estimé que «la prochaine réunion de la tripartite doit être l'occasion d'engager une véritable réforme sociale». Ainsi, pour mieux préparer le dossiers brûlants de ce rendez-vous qui constituera incontestablement l'événement majeur de la rentrée sociale et politique, l'UGTA a installé plusieurs groupes de travail. Selon des sources proches de la centrale syndicale, le secrétaire général, Abdelmadjid Sidi Saïd «veille personnellement au grain en vue d'achever l'élaboration des propositions du syndicat qui seront par la suite soumises au gouvernement et au patronat». Il est, donc, certain que le dossier des salaires sera bel et bien présent lors des cette rencontre tripartite. Il y'a quelques semaines, Sidi Saïd a laissé clairement entendre que la centrale syndicale ne se contentera pas de revendiquer une augmentation de salaire, mais soumettra aussi à ses deux partenaires une proposition relative à la revalorisation du salaire national minimum garanti (SNMG). Ce dernier a été augmenté, pour rappel, à l'issue de la 13e tripartite qui a eu lieu au début du mois de décembre 2009. Le SNMG est, donc, passé et ce, à compter de janvier 2010 de 12 000 à 15 000 DA. C'est la première fois, depuis 1991, que le SNMG est augmenté de plus de 2 000 dinars. Tout porte à croire que l'UGTA va demander une autre augmentation du SNMG. Selon des sources syndicales, l'UGTA compte revendiquer un SNMG de 20 000 DA. En plus de ce dossier, l'UGTA évoquera aussi la question des retraites, comme l'a, d'ailleurs, confirmé à maintes reprises Sidi Saïd. «Nos retraités ont besoin aujourd'hui de plus de considération, et leur dossier sera le premier à être examiné lors de la prochaine tripartite», a-t-il, ainsi, affirmé il y'a quelques temps. La promotion de la production, nationale sera le troisième grand dossier que défendra l'UGTA devant ses deux partenaires. Dans ce contexte, il est évident que les représentants de la centrale syndicale aborderont la question de la friperie et ne manqueront pas d'exprimer leur souhait que le projet de loi de finance de 2012 «évacue» l'article contenu dans la loi de finance complémentaire 2011, adoptée dernièrement par le Parlement et qui autorise son importation. Par la même, c'est le dossier de la relance de la filière textile qui sera discuté par les trois partenaires. Selon Louisa Hanoune, la secrétaire générale du Parti des travailleurs, qui est très proche de la direction de l'UGTA, notamment de Sidi Saïd, le syndicat s'attèlle à peaufiner certains dossiers, à l'exemple de celui relatif à l'augmentation des salaires et du SNMG, la protection de l'économie nationale et le sauvetage de la filière textile. La secrétaire générale du PT, qui s'est exprimée avant-hier lors d'une réunion du bureau politique de son parti, a estimé que «la prochaine réunion de la tripartite doit être l'occasion d'engager une véritable réforme sociale». Ainsi, pour mieux préparer le dossiers brûlants de ce rendez-vous qui constituera incontestablement l'événement majeur de la rentrée sociale et politique, l'UGTA a installé plusieurs groupes de travail. Selon des sources proches de la centrale syndicale, le secrétaire général, Abdelmadjid Sidi Saïd «veille personnellement au grain en vue d'achever l'élaboration des propositions du syndicat qui seront par la suite soumises au gouvernement et au patronat». Il est, donc, certain que le dossier des salaires sera bel et bien présent lors des cette rencontre tripartite. Il y'a quelques semaines, Sidi Saïd a laissé clairement entendre que la centrale syndicale ne se contentera pas de revendiquer une augmentation de salaire, mais soumettra aussi à ses deux partenaires une proposition relative à la revalorisation du salaire national minimum garanti (SNMG). Ce dernier a été augmenté, pour rappel, à l'issue de la 13e tripartite qui a eu lieu au début du mois de décembre 2009. Le SNMG est, donc, passé et ce, à compter de janvier 2010 de 12 000 à 15 000 DA. C'est la première fois, depuis 1991, que le SNMG est augmenté de plus de 2 000 dinars. Tout porte à croire que l'UGTA va demander une autre augmentation du SNMG. Selon des sources syndicales, l'UGTA compte revendiquer un SNMG de 20 000 DA. En plus de ce dossier, l'UGTA évoquera aussi la question des retraites, comme l'a, d'ailleurs, confirmé à maintes reprises Sidi Saïd. «Nos retraités ont besoin aujourd'hui de plus de considération, et leur dossier sera le premier à être examiné lors de la prochaine tripartite», a-t-il, ainsi, affirmé il y'a quelques temps. La promotion de la production, nationale sera le troisième grand dossier que défendra l'UGTA devant ses deux partenaires. Dans ce contexte, il est évident que les représentants de la centrale syndicale aborderont la question de la friperie et ne manqueront pas d'exprimer leur souhait que le projet de loi de finance de 2012 «évacue» l'article contenu dans la loi de finance complémentaire 2011, adoptée dernièrement par le Parlement et qui autorise son importation. Par la même, c'est le dossier de la relance de la filière textile qui sera discuté par les trois partenaires.