Même si le chiffre reste théorique, l'Algérie, qui participe avec 268 athlètes, visera 33 médailles d'or lors des jeux Africains qu'organisera la ville Maputo au Mozambique du 3 au 18 septembre prochains. C'est ce qu'a confirmé, hier, la direction générale des sports du ministère de la Jeunesse et des Sports, composée de Kenouche Hocine, directeur général des sports, Madjid Djebab, sous-directeur du sport d'élite, Saïd Bouamra, directeur du sport de haut niveau ainsi que Bouabid Hassane, premier vice-président du Comité olympique algérien, lors de son point de presse organisé au siége du ministère de la Jeunesse et des Sports. Même si le chiffre reste théorique, l'Algérie, qui participe avec 268 athlètes, visera 33 médailles d'or lors des jeux Africains qu'organisera la ville Maputo au Mozambique du 3 au 18 septembre prochains. C'est ce qu'a confirmé, hier, la direction générale des sports du ministère de la Jeunesse et des Sports, composée de Kenouche Hocine, directeur général des sports, Madjid Djebab, sous-directeur du sport d'élite, Saïd Bouamra, directeur du sport de haut niveau ainsi que Bouabid Hassane, premier vice-président du Comité olympique algérien, lors de son point de presse organisé au siége du ministère de la Jeunesse et des Sports. Selon l'étude qui a été faite par le MJS basée essentiellement sur les pronostics donnés par les premiers responsables des fédérations spécialisées, l'Algérie vise trois médailles en athlétisme, 3 en boxe, 4 en judo, 4 en karaté, 4 en natation, 3 en voile et une pour le volley-ball, handball et jeux échecs. Ce chiffre a été revu à la baisse, ajoutent les conférenciers, car plusieurs disciplines sont retirées par le comité d'organisation. L'Algérie, ajoute les organisateurs, participera avec 19 disciplines et avec un total de 265 athlètes, 122 hommes et 139 femmes. En tout, la délégation algérienne sera composée, selon la même source, de 409 personnes, entre cadres du ministère, présidents de fédérations, entraîneurs et autres. Les prochains jeux Africains de Maputo, indiquent les mêmes sources, seront une belle opportunité pour l'Algérie afin d'évaluer les vraies valeurs des athlètes et les capacités des équipe nationales. «C'est vrai que l'Algérie a tenu à participer avec le maximum d'athlètes dans ces prochains jeux Africains, mais je tiens a préciser qu'on n'ira par jusqu'au Mozambique juste pour faire de la figuration. Ce rendez-vous est très important pour nous afin de jauger les potentialités de nos athlètes. Les jeux de Maputo vont nous permettre d'établir une feuille de route à suivre dans les prochaines échéances internationales», a déclaré M. Kenouche lors de son intervention, et d'ajouter : «Chaque fédération doit choisir le sphère qui lui va mieux.» Il était question que l'Algérie aidera le Mozambique avec un matériel logistique, à titre de prêt bien évidement, mais vu la distance qui sépare les deux pays, l'Algérie s'est contentée d'une aide humaine. Il est utile de signaler que les deux départs seulement de la délégation algérienne, l'un le 29 août et l'autre le 3 septembre coûteront à l'Algérie 11 milliards. Mis à part quelques problèmes logistiques, l'Algérie, selon la direction générale des sports au niveau du ministère, est prête pour ce rendez-vous africain très important. Concernant les moyens mis en place par les pouvoirs publics, M. Kenouche a précisé que tout a été mis en place pour les équipe nationales pour mieux préparer ce rendez-vous continental dans les meilleures conditions possible. «A l'heure actuelle, me semble-t-il, aucune équipe nationale n'a raté son stage de préparation. Toutes les facilitations ont été accordées pour les fédérations, maintenant la balle est dans le camp des techniciens», a-t-il indiqué. En répondant à une question d'un confrère pourquoi ce n'est pas le Comité olympique qui chapeaute cet événement, M. Kenouche dira : «Le rendez-vous de Maputo est un événement gouvernemental, donc, c'est nous qui nous nous occupons de tous», a-t-il dit tout en niant toute mésentente entre le ministère de la Jeunesse et des Sports et le Comité olympique algérien. Pour M. Djebab, plus de 70% des athlètes algériens participent pour la première fois à un championnat d'Afrique et 40% d'entre eux ne dépassent pas 18 ans. Dans son intervention, M. Bouamra dira : «Il faut dépasser le stade du plaisir au stade de la rigueur». Selon l'étude qui a été faite par le MJS basée essentiellement sur les pronostics donnés par les premiers responsables des fédérations spécialisées, l'Algérie vise trois médailles en athlétisme, 3 en boxe, 4 en judo, 4 en karaté, 4 en natation, 3 en voile et une pour le volley-ball, handball et jeux échecs. Ce chiffre a été revu à la baisse, ajoutent les conférenciers, car plusieurs disciplines sont retirées par le comité d'organisation. L'Algérie, ajoute les organisateurs, participera avec 19 disciplines et avec un total de 265 athlètes, 122 hommes et 139 femmes. En tout, la délégation algérienne sera composée, selon la même source, de 409 personnes, entre cadres du ministère, présidents de fédérations, entraîneurs et autres. Les prochains jeux Africains de Maputo, indiquent les mêmes sources, seront une belle opportunité pour l'Algérie afin d'évaluer les vraies valeurs des athlètes et les capacités des équipe nationales. «C'est vrai que l'Algérie a tenu à participer avec le maximum d'athlètes dans ces prochains jeux Africains, mais je tiens a préciser qu'on n'ira par jusqu'au Mozambique juste pour faire de la figuration. Ce rendez-vous est très important pour nous afin de jauger les potentialités de nos athlètes. Les jeux de Maputo vont nous permettre d'établir une feuille de route à suivre dans les prochaines échéances internationales», a déclaré M. Kenouche lors de son intervention, et d'ajouter : «Chaque fédération doit choisir le sphère qui lui va mieux.» Il était question que l'Algérie aidera le Mozambique avec un matériel logistique, à titre de prêt bien évidement, mais vu la distance qui sépare les deux pays, l'Algérie s'est contentée d'une aide humaine. Il est utile de signaler que les deux départs seulement de la délégation algérienne, l'un le 29 août et l'autre le 3 septembre coûteront à l'Algérie 11 milliards. Mis à part quelques problèmes logistiques, l'Algérie, selon la direction générale des sports au niveau du ministère, est prête pour ce rendez-vous africain très important. Concernant les moyens mis en place par les pouvoirs publics, M. Kenouche a précisé que tout a été mis en place pour les équipe nationales pour mieux préparer ce rendez-vous continental dans les meilleures conditions possible. «A l'heure actuelle, me semble-t-il, aucune équipe nationale n'a raté son stage de préparation. Toutes les facilitations ont été accordées pour les fédérations, maintenant la balle est dans le camp des techniciens», a-t-il indiqué. En répondant à une question d'un confrère pourquoi ce n'est pas le Comité olympique qui chapeaute cet événement, M. Kenouche dira : «Le rendez-vous de Maputo est un événement gouvernemental, donc, c'est nous qui nous nous occupons de tous», a-t-il dit tout en niant toute mésentente entre le ministère de la Jeunesse et des Sports et le Comité olympique algérien. Pour M. Djebab, plus de 70% des athlètes algériens participent pour la première fois à un championnat d'Afrique et 40% d'entre eux ne dépassent pas 18 ans. Dans son intervention, M. Bouamra dira : «Il faut dépasser le stade du plaisir au stade de la rigueur».