En 2010, les échanges commerciaux entre l'Algérie et les Etats-Unis d'Amérique se sont soldés par un montant de plus de 21 milliards dollars. En 2011, avec les investissements dans le secteur de l'industrie pharmaceutique, les échanges vont aller crescendo, notamment la signature de conventions entre des entreprises algériennes et des firmes américaines qui prévoient de transformer l'Algérie en plaque tournante et en dragon des biotechnologies en Afrique. En 2010, les échanges commerciaux entre l'Algérie et les Etats-Unis d'Amérique se sont soldés par un montant de plus de 21 milliards dollars. En 2011, avec les investissements dans le secteur de l'industrie pharmaceutique, les échanges vont aller crescendo, notamment la signature de conventions entre des entreprises algériennes et des firmes américaines qui prévoient de transformer l'Algérie en plaque tournante et en dragon des biotechnologies en Afrique. En principe, les visites des hommes d'affaires et investisseurs américains, en Algérie, se traduisent, souvent, par des accords de coopération et de partenariat gagnant-gagnant mutuellement bénéfique. Avec le projet commun dans le secteur des médicaments, qui va générer des milliers d'emplois et des richesses, l'Algérie pourrait exporter des produits médicamenteux dans les pays africains, d'où la création d'une importante plus-value des produits made in Algéria. Aussi, les prochaines participations d'opérateurs économiques algériens aux foires de Chicago et de Miami, spécialisées dans le domaine agroalimentaire, vont donner un nouveau souffle aux relations entre les entrepreneurs des deux pays. Ainsi, les rencontres business to business (B to B) permettront de multiplier les contacts et les mises en relations d'affaires. Aussi, les investisseurs américains continueront de visiter l'Algérie en vue de dénicher des opportunités de partenariat, notamment par le biais du Conseil d'affaires algéro-américain présidé par Smaïl Chikhoune. Midi Libre : L'administration américaine et la réglementation offrent des avantages importants aux opérateurs économiques algériens en quête de business aux Etats-Unis d'Amérique ? Qu'en est-il exactement ? Jennifer Noisette : J'espère que les produits algériens soient présents sur le marché des Etats-Unis d'Amérique, car aujourd'hui, les opérateurs économiques algériens exportent des biens et marchandises vers les USA. Nous aimerions, par exemple, que les exportateurs algériens y commercialisent des produits alimentaires, agricoles et agroalimentaires, tel que le couscous que j'apprécie beaucoup. Mais, nous souhaitons voir sur le marché américain l'ensemble des produits algériens. Moi, je suis en Algérie depuis deux années et j'aime bien les produits alimentaires algériens. Aussi, j'espère que tous les consommateurs américains sollicitent les produits made in Algeria du terroir. Pensez-vous que les Etats-Unis octroient des facilités et des avantages compétitifs aux opérateurs économiques algériens ? Oui, je pense qu'il existe des facilités qui sont accordées aux exportateurs et opérateurs économiques algériens pour accéder au marché américain. Cependant, nous sommes en train d'examiner les opportunités et les possibilités d'exportation des entrepreneurs algériens en leur accordant des prérogatives administratives et douanières. Et je pense obtenir des résultats positifs avec cette idée. Dans quel sens pouvons-nous dire que les échanges algéro-américains seront facilités dans le cadre du business Council algéro-américain en vue de leur augmentation ? Oui, j'espère que le forum algéro-américain soit très utile, car il y a des Américains qui veulent entrer dans des affaires en Algérie pour faire le business. Mais, je sais également qu'il y a des opérateurs économiques algériens désirent lancer le business et l'entreprenariat aux Etats-Unis d'Amérique pour promouvoir et vendre leurs produits. Par ailleurs, de nombreuses personnes du monde du business sont intéressées par par le partenariat algéro-américain qui encouragent les opérations d'exportation vers les USA. Nous avons accordé 1 061 visas d'affaires seulement pour 3 140 demandes de visas d'affaires et touristiques combinées en 2010. Et les demandes rejetées sont-elles à cause des dossiers incomplets ? Généralement, les gens qui viennent pour l'entretien sont considérés comme des immigrants aux Etats-Unis d'Amérique. Durant l'entretien, les demandeurs de visas doivent prouver et convaincre qu'ils n'ont pas l'intention d'émigrer aux USA. Il y a aussi, des gens qui ne peuvent pas exprimer cette chose. Mais, le taux de refus est seulement de 25 %. Pour les Algériens désirant investir aux Etats-Unis, ont-ils la possibilité de réaliser leurs projets en ayant des facilités administratives ? Certainement, il existe normalement des procédures facilitant le business en général. Lorsque je vous octroie le visa, c'est pour vous donner la permission d'entrer aux Etats-Unis et fructifier des projets d'investissement. Il y a moins de bureaucratie dans les procédures d'octroi de visas US pour les hommes d'affaires et les opérateurs économiques algériens. En pratique, comment cela se passe-t-il sachant qu'il n'y a pas de paperasse et de dossiers volumineux ? Oui, la procédure est simple. Nous demandons juste les formulaires et les pages de confirmation, c'est-à-dire le passeport, des photos. C'est, donc, facile et pratique comme procédure d'octroi de visas pour les opérateurs économiques et les hommes d'affaires algériens. En principe, les visites des hommes d'affaires et investisseurs américains, en Algérie, se traduisent, souvent, par des accords de coopération et de partenariat gagnant-gagnant mutuellement bénéfique. Avec le projet commun dans le secteur des médicaments, qui va générer des milliers d'emplois et des richesses, l'Algérie pourrait exporter des produits médicamenteux dans les pays africains, d'où la création d'une importante plus-value des produits made in Algéria. Aussi, les prochaines participations d'opérateurs économiques algériens aux foires de Chicago et de Miami, spécialisées dans le domaine agroalimentaire, vont donner un nouveau souffle aux relations entre les entrepreneurs des deux pays. Ainsi, les rencontres business to business (B to B) permettront de multiplier les contacts et les mises en relations d'affaires. Aussi, les investisseurs américains continueront de visiter l'Algérie en vue de dénicher des opportunités de partenariat, notamment par le biais du Conseil d'affaires algéro-américain présidé par Smaïl Chikhoune. Midi Libre : L'administration américaine et la réglementation offrent des avantages importants aux opérateurs économiques algériens en quête de business aux Etats-Unis d'Amérique ? Qu'en est-il exactement ? Jennifer Noisette : J'espère que les produits algériens soient présents sur le marché des Etats-Unis d'Amérique, car aujourd'hui, les opérateurs économiques algériens exportent des biens et marchandises vers les USA. Nous aimerions, par exemple, que les exportateurs algériens y commercialisent des produits alimentaires, agricoles et agroalimentaires, tel que le couscous que j'apprécie beaucoup. Mais, nous souhaitons voir sur le marché américain l'ensemble des produits algériens. Moi, je suis en Algérie depuis deux années et j'aime bien les produits alimentaires algériens. Aussi, j'espère que tous les consommateurs américains sollicitent les produits made in Algeria du terroir. Pensez-vous que les Etats-Unis octroient des facilités et des avantages compétitifs aux opérateurs économiques algériens ? Oui, je pense qu'il existe des facilités qui sont accordées aux exportateurs et opérateurs économiques algériens pour accéder au marché américain. Cependant, nous sommes en train d'examiner les opportunités et les possibilités d'exportation des entrepreneurs algériens en leur accordant des prérogatives administratives et douanières. Et je pense obtenir des résultats positifs avec cette idée. Dans quel sens pouvons-nous dire que les échanges algéro-américains seront facilités dans le cadre du business Council algéro-américain en vue de leur augmentation ? Oui, j'espère que le forum algéro-américain soit très utile, car il y a des Américains qui veulent entrer dans des affaires en Algérie pour faire le business. Mais, je sais également qu'il y a des opérateurs économiques algériens désirent lancer le business et l'entreprenariat aux Etats-Unis d'Amérique pour promouvoir et vendre leurs produits. Par ailleurs, de nombreuses personnes du monde du business sont intéressées par par le partenariat algéro-américain qui encouragent les opérations d'exportation vers les USA. Nous avons accordé 1 061 visas d'affaires seulement pour 3 140 demandes de visas d'affaires et touristiques combinées en 2010. Et les demandes rejetées sont-elles à cause des dossiers incomplets ? Généralement, les gens qui viennent pour l'entretien sont considérés comme des immigrants aux Etats-Unis d'Amérique. Durant l'entretien, les demandeurs de visas doivent prouver et convaincre qu'ils n'ont pas l'intention d'émigrer aux USA. Il y a aussi, des gens qui ne peuvent pas exprimer cette chose. Mais, le taux de refus est seulement de 25 %. Pour les Algériens désirant investir aux Etats-Unis, ont-ils la possibilité de réaliser leurs projets en ayant des facilités administratives ? Certainement, il existe normalement des procédures facilitant le business en général. Lorsque je vous octroie le visa, c'est pour vous donner la permission d'entrer aux Etats-Unis et fructifier des projets d'investissement. Il y a moins de bureaucratie dans les procédures d'octroi de visas US pour les hommes d'affaires et les opérateurs économiques algériens. En pratique, comment cela se passe-t-il sachant qu'il n'y a pas de paperasse et de dossiers volumineux ? Oui, la procédure est simple. Nous demandons juste les formulaires et les pages de confirmation, c'est-à-dire le passeport, des photos. C'est, donc, facile et pratique comme procédure d'octroi de visas pour les opérateurs économiques et les hommes d'affaires algériens.