Le gouvernement veut apparemment se conformer au strict respect des instructions du président de la République, s'agissant des projets de loi entrant dans le cadre des réformes politiques. Abdelaziz Bouteflika a, en effet, instruit le gouvernement pour que les projets de loi en question soient prêts dès l'entame de l'automne. Le gouvernement veut apparemment se conformer au strict respect des instructions du président de la République, s'agissant des projets de loi entrant dans le cadre des réformes politiques. Abdelaziz Bouteflika a, en effet, instruit le gouvernement pour que les projets de loi en question soient prêts dès l'entame de l'automne. Car, faut-il le rappeler, le président Bouteflika s'est engagé afin que ces projets soient soumis aux deux chambres du Parlement lors de la session d'automne, dont l'ouverture est au début du mois de septembre, et la clôture au mois de janvier. En effet, le gouvernement a d'ores et déjà entamé, dans une totale idiosyncrasie, l'examen des projets de loi relatifs aux partis et aux élections. Selon les rares indiscrétions qui ont filtré, le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a d'ores et déjà présidé plusieurs conseils interministériels consacrés à ces deux projets de loi. Et même si les informations sont très rares sur le sujet, certaines sources n'ont pas manqué d'indiquer que le gouvernement semble avoir réalisé de grandes avancées, ce qui laisse supposer qu'il est peut-être sur la voie de mettre les dernières retouches aux projets de loi, notamment ceux relatifs aux partis politiques et aux élections c'est-à-dire le code électoral). Tout porte à croire que l'exécutif, conformément, donc, à la volonté du chef de l'Etat, est dans l'obligation de hâter le processus afin d'être dans les délais. Le gouvernement est aussi en train de préparer d'autres textes de loi qui seront soumis au Parlement au même titre que la loi électorale et la loi sur les partis politiques dont rien n'a filtré, cela dit sur leur contenu. En effet, Ahmed Ouyahia est aussi tenu d'élaborer un projet de loi sur les associations ainsi qu'un autre projet de loi portant sur le code de l'information. Ce dernier projet serait sur le point d'être soumis à l'examen du gouvernement. Le ministre de la Communication a, donc, achevé sa copie. Il faut dire que Nacer Mehal a, à maintes reprises, indiqué que son département ministériel est sur le point de finir son travail. Le ministre a rencontré les organisations syndicales représentatives des journalistes, les éditeurs ainsi que l'ensemble des acteurs du secteur afin d'élaborer un texte relativement consensuel. Un texte qui viendra réviser l'actuel code qui date de 1990, mais qui suscite, il faut le dire, certaines inquiétudes, car nombreux sont les professionnels des médias qui suspectent le gouvernement de vouloir élaborer un texte moins libéral que l'actuel texte. Ahmed Ouyahia met, donc, les bouchées double et tout indique qu'il sera au rendez-vous. Le président de la République s'est engagé auprès des Algériens à présenter les nouveaux projets de loi au Parlement lors de la session d'automne. Des projets de loi qui entrent dans le cadre des réformes politiques pour lesquelles des consultations ont été menées par l'instance présidée par Abdelkader Bensalah qui a rencontré la majorité des acteurs de la scène politique nationale, des associations de la société civile ainsi que des personnalités nationales. Ces derniers ont présenté leurs propositions à l'instance de Bensalah laquelle a, au bout du compte, adressé un rapport concis au président de la République. Car, faut-il le rappeler, le président Bouteflika s'est engagé afin que ces projets soient soumis aux deux chambres du Parlement lors de la session d'automne, dont l'ouverture est au début du mois de septembre, et la clôture au mois de janvier. En effet, le gouvernement a d'ores et déjà entamé, dans une totale idiosyncrasie, l'examen des projets de loi relatifs aux partis et aux élections. Selon les rares indiscrétions qui ont filtré, le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a d'ores et déjà présidé plusieurs conseils interministériels consacrés à ces deux projets de loi. Et même si les informations sont très rares sur le sujet, certaines sources n'ont pas manqué d'indiquer que le gouvernement semble avoir réalisé de grandes avancées, ce qui laisse supposer qu'il est peut-être sur la voie de mettre les dernières retouches aux projets de loi, notamment ceux relatifs aux partis politiques et aux élections c'est-à-dire le code électoral). Tout porte à croire que l'exécutif, conformément, donc, à la volonté du chef de l'Etat, est dans l'obligation de hâter le processus afin d'être dans les délais. Le gouvernement est aussi en train de préparer d'autres textes de loi qui seront soumis au Parlement au même titre que la loi électorale et la loi sur les partis politiques dont rien n'a filtré, cela dit sur leur contenu. En effet, Ahmed Ouyahia est aussi tenu d'élaborer un projet de loi sur les associations ainsi qu'un autre projet de loi portant sur le code de l'information. Ce dernier projet serait sur le point d'être soumis à l'examen du gouvernement. Le ministre de la Communication a, donc, achevé sa copie. Il faut dire que Nacer Mehal a, à maintes reprises, indiqué que son département ministériel est sur le point de finir son travail. Le ministre a rencontré les organisations syndicales représentatives des journalistes, les éditeurs ainsi que l'ensemble des acteurs du secteur afin d'élaborer un texte relativement consensuel. Un texte qui viendra réviser l'actuel code qui date de 1990, mais qui suscite, il faut le dire, certaines inquiétudes, car nombreux sont les professionnels des médias qui suspectent le gouvernement de vouloir élaborer un texte moins libéral que l'actuel texte. Ahmed Ouyahia met, donc, les bouchées double et tout indique qu'il sera au rendez-vous. Le président de la République s'est engagé auprès des Algériens à présenter les nouveaux projets de loi au Parlement lors de la session d'automne. Des projets de loi qui entrent dans le cadre des réformes politiques pour lesquelles des consultations ont été menées par l'instance présidée par Abdelkader Bensalah qui a rencontré la majorité des acteurs de la scène politique nationale, des associations de la société civile ainsi que des personnalités nationales. Ces derniers ont présenté leurs propositions à l'instance de Bensalah laquelle a, au bout du compte, adressé un rapport concis au président de la République.