Depuis le début de la saison estivale 2011, pas moins de 209 personnes sont décédées par noyade en Algérie, indique la Direction générale de la Protection civile. Au cours de cette période, les sapeurs-pompiers ont enregistré 49 308 interventions liées au dispositif de la surveillance des plages et des baignades à travers les wilayas côtières du pays où 28 522 personnes ont été secourues et sauvées de noyade dans les plages surveillées alors que 18 198 autres personnes ont reçu des soins par les agents de la Protection civile. Par contre, 102 personnes sont décédées dont 56 dans les plages interdites à la baignade. Selon notre source, ces victimes de la mer, à l'exception de celles qui ont rendu l'âme dans des zones interdites à la baignade, ont péri en dehors des heures de travail des surveillances des plages. Par contre, les quelques estivants jeûneurs se plaignent de l'absence des maîtres nageurs et des sapeurs-pompiers dans certaines plages autorisées à la baignade à l'image de celle de Zéralda dans la capitale. Malgré cela, certains spécialistes estiment que cette défection n'est point fortuite. Selon leurs dires, les accidents sont susceptibles d'avoir lieu durant les grandes affluences. Ce n'est pas le cas du mois sacré de Ramadhan même si certaines plages sont occupées, durant les longues journées de jeûne, par un certain nombre de baigneurs, notamment les enfants. Chose qui est peu prisée par plusieurs aoûtiens. Se fiant aux précédents bilans, les responsables du secteur indiquent que tous les cas de noyade sont dus essentiellement au non-respect des conseils et orientations des services de la Protection civile, ainsi que la baignade en dehors des horaires de travail, et non pas à leur défection. Pour preuve, aucun cas de noyade n'a été enregistré durant ce mois en cours, à l'exception d'un seul qui a eu lieu la nuit dans une zone non autorisée à la baignade, disent-ils. Depuis le début de la saison estivale 2011, pas moins de 209 personnes sont décédées par noyade en Algérie, indique la Direction générale de la Protection civile. Au cours de cette période, les sapeurs-pompiers ont enregistré 49 308 interventions liées au dispositif de la surveillance des plages et des baignades à travers les wilayas côtières du pays où 28 522 personnes ont été secourues et sauvées de noyade dans les plages surveillées alors que 18 198 autres personnes ont reçu des soins par les agents de la Protection civile. Par contre, 102 personnes sont décédées dont 56 dans les plages interdites à la baignade. Selon notre source, ces victimes de la mer, à l'exception de celles qui ont rendu l'âme dans des zones interdites à la baignade, ont péri en dehors des heures de travail des surveillances des plages. Par contre, les quelques estivants jeûneurs se plaignent de l'absence des maîtres nageurs et des sapeurs-pompiers dans certaines plages autorisées à la baignade à l'image de celle de Zéralda dans la capitale. Malgré cela, certains spécialistes estiment que cette défection n'est point fortuite. Selon leurs dires, les accidents sont susceptibles d'avoir lieu durant les grandes affluences. Ce n'est pas le cas du mois sacré de Ramadhan même si certaines plages sont occupées, durant les longues journées de jeûne, par un certain nombre de baigneurs, notamment les enfants. Chose qui est peu prisée par plusieurs aoûtiens. Se fiant aux précédents bilans, les responsables du secteur indiquent que tous les cas de noyade sont dus essentiellement au non-respect des conseils et orientations des services de la Protection civile, ainsi que la baignade en dehors des horaires de travail, et non pas à leur défection. Pour preuve, aucun cas de noyade n'a été enregistré durant ce mois en cours, à l'exception d'un seul qui a eu lieu la nuit dans une zone non autorisée à la baignade, disent-ils.