Le Conseil national de transition (CNT) libyen, qui siège à Benghazi (à l'est du pays), a fait savoir qu'il ne déménagera à Tripoli qu'après la libération de l'ensemble du territoire. La déclaration a été faite, lundi soir, par le biais de son vice-président Abdel Hafiz Ghoga. Pour sa part, Moustapha Abdeljalil, le président du CNT, avait annoncé vendredi à Benghazi que le CNT prévoyait de déménager «la semaine prochaine» à Tripoli, sous le contrôle des nouveaux dirigeants du pays. «Il y aura peut-être une apparition symbolique de quelques membres du CNT à Tripoli ou du président du Conseil lui-même (cette semaine), mais cela ne signifiera pas le transfert du Conseil», a répondu, lundi, le vice-président du CNT, Abdel Hafiz Ghoga, à la question de savoir si le CNT déménagerait cette semaine comme annoncé vendredi par M. Abdeljalil. Le transfert à Tripoli «interviendra après l'annonce de la libération de l'ensemble du territoire libyen, Sebha, Syrte et Bani Walid», a-t-il répété. Les combattants du nouveau pouvoir en Libye ont, a-t-on su, notablement progressé, mardi, sur le front est de Syrte, en direction de la ville natale du dirigeant déchu. Sur le plan international, le gouvernement centrafricain a annoncé reconnaître le Conseil national de transition (CNT, rébellion) libyen comme «instance politique censée défendre et protéger les droits du peuple libyen», dans un communiqué lu lundi soir par le ministre des Affaires étrangères à la Radio nationale du pays. Le gouvernement comorien a exprimé sa «solidarité» avec le Conseil national de transition (CNT), a-t-on également appris. S'agissant de la situation humanitaire critique qui continue de faire parler d'elle en Libye, les autorités tunisiennes ont annoncé, lundi, que pas moins de 9.000 Libyens traversent le point de passage de Ras Jedir par jour vers la Tunisie voisine, et pour cause, l'absence de sécurité dans leur pays. S'agissant du sort de Mouammar Kadhafi, les rumeurs laissent entendre qu'il n'est plus sur le territoire libyen, bien que les commandement militaire du CNT a déclaré, ces derniers jours, avoir réussi à localiser la planque du leader déchu. Selon plusieurs médias étrangers, un important convoi de véhicules civils et militaires en provenance de Libye aurait traversé vers le Niger, sans pour autant confirmer si l'ex-dirigeant déchu se trouvait dans le convoi. Le Conseil national de transition (CNT) libyen, qui siège à Benghazi (à l'est du pays), a fait savoir qu'il ne déménagera à Tripoli qu'après la libération de l'ensemble du territoire. La déclaration a été faite, lundi soir, par le biais de son vice-président Abdel Hafiz Ghoga. Pour sa part, Moustapha Abdeljalil, le président du CNT, avait annoncé vendredi à Benghazi que le CNT prévoyait de déménager «la semaine prochaine» à Tripoli, sous le contrôle des nouveaux dirigeants du pays. «Il y aura peut-être une apparition symbolique de quelques membres du CNT à Tripoli ou du président du Conseil lui-même (cette semaine), mais cela ne signifiera pas le transfert du Conseil», a répondu, lundi, le vice-président du CNT, Abdel Hafiz Ghoga, à la question de savoir si le CNT déménagerait cette semaine comme annoncé vendredi par M. Abdeljalil. Le transfert à Tripoli «interviendra après l'annonce de la libération de l'ensemble du territoire libyen, Sebha, Syrte et Bani Walid», a-t-il répété. Les combattants du nouveau pouvoir en Libye ont, a-t-on su, notablement progressé, mardi, sur le front est de Syrte, en direction de la ville natale du dirigeant déchu. Sur le plan international, le gouvernement centrafricain a annoncé reconnaître le Conseil national de transition (CNT, rébellion) libyen comme «instance politique censée défendre et protéger les droits du peuple libyen», dans un communiqué lu lundi soir par le ministre des Affaires étrangères à la Radio nationale du pays. Le gouvernement comorien a exprimé sa «solidarité» avec le Conseil national de transition (CNT), a-t-on également appris. S'agissant de la situation humanitaire critique qui continue de faire parler d'elle en Libye, les autorités tunisiennes ont annoncé, lundi, que pas moins de 9.000 Libyens traversent le point de passage de Ras Jedir par jour vers la Tunisie voisine, et pour cause, l'absence de sécurité dans leur pays. S'agissant du sort de Mouammar Kadhafi, les rumeurs laissent entendre qu'il n'est plus sur le territoire libyen, bien que les commandement militaire du CNT a déclaré, ces derniers jours, avoir réussi à localiser la planque du leader déchu. Selon plusieurs médias étrangers, un important convoi de véhicules civils et militaires en provenance de Libye aurait traversé vers le Niger, sans pour autant confirmer si l'ex-dirigeant déchu se trouvait dans le convoi.