La mise en marche sans passagers du métro d'Alger, dite la marche à blanc, qui sera lancée aujourd'hui, est l'ultime phase de ce projet avant sa mise en service, a-t-on appris auprès du ministère des Transports. Après l'achèvement des phases des essais mécaniques, dynamiques et ceux des différents systèmes, la société RATP-El Djazaïr, chargée de l'exploitation du métro d'Alger, procèdera, pendant quelques semaines, à son exploitation non commerciale, une phase d'essai nécessaire en prévision de sa mise en service effective prévue en novembre prochain. La RATP-El Djazaïr va simuler lors de cette étape du fonctionnement non commercial 100 exercices, comme l'évacuation des passagers d'une rame ou l'accostage d'une rame qui tombe en panne afin de pouvoir gérer le métro avec efficacité lors de sa mise en service, avait indiqué le dg de la RATP, Pascal Garret. "La marche à blanc, c'est un métro qui roule comme s'il est totalement livré", avait expliqué, en juillet dernier, le ministre des Transports, Amar Tou. Durant cette phase de mise en service d'essai, il va transporter un nombre limité de passagers qui sera augmenté progressivement en prévision de son exploitation commerciale. Selon le ministre, le Fonds de soutien aux transports collectifs qui intervient déjà dans le soutien des prix de l'ETUSA et du tramway d'Alger, sera également sollicité pour soutenir le prix du ticket de métro. «Nous disposons actuellement de ressources financières suffisantes pour qu'on puisse répondre à notre ambition d'offrir aux Algériens un moyen de transport à un prix raisonnable'', avait déclaré M. Tou. Concernant le prix du ticket du métro, le ministre a précisé que ''tous les scénarios'' de tarification ont été étudiés, mais la décision du ''juste prix'' sera prise avant la deuxième quinzaine de ce mois de septembre pour permettre à la RATP-El Djazaïr de l'intégrer dans ses systèmes de calcul. «Nous avons élaboré plusieurs variantes de prix», a-t-il dit en assurant que "la tarification a été bien calculée", mais sans donner plus de détails sur le prix du ticket. L'exploitation du métro d'Alger sera assurée par plus de 400 agents que la RATP est en train de former, dont 275 sont formés dans l'exploitation, une centaine dans la maintenance et une soixantaine dans l'encadrement administratif, avait-il fait savoir. Le fonctionnement du métro d'Alger est prévu sept jours sur sept de 5h00 du matin à 23h00. ''Il sera utilisé au maximum de ses capacités durant les heures de pointe et transportera une moyenne jusqu'à 22.000 voyageurs par heure'', avait-t-il ajouté. Le métro est doté d'un pilotage automatique. Ce système de pilotage automatique est l'un des systèmes les plus sécurisés dans le monde, le même utilisé dans la partie rénovée du métro de Paris, avait assuré le même responsable. La RATP El Djazaïr a élaboré un plan de communication pour informer la population de la mise en service du métro et permettre au grand public de se familiariser avec ce moyen de transport. La mise en marche sans passagers du métro d'Alger, dite la marche à blanc, qui sera lancée aujourd'hui, est l'ultime phase de ce projet avant sa mise en service, a-t-on appris auprès du ministère des Transports. Après l'achèvement des phases des essais mécaniques, dynamiques et ceux des différents systèmes, la société RATP-El Djazaïr, chargée de l'exploitation du métro d'Alger, procèdera, pendant quelques semaines, à son exploitation non commerciale, une phase d'essai nécessaire en prévision de sa mise en service effective prévue en novembre prochain. La RATP-El Djazaïr va simuler lors de cette étape du fonctionnement non commercial 100 exercices, comme l'évacuation des passagers d'une rame ou l'accostage d'une rame qui tombe en panne afin de pouvoir gérer le métro avec efficacité lors de sa mise en service, avait indiqué le dg de la RATP, Pascal Garret. "La marche à blanc, c'est un métro qui roule comme s'il est totalement livré", avait expliqué, en juillet dernier, le ministre des Transports, Amar Tou. Durant cette phase de mise en service d'essai, il va transporter un nombre limité de passagers qui sera augmenté progressivement en prévision de son exploitation commerciale. Selon le ministre, le Fonds de soutien aux transports collectifs qui intervient déjà dans le soutien des prix de l'ETUSA et du tramway d'Alger, sera également sollicité pour soutenir le prix du ticket de métro. «Nous disposons actuellement de ressources financières suffisantes pour qu'on puisse répondre à notre ambition d'offrir aux Algériens un moyen de transport à un prix raisonnable'', avait déclaré M. Tou. Concernant le prix du ticket du métro, le ministre a précisé que ''tous les scénarios'' de tarification ont été étudiés, mais la décision du ''juste prix'' sera prise avant la deuxième quinzaine de ce mois de septembre pour permettre à la RATP-El Djazaïr de l'intégrer dans ses systèmes de calcul. «Nous avons élaboré plusieurs variantes de prix», a-t-il dit en assurant que "la tarification a été bien calculée", mais sans donner plus de détails sur le prix du ticket. L'exploitation du métro d'Alger sera assurée par plus de 400 agents que la RATP est en train de former, dont 275 sont formés dans l'exploitation, une centaine dans la maintenance et une soixantaine dans l'encadrement administratif, avait-il fait savoir. Le fonctionnement du métro d'Alger est prévu sept jours sur sept de 5h00 du matin à 23h00. ''Il sera utilisé au maximum de ses capacités durant les heures de pointe et transportera une moyenne jusqu'à 22.000 voyageurs par heure'', avait-t-il ajouté. Le métro est doté d'un pilotage automatique. Ce système de pilotage automatique est l'un des systèmes les plus sécurisés dans le monde, le même utilisé dans la partie rénovée du métro de Paris, avait assuré le même responsable. La RATP El Djazaïr a élaboré un plan de communication pour informer la population de la mise en service du métro et permettre au grand public de se familiariser avec ce moyen de transport.