Les entretiens avec la délégation du Comité international de coordination des institutions des droits de l'homme, mardi Alger, ont été l'occasion pour la Commission nationale consultative pour la promotion et la protection des droits de l'homme (CNCPPDH) de "remettre les choses à leur place" concernant la situation des droits de l'homme en Algérie, a affirmé son président, M. Farouk Ksentini. "Ce comité avait une autre appréciation de la situation des droits de l'homme en Algérie, une image qui a été répandue par les ennemis du pays et par des personnes qui veulent lui faire admettre que les droits de l'homme ne sont pas respectés en Algérie et que la liberté de la presse est bafouée", a souligné M. Ksentini en marge de sa rencontre avec la délégation du Comité international de coordination des institutions nationales des droits de l'homme (CIC/INDH) du Haut Commissariat des droits de l'homme de l'ONU. "Nous avons remis les choses à leur place et nous avons essayé de leur donner une image qui reflète la réalité des droits de l'homme en Algérie", a poursuivi le président de la CNCPPDH. La délégation de la CIC/INDH ,conduite par sa présidente, Mme Roselyn Noonan, effectue une visite de trois jours en Algérie à la demande du CNCPPDH, pour s'enquérir de visu de la situation des droits de l'homme en Algérie. Elle aura, également, une série d'entretiens avec de hauts responsables algériens. M. Ksentini a indiqué que les membres de la CIC/INDH ont reçu, lors de l'entretien qu'ils ont eu avec lui, des explications sur la situation des droits de l'homme en Algérie et sur les activités et les objectifs de la CNCPDH. "Nous leur avons expliqué les mécanismes de fonctionnement de la Commission, en insistant sur son caractère indépendant", a-t-il précisé, ajoutant que les membres de la délégation ont eu des assurances sur la "volonté politique réelle" qui existe en Algérie d'édifier un Etat de droit. "Il s'agit d'une vérité, malgré l'existence de difficultés dans cette voie", a-t-il encore affirmé. "Nous avons insisté aussi sur le fait que l'Algérie possède des compétences capables de relever ce défi", a-t-il ajouté Les entretiens avec la délégation du Comité international de coordination des institutions des droits de l'homme, mardi Alger, ont été l'occasion pour la Commission nationale consultative pour la promotion et la protection des droits de l'homme (CNCPPDH) de "remettre les choses à leur place" concernant la situation des droits de l'homme en Algérie, a affirmé son président, M. Farouk Ksentini. "Ce comité avait une autre appréciation de la situation des droits de l'homme en Algérie, une image qui a été répandue par les ennemis du pays et par des personnes qui veulent lui faire admettre que les droits de l'homme ne sont pas respectés en Algérie et que la liberté de la presse est bafouée", a souligné M. Ksentini en marge de sa rencontre avec la délégation du Comité international de coordination des institutions nationales des droits de l'homme (CIC/INDH) du Haut Commissariat des droits de l'homme de l'ONU. "Nous avons remis les choses à leur place et nous avons essayé de leur donner une image qui reflète la réalité des droits de l'homme en Algérie", a poursuivi le président de la CNCPPDH. La délégation de la CIC/INDH ,conduite par sa présidente, Mme Roselyn Noonan, effectue une visite de trois jours en Algérie à la demande du CNCPPDH, pour s'enquérir de visu de la situation des droits de l'homme en Algérie. Elle aura, également, une série d'entretiens avec de hauts responsables algériens. M. Ksentini a indiqué que les membres de la CIC/INDH ont reçu, lors de l'entretien qu'ils ont eu avec lui, des explications sur la situation des droits de l'homme en Algérie et sur les activités et les objectifs de la CNCPDH. "Nous leur avons expliqué les mécanismes de fonctionnement de la Commission, en insistant sur son caractère indépendant", a-t-il précisé, ajoutant que les membres de la délégation ont eu des assurances sur la "volonté politique réelle" qui existe en Algérie d'édifier un Etat de droit. "Il s'agit d'une vérité, malgré l'existence de difficultés dans cette voie", a-t-il encore affirmé. "Nous avons insisté aussi sur le fait que l'Algérie possède des compétences capables de relever ce défi", a-t-il ajouté