Un congrès international des victimes du terrorisme se tiendra à partir d'aujourd'hui à Paris en présence de quelque 450 congressistes, provenant de près de 35 pays. Les travaux de ce congrès, le VIIe du genre se tiendront trois jours durant et seront rythmés par plusieurs tables rondes et des séances de témoignages, paroles de victimes et seront également marqués par des cérémonies officielles en présence de chefs d'Etat et de gouvernement. Des experts se pencheront sur l'efficacité de la collaboration entre les Etats dans la lutte contre les organisations terroristes, ainsi que sur l'évolution de la menace terroriste et le recrutement des jeunes par les organisations terroristes. Le rôle des Etats, des employeurs et de la société civile dans la prise en charge des victimes de ce phénomène transnational sera également examiné lors de ce congrès dont l'objectif est de sensibiliser l'opinion publique internationale à la cause et aux besoins urgents des victimes du terrorisme et de développer les réseaux nationaux et internationaux des victimes du terrorisme, selon les organisateurs. «Nous avons voulu inscrire ce congrès dans le cadre d'une action universelle et expliquer la problématique que rencontrent les victimes du terrorisme. Il s'agit de savoir aussi comment ces victimes se reconstruisent et montrer que dès lors qu'elles sont accompagnées et aidées, deviennent une force pour la société",a indiqué lors d'une conférence de presse précédant le congrès, le directeur général de l'Association françaises des victimes du terrorisme (AFVT), M. Guillaume Denoix de Saint Marc Il a, également, souhaité qu'un congrès similaire se tienne dans un pays musulman, estimant qu'il est "important de montrer que les victimes musulmanes du terrorisme sont nombreuses et indispensable d'agir pour lutter contre la radicalisation". C'est la première fois que ce congrès crée à l'initiative du Centre international pour les victimes du terrorisme de la Fondation de l'Université de Madrid (Espagne) San Pablo, se tient dans un pays non hispanophone. Un congrès international des victimes du terrorisme se tiendra à partir d'aujourd'hui à Paris en présence de quelque 450 congressistes, provenant de près de 35 pays. Les travaux de ce congrès, le VIIe du genre se tiendront trois jours durant et seront rythmés par plusieurs tables rondes et des séances de témoignages, paroles de victimes et seront également marqués par des cérémonies officielles en présence de chefs d'Etat et de gouvernement. Des experts se pencheront sur l'efficacité de la collaboration entre les Etats dans la lutte contre les organisations terroristes, ainsi que sur l'évolution de la menace terroriste et le recrutement des jeunes par les organisations terroristes. Le rôle des Etats, des employeurs et de la société civile dans la prise en charge des victimes de ce phénomène transnational sera également examiné lors de ce congrès dont l'objectif est de sensibiliser l'opinion publique internationale à la cause et aux besoins urgents des victimes du terrorisme et de développer les réseaux nationaux et internationaux des victimes du terrorisme, selon les organisateurs. «Nous avons voulu inscrire ce congrès dans le cadre d'une action universelle et expliquer la problématique que rencontrent les victimes du terrorisme. Il s'agit de savoir aussi comment ces victimes se reconstruisent et montrer que dès lors qu'elles sont accompagnées et aidées, deviennent une force pour la société",a indiqué lors d'une conférence de presse précédant le congrès, le directeur général de l'Association françaises des victimes du terrorisme (AFVT), M. Guillaume Denoix de Saint Marc Il a, également, souhaité qu'un congrès similaire se tienne dans un pays musulman, estimant qu'il est "important de montrer que les victimes musulmanes du terrorisme sont nombreuses et indispensable d'agir pour lutter contre la radicalisation". C'est la première fois que ce congrès crée à l'initiative du Centre international pour les victimes du terrorisme de la Fondation de l'Université de Madrid (Espagne) San Pablo, se tient dans un pays non hispanophone.