Le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Belaïz, a indiqué, jeudi à Alger, que le problème de surpopulation carcérale dans les établissements pénitentiaires sera résolu à 90 % d'ici fin 2012 à travers tout le territoire national. Le ministre a indiqué, en marge d'une séance plénière consacrée aux questions orales à l'Assemblée populaire nationale (APN), que le problème de surpopulation carcérale sera définitivement résorbé d'ici fin 2012 grâce à deux programmes mis en place par l'Etat pour la construction de nouveaux établissements pénitentiaires à travers le territoire national. M. Belaïz a ajouté que le premier programme concerne la construction de 13 établissements pénitentiaires d'une capacité d'accueil de 1.000 à 2.000 places à travers le territoire national. Il a annoncé dans ce sens que que 7 prisons ont été réceptionnées. Le ministre a, également, annoncé que 3 autres établissements seront réceptionnés la semaine prochaine et le reste vers la fin de l'année 2011. Pour le second programme en cours de réalisation, le ministre a indiqué qu'il s'agit de la construction de 61 établissements pénitentiaires d'une capacité d'accueil de 100 à 300 places, précisant que ce projet sera réceptionné entre 2012 et 2013. Aussi et dans cette même déclaration à la presse, M. Belaïz est revenu sur la nécessité d'associer la société civile à la lutte contre la corruption. «La société civile doit participer à la lutte contre la corruption sous toutes ses formes", a affirmé. Pour lui, la lutte contre la corruption "n'est pas seulement du ressort de l'Etat mais incombe également à la société civile qui se doit de prendre en charge ce fléau dangereux qui menace la société algérienne". Une conférence internationale "informelle" consacrée à la lutte contre la corruption planchera, jeudi à Alger, sur les aspects de ce fléau avec la participation de représentants de la société civile et d'experts étrangers, a-t-il indiqué. M. Belaïz a souligné l'existence d'une forte volonté politique de lutter contre ce phénomène à travers "la mise en place de mécanismes de lutte" et la promulgation d'une loi de lutte contre la corruption précisant que l'Algérie "fait partie des pays pionniers en matière de promulgation de cette loi". Ces mécanismes consistent, également, en la formation à l'étranger de magistrats spécialisés dans la lutte contre la corruption et la mise en place de structures judiciaires spécialisées en vue de prémunir la société algérienne contre ce dangereux fléau. Le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Belaïz, a indiqué, jeudi à Alger, que le problème de surpopulation carcérale dans les établissements pénitentiaires sera résolu à 90 % d'ici fin 2012 à travers tout le territoire national. Le ministre a indiqué, en marge d'une séance plénière consacrée aux questions orales à l'Assemblée populaire nationale (APN), que le problème de surpopulation carcérale sera définitivement résorbé d'ici fin 2012 grâce à deux programmes mis en place par l'Etat pour la construction de nouveaux établissements pénitentiaires à travers le territoire national. M. Belaïz a ajouté que le premier programme concerne la construction de 13 établissements pénitentiaires d'une capacité d'accueil de 1.000 à 2.000 places à travers le territoire national. Il a annoncé dans ce sens que que 7 prisons ont été réceptionnées. Le ministre a, également, annoncé que 3 autres établissements seront réceptionnés la semaine prochaine et le reste vers la fin de l'année 2011. Pour le second programme en cours de réalisation, le ministre a indiqué qu'il s'agit de la construction de 61 établissements pénitentiaires d'une capacité d'accueil de 100 à 300 places, précisant que ce projet sera réceptionné entre 2012 et 2013. Aussi et dans cette même déclaration à la presse, M. Belaïz est revenu sur la nécessité d'associer la société civile à la lutte contre la corruption. «La société civile doit participer à la lutte contre la corruption sous toutes ses formes", a affirmé. Pour lui, la lutte contre la corruption "n'est pas seulement du ressort de l'Etat mais incombe également à la société civile qui se doit de prendre en charge ce fléau dangereux qui menace la société algérienne". Une conférence internationale "informelle" consacrée à la lutte contre la corruption planchera, jeudi à Alger, sur les aspects de ce fléau avec la participation de représentants de la société civile et d'experts étrangers, a-t-il indiqué. M. Belaïz a souligné l'existence d'une forte volonté politique de lutter contre ce phénomène à travers "la mise en place de mécanismes de lutte" et la promulgation d'une loi de lutte contre la corruption précisant que l'Algérie "fait partie des pays pionniers en matière de promulgation de cette loi". Ces mécanismes consistent, également, en la formation à l'étranger de magistrats spécialisés dans la lutte contre la corruption et la mise en place de structures judiciaires spécialisées en vue de prémunir la société algérienne contre ce dangereux fléau.