Le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa a annoncé, jeudi à Alger, l'ouverture d'une enquête pour déterminer les raisons réelles de l'augmentation "subite" des prix des engrais, assurant que les céréaliculteurs n'auront pas à payer ce prix. «L'enquête est déjà engagée. Nous avons un travail avec le ministère de l'Energie et des Mines pour voir quelles sont les raisons de cette augmentation subite des engrais», a déclaré le ministre à la presse en marge d'une séance de questions orales à l'Assemblée populaire nationale. Cela, renchérit le ministre, arrive subitement comme ça et au moment du lancement de la campagne labours-semailles 2011/2012, «nous pensons qu'il y a quelques choses qui ne tourne pas rond». Cette hausse touche notamment les engrais de fond notamment le TSP utilisé pour la fertilisation des fonds durant la période des labours-semailles. Le prix du quintal de cet intrant est passé de 4.000 DA à 7.400 DA/quintal, selon M. Benaïssa. Les producteurs, essentiellement privés, expliquent cette hausse par le renchérissement des prix des matières premières. «Des dispositions ont été prises pour que nos céréaliculteurs ne soient pas pénalisés. Ils auront à payer le même prix de l'année dernière, entre temps, nous continuons l'enquête pour avoir plus d'éléments sur cette augmentation», a affirmé M. Benaïssa. L'Union des coopératives de céréales, sous l'égide de l'Office interprofessionnel des céréales (OAIC), a annoncé le maintien des prix de vente des engrais de fond appliqués au titre de la campagne 2010-2011. Cette mesure, qui s'inscrit dans le cadre de la péréquation des prix des engrais commercialisés par l'Union, consiste à «éviter la répercussion sur les céréaliculteurs des prix décidés par les opérateurs les commercialisant», selon l'OAIC. Le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa a annoncé, jeudi à Alger, l'ouverture d'une enquête pour déterminer les raisons réelles de l'augmentation "subite" des prix des engrais, assurant que les céréaliculteurs n'auront pas à payer ce prix. «L'enquête est déjà engagée. Nous avons un travail avec le ministère de l'Energie et des Mines pour voir quelles sont les raisons de cette augmentation subite des engrais», a déclaré le ministre à la presse en marge d'une séance de questions orales à l'Assemblée populaire nationale. Cela, renchérit le ministre, arrive subitement comme ça et au moment du lancement de la campagne labours-semailles 2011/2012, «nous pensons qu'il y a quelques choses qui ne tourne pas rond». Cette hausse touche notamment les engrais de fond notamment le TSP utilisé pour la fertilisation des fonds durant la période des labours-semailles. Le prix du quintal de cet intrant est passé de 4.000 DA à 7.400 DA/quintal, selon M. Benaïssa. Les producteurs, essentiellement privés, expliquent cette hausse par le renchérissement des prix des matières premières. «Des dispositions ont été prises pour que nos céréaliculteurs ne soient pas pénalisés. Ils auront à payer le même prix de l'année dernière, entre temps, nous continuons l'enquête pour avoir plus d'éléments sur cette augmentation», a affirmé M. Benaïssa. L'Union des coopératives de céréales, sous l'égide de l'Office interprofessionnel des céréales (OAIC), a annoncé le maintien des prix de vente des engrais de fond appliqués au titre de la campagne 2010-2011. Cette mesure, qui s'inscrit dans le cadre de la péréquation des prix des engrais commercialisés par l'Union, consiste à «éviter la répercussion sur les céréaliculteurs des prix décidés par les opérateurs les commercialisant», selon l'OAIC.