Les professionnels du secteur de l'Education nationale amorceront, aujourd'hui, les négociations sur les fameuses et controversées œuvres sociales du secteur, mais aussi le régime indemnitaire et le budget alloué au secteur. Les professionnels du secteur de l'Education nationale amorceront, aujourd'hui, les négociations sur les fameuses et controversées œuvres sociales du secteur, mais aussi le régime indemnitaire et le budget alloué au secteur. Des pourparlers qui s'annoncent cruciaux au vu des divergences qui opposent les syndicalistes, notamment en ce qui concerne la gestion des œuvres sociales. Le ministre de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid, a affirmé, hier à Constantine, que des négociations autour de la plate-forme de revendications des enseignants seront entamées dès aujourd'hui. Les discussions qui impliqueront les secteurs de l'Education nationale, des Finances et de la Fonction publique ainsi que les différents syndicats d'enseignants, s'articuleront autour des 3 axes de cette plate-forme, à savoir le régime indemnitaire, les oeuvres sociales et le budget du secteur de l'Education, a ajouté le ministre. "Nous nous donnons un mois à 45 jours pour trouver des solutions, faute de quoi, nous recourrons à un référendum auquel participeraient les enseignants et les travailleurs du secteur", a encore souligné Benbouzid, faisant part du "risque" de voir surgir des problèmes "intersyndicaux" qui ne sont pas du ressort du ministère. S'agissant des oeuvres sociales, le ministre, rappelant son rôle de "facilitateur", a souligné que les 20 milliards de dinars se trouvant dans les caisses des oeuvres sociales "n'appartiennent qu'aux enseignants et aux travailleurs du secteur qui auront le dernier mot pour leur utilisation". Le gouvernement est "disposé à régler les problèmes soulevés par les enseignants" et a délivré, pour ce faire, un "quitus" au département de l'Education nationale, a encore ajouté Boubekeur Benbouzid, qui a également évoqué la question des pensions de retraite pour affirmer qu'elle "n'est pas spécifique aux enseignants, mais concerne tous les secteurs". Auparavant, le ministre de l'Education nationale s'était rendu à Aïn Abid où il a, notamment, assuré que les manuels scolaires sont disponibles en quantités suffisantes, "avec même un stock de sécurité de 10%". Le ministre, qui répondait à une préoccupation liée à un "manque en livres scolaires" dans cette localité rurale située à une cinquantaine de km au sud-est de Constantine, a affirmé qu' "aucun cas" d'indisponibilité n'est signalé dans les agglomérations du pays. Il a, toutefois, ajouté que s'il existe des cas d'indisponibilité de livres dans les zones rurales, il est forcément lié à des problèmes de transport, voire de gestion dans les établissements scolaires. Benbouzid qui effectuait une visite d'inspection dans la wilaya de Constantine, devait ensuite inspecter, à Constantine-ville et à Ali-Mendjeli (El Khroub), plusieurs établissements scolaires des différents paliers. Des pourparlers qui s'annoncent cruciaux au vu des divergences qui opposent les syndicalistes, notamment en ce qui concerne la gestion des œuvres sociales. Le ministre de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid, a affirmé, hier à Constantine, que des négociations autour de la plate-forme de revendications des enseignants seront entamées dès aujourd'hui. Les discussions qui impliqueront les secteurs de l'Education nationale, des Finances et de la Fonction publique ainsi que les différents syndicats d'enseignants, s'articuleront autour des 3 axes de cette plate-forme, à savoir le régime indemnitaire, les oeuvres sociales et le budget du secteur de l'Education, a ajouté le ministre. "Nous nous donnons un mois à 45 jours pour trouver des solutions, faute de quoi, nous recourrons à un référendum auquel participeraient les enseignants et les travailleurs du secteur", a encore souligné Benbouzid, faisant part du "risque" de voir surgir des problèmes "intersyndicaux" qui ne sont pas du ressort du ministère. S'agissant des oeuvres sociales, le ministre, rappelant son rôle de "facilitateur", a souligné que les 20 milliards de dinars se trouvant dans les caisses des oeuvres sociales "n'appartiennent qu'aux enseignants et aux travailleurs du secteur qui auront le dernier mot pour leur utilisation". Le gouvernement est "disposé à régler les problèmes soulevés par les enseignants" et a délivré, pour ce faire, un "quitus" au département de l'Education nationale, a encore ajouté Boubekeur Benbouzid, qui a également évoqué la question des pensions de retraite pour affirmer qu'elle "n'est pas spécifique aux enseignants, mais concerne tous les secteurs". Auparavant, le ministre de l'Education nationale s'était rendu à Aïn Abid où il a, notamment, assuré que les manuels scolaires sont disponibles en quantités suffisantes, "avec même un stock de sécurité de 10%". Le ministre, qui répondait à une préoccupation liée à un "manque en livres scolaires" dans cette localité rurale située à une cinquantaine de km au sud-est de Constantine, a affirmé qu' "aucun cas" d'indisponibilité n'est signalé dans les agglomérations du pays. Il a, toutefois, ajouté que s'il existe des cas d'indisponibilité de livres dans les zones rurales, il est forcément lié à des problèmes de transport, voire de gestion dans les établissements scolaires. Benbouzid qui effectuait une visite d'inspection dans la wilaya de Constantine, devait ensuite inspecter, à Constantine-ville et à Ali-Mendjeli (El Khroub), plusieurs établissements scolaires des différents paliers.