Le ministre de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid, rassure encore une fois la corporation des enseignants. «Le dossier des statuts particuliers des travailleurs du secteur de l'Education sera ouvert après l'élection présidentielle en vue d'en élaborer les dernières moutures après l'adoption par le Gouvernement du statut du secteur», a-t-il, annoncé jeudi dernier, en marge d'une journée d'études sur «la citoyenneté» organisée au lycée Hassiba Ben Bouali. Il est à signaler que les enseignants ont eu recours à plusieurs grèves pour revendiquer l'amélioration de leurs conditions socioprofessionnelles. Les grèves avaient aussi pour objectif, disent les syndicats du secteur de l'Education nationale, de dénoncer le flou qui entoure le projet du statut particulier qui ne précise, dans aucun passage, les revendications tant défendues par les enseignants, comme la classification et les critères de calculs des primes de qualification et de rendement. A présent, les enseignants s'inquiètent beaucoup plus du régime indemnitaire qui est en train de se faire, selon eux, dans l'opacité la plus totale. Ils craignent que le régime indemnitaire ne subisse le même sort que celui du projet de statut particulier, notamment en ce qui concerne le calcul des indemnités spécifiques, comme l'indemnité complémentaire sur le revenu (ICR) qui représente 20% du salaire et l'indemnité spécifique de qualification qui est estimée à 40% du salaire. Dans ce cadre aussi, le premier responsable de l'Education nationale rassure et affirme apporter son soutien aux travailleurs de son secteur. «Le secteur de l'Education soutiendra les différents partenaires sociaux en toutes circonstances», a-t-il déclaré, rappelant que «le régime indemnitaire relatif aux travailleurs du secteur fera l'objet d'examen après l'adoption par le Gouvernement du statut du secteur de l'Education». Bien plus, Boubekeur Benbouzid, rassure et rappelle une nouvelle fois, que «les propositions et enrichissements apportés par les différents syndicats seront pris en compte», ajoutant qu'une série de rencontres sera organisée à cet effet avec le ministère de tutelle. Le ministre de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid, rassure encore une fois la corporation des enseignants. «Le dossier des statuts particuliers des travailleurs du secteur de l'Education sera ouvert après l'élection présidentielle en vue d'en élaborer les dernières moutures après l'adoption par le Gouvernement du statut du secteur», a-t-il, annoncé jeudi dernier, en marge d'une journée d'études sur «la citoyenneté» organisée au lycée Hassiba Ben Bouali. Il est à signaler que les enseignants ont eu recours à plusieurs grèves pour revendiquer l'amélioration de leurs conditions socioprofessionnelles. Les grèves avaient aussi pour objectif, disent les syndicats du secteur de l'Education nationale, de dénoncer le flou qui entoure le projet du statut particulier qui ne précise, dans aucun passage, les revendications tant défendues par les enseignants, comme la classification et les critères de calculs des primes de qualification et de rendement. A présent, les enseignants s'inquiètent beaucoup plus du régime indemnitaire qui est en train de se faire, selon eux, dans l'opacité la plus totale. Ils craignent que le régime indemnitaire ne subisse le même sort que celui du projet de statut particulier, notamment en ce qui concerne le calcul des indemnités spécifiques, comme l'indemnité complémentaire sur le revenu (ICR) qui représente 20% du salaire et l'indemnité spécifique de qualification qui est estimée à 40% du salaire. Dans ce cadre aussi, le premier responsable de l'Education nationale rassure et affirme apporter son soutien aux travailleurs de son secteur. «Le secteur de l'Education soutiendra les différents partenaires sociaux en toutes circonstances», a-t-il déclaré, rappelant que «le régime indemnitaire relatif aux travailleurs du secteur fera l'objet d'examen après l'adoption par le Gouvernement du statut du secteur de l'Education». Bien plus, Boubekeur Benbouzid, rassure et rappelle une nouvelle fois, que «les propositions et enrichissements apportés par les différents syndicats seront pris en compte», ajoutant qu'une série de rencontres sera organisée à cet effet avec le ministère de tutelle.