L'euro progressait légèrement, mercredi, face au dollar, alors que les marchés, dominés par la prudence, attendaient toujours des avancées concrètes de la part des dirigeants européens pour mettre fin à la crise de la dette. La monnaie européenne s'échangeait à 1,3610 dollar en milieu de matinée contre 1,3590 dollar, mardi soir. Elle était tombée, lundi, jusqu'à 1,3363 dollar, son plus bas niveau depuis la mi-janvier, avant de se ressaisir. Les chefs de mission des bailleurs de fonds de la Grèce (FMI, Commission européenne, BCE) vont faire leur retour à Athènes, mercredi ou jeudi, afin de décider du versement ou non de la dernière tranche du prêt international déjà accordé au pays. "On va très vite réaliser si l'impression d'un éclaircissement de la situation en zone euro est justifiée ou au contraire prématurée. L'euro évolue en terrain miné", soulignait une analyste de Rabobank. "Il y a encore de nombreux points de discussions" sur le renforcement du Fonds de secours européen aux pays en difficulté (FESF), "et il y a clairement un total manque de consensus sur les perspectives de rapprochement budgétaire" au sein de la zone euro. Echanges européens Le pétrole stable Les prix du pétrole étaient à l'équilibre, mercredi, en cours d'échanges européens, marquant une pause après leur spectaculaire bond de la veille, toujours en attente de mesures concrètes face à la crise de la dette en zone euro. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre s'échangeait à 107,18 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 4 cents par rapport à la clôture de mardi. Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance progressait de 7 cents à 84,52 dollars. Les cours du baril se stabilisaient après avoir bondi la veille de 3,20 dollars à Londres et de plus de 4 dollars à New York. Les chiffres hebdomadaires de la fédération professionnelle API contribuaient, par ailleurs, à tirer les prix du baril vers le bas : elle a annoncé, mardi soir, un accroissement de 568.000 barils des stocks de brut aux Etats-Unis sur la semaine achevée le 23 septembre. Selon les analystes interrogés par l'agence Dow Jones Newswire, les chiffres officiels du Département américain de l'Energie (DoE) devraient faire état d'une hausse de 700.000 barils la semaine dernière, un bond de 900.000 barils des réserves d'essence, et un progression de 100.000 barils des stocks de produits distillés (dont le gazole et le fioul de chauffage). L'euro progressait légèrement, mercredi, face au dollar, alors que les marchés, dominés par la prudence, attendaient toujours des avancées concrètes de la part des dirigeants européens pour mettre fin à la crise de la dette. La monnaie européenne s'échangeait à 1,3610 dollar en milieu de matinée contre 1,3590 dollar, mardi soir. Elle était tombée, lundi, jusqu'à 1,3363 dollar, son plus bas niveau depuis la mi-janvier, avant de se ressaisir. Les chefs de mission des bailleurs de fonds de la Grèce (FMI, Commission européenne, BCE) vont faire leur retour à Athènes, mercredi ou jeudi, afin de décider du versement ou non de la dernière tranche du prêt international déjà accordé au pays. "On va très vite réaliser si l'impression d'un éclaircissement de la situation en zone euro est justifiée ou au contraire prématurée. L'euro évolue en terrain miné", soulignait une analyste de Rabobank. "Il y a encore de nombreux points de discussions" sur le renforcement du Fonds de secours européen aux pays en difficulté (FESF), "et il y a clairement un total manque de consensus sur les perspectives de rapprochement budgétaire" au sein de la zone euro. Echanges européens Le pétrole stable Les prix du pétrole étaient à l'équilibre, mercredi, en cours d'échanges européens, marquant une pause après leur spectaculaire bond de la veille, toujours en attente de mesures concrètes face à la crise de la dette en zone euro. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre s'échangeait à 107,18 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 4 cents par rapport à la clôture de mardi. Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance progressait de 7 cents à 84,52 dollars. Les cours du baril se stabilisaient après avoir bondi la veille de 3,20 dollars à Londres et de plus de 4 dollars à New York. Les chiffres hebdomadaires de la fédération professionnelle API contribuaient, par ailleurs, à tirer les prix du baril vers le bas : elle a annoncé, mardi soir, un accroissement de 568.000 barils des stocks de brut aux Etats-Unis sur la semaine achevée le 23 septembre. Selon les analystes interrogés par l'agence Dow Jones Newswire, les chiffres officiels du Département américain de l'Energie (DoE) devraient faire état d'une hausse de 700.000 barils la semaine dernière, un bond de 900.000 barils des réserves d'essence, et un progression de 100.000 barils des stocks de produits distillés (dont le gazole et le fioul de chauffage).