Sept civils ont été tués, dont deux enfants, dans le gouvernorat de Homs lors de perquisitions menées par les forces de sécurité dans cette région du centre de la Syrie, a rapporté vendredi l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). Pour leur part, les militants pro-démocratie ont lancé un nouvel appel à manifester hier sous le slogan : "La victoire pour notre Syrie et notre Yémen. Les peuples sont plus forts que tous les despotes". A Homs, un civil a été tué dans le quartier de Khaldiya à l'aube vendredi, quelques heures après la mort de quatre autres civils, dont une fillette, tués jeudi soir par des tirs des forces de sécurité qui menaient des perquisitions dans cette ville située à 160 km au nord de Damas. Une forte explosion a été entendue dans la nuit dans le quartier de Ghouta où les forces de sécurité ont tiré aveuglément sur les maisons, selon l'OSDH. "Les tirs se sont poursuivis jusqu'à l'aube." Deux autres civils ont été tués jeudi soir dans la ville de Rastane, au nord de Homs. L'OSDH a en outre indiqué que "des personnes grièvement blessées à Rastane n'avaient pu recevoir des soins en raison de la poursuite des opérations militaires" dans la ville. Selon les militants, des affrontements violents opposent depuis mardi l'armée syrienne et des déserteurs à Rastane. Le Conseil de sécurité de l'ONU était toujours divisé au sujet de l'adoption d'une résolution qui mentionnerait la menace de sanctions contre la Syrie. Les Occidentaux et la Russie ont chacun proposé un projet de résolution sur la Syrie, où la répression sanglante des manifestations a fait plus de 2.700 morts depuis mars, selon des diplomates onusiens. La Grande-Bretagne, la France, l'Allemagne et le Portugal insistent pour qu'une éventuelle résolution mentionne au moins la menace de sanctions contre le régime du président Bachar Al-Assad. Mais la Russie s'oppose à toute mention de sanctions dans le texte. La France compte rédiger une nouvelle version de projet de résolution qui serait discutée vendredi. Sept civils ont été tués, dont deux enfants, dans le gouvernorat de Homs lors de perquisitions menées par les forces de sécurité dans cette région du centre de la Syrie, a rapporté vendredi l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). Pour leur part, les militants pro-démocratie ont lancé un nouvel appel à manifester hier sous le slogan : "La victoire pour notre Syrie et notre Yémen. Les peuples sont plus forts que tous les despotes". A Homs, un civil a été tué dans le quartier de Khaldiya à l'aube vendredi, quelques heures après la mort de quatre autres civils, dont une fillette, tués jeudi soir par des tirs des forces de sécurité qui menaient des perquisitions dans cette ville située à 160 km au nord de Damas. Une forte explosion a été entendue dans la nuit dans le quartier de Ghouta où les forces de sécurité ont tiré aveuglément sur les maisons, selon l'OSDH. "Les tirs se sont poursuivis jusqu'à l'aube." Deux autres civils ont été tués jeudi soir dans la ville de Rastane, au nord de Homs. L'OSDH a en outre indiqué que "des personnes grièvement blessées à Rastane n'avaient pu recevoir des soins en raison de la poursuite des opérations militaires" dans la ville. Selon les militants, des affrontements violents opposent depuis mardi l'armée syrienne et des déserteurs à Rastane. Le Conseil de sécurité de l'ONU était toujours divisé au sujet de l'adoption d'une résolution qui mentionnerait la menace de sanctions contre la Syrie. Les Occidentaux et la Russie ont chacun proposé un projet de résolution sur la Syrie, où la répression sanglante des manifestations a fait plus de 2.700 morts depuis mars, selon des diplomates onusiens. La Grande-Bretagne, la France, l'Allemagne et le Portugal insistent pour qu'une éventuelle résolution mentionne au moins la menace de sanctions contre le régime du président Bachar Al-Assad. Mais la Russie s'oppose à toute mention de sanctions dans le texte. La France compte rédiger une nouvelle version de projet de résolution qui serait discutée vendredi.