L'Organisation internationale pour les migrations (OIM) a annoncé hier l'évacuation en cours vers le Tchad de plus de 1.200 migrants bloqués à Sebha dans le sud de la Libye en raison du conflit armé. «Plus de 1.200 migrants, bloqués à Sebha dans le sud de la Libye, sont en train d'être évacués par la route vers le Tchad», précise un communiqué de l'OIM publié à Genève. Installés depuis le mois de juin dans un centre de transit de l'OIM, ces migrants ne pouvaient être évacués par avion pour des raisons d'insécurité. D'après le communiqué de cette organisation, les 1.200 migrants sont partis de Sebha dimanche 2 octobre. Leur voyage devrait durer une semaine. Le 13 septembre, l'OIM en avait comptabilisé quelque 3.000, et avait indiqué que le centre de transit et la ville de Sebha étaient à cours de vivres et ne disposaient plus d'eau ni d'électricité. Un convoi de 15 camions les achemine vers le Tchad, a-t-elle ajouté. Sur les 1.200 migrants, plus de la moitié sont des Tchadiens, les autres dont des femmes et des enfants, étant originaires du Nigeria, de la Gambie, de l'Erythrée, de la Somalie, du Soudan ainsi que d'autres pays africains. La ville libyenne de Sebha dispose d'un aéroport utilisé par l'OIM en juillet dernier pour évacuer 1.400 migrants tchadiens. Mais pour des raisons d'insécurité, cet aéroport ne peut plus être utilisé, selon l'OIM. L'Organisation internationale pour les migrations (OIM) a annoncé hier l'évacuation en cours vers le Tchad de plus de 1.200 migrants bloqués à Sebha dans le sud de la Libye en raison du conflit armé. «Plus de 1.200 migrants, bloqués à Sebha dans le sud de la Libye, sont en train d'être évacués par la route vers le Tchad», précise un communiqué de l'OIM publié à Genève. Installés depuis le mois de juin dans un centre de transit de l'OIM, ces migrants ne pouvaient être évacués par avion pour des raisons d'insécurité. D'après le communiqué de cette organisation, les 1.200 migrants sont partis de Sebha dimanche 2 octobre. Leur voyage devrait durer une semaine. Le 13 septembre, l'OIM en avait comptabilisé quelque 3.000, et avait indiqué que le centre de transit et la ville de Sebha étaient à cours de vivres et ne disposaient plus d'eau ni d'électricité. Un convoi de 15 camions les achemine vers le Tchad, a-t-elle ajouté. Sur les 1.200 migrants, plus de la moitié sont des Tchadiens, les autres dont des femmes et des enfants, étant originaires du Nigeria, de la Gambie, de l'Erythrée, de la Somalie, du Soudan ainsi que d'autres pays africains. La ville libyenne de Sebha dispose d'un aéroport utilisé par l'OIM en juillet dernier pour évacuer 1.400 migrants tchadiens. Mais pour des raisons d'insécurité, cet aéroport ne peut plus être utilisé, selon l'OIM.