Selon une étude publiée hier, des chercheurs américains sont parvenus à identifier un mécanisme génétique qui pourrait expliquer l'autisme. C'est en manipulant génétiquement des souris présentant des symptômes similaires à ceux d'enfant autistes que des chercheurs américains ont découvert un mécanisme génétique dans ce trouble. En effet, d'après l'étude publiée hier dans les Annales de l'Académie nationale américaine des sciences (PNAS), le fait d'hériter d'un nombre de copies moindre de certains gènes se traduirait par des symptômes ressemblant à ceux provoqués par l'autisme chez les enfants. Depuis 2007, et grâce au Professeur Michael Wigler du Cold Spring Harbor Laboratory (CSHL), on sait que certains enfants autistes ont une petite partie de certains gènes sur le chromosome 16 qui sont effacés. Cette partie affecte 27 gènes dans une région du génome appelée 16p11.2, rapporte romandie.com. Ainsi, comme l'explique Alea Mills, professeur au CSHL et auteur principal de l'étude, "nous avions ainsi les outils pour voir si des changements dans le nombre de copies de gènes trouvés chez des enfants autistes provoquaient les symptômes". Des symptômes semblables C'est donc en créant un modèle animal avec des souris rendues autistes avec une technique, dite d'ingénierie du chromosome, que les scientifiques ont démontré que le fait d'hériter d'un moins grand nombre de copies de ces gènes produit des symptômes ressemblant à ceux de l'autisme chez les enfants. Les souris génétiquement manipulées pour créer la même anomalie dans la partie du chromosome 16p11.2 (c'est-à-dire l'effacement de certaines parties du gène) ont montré une variété de comportements ressemblant cliniquement à l'autisme chez les humains : hyperactivité, difficultés d'adaptation à un nouvel environnement, déficits de sommeil et comportements répétitifs. Bien que certaines variations génétiques avaient déjà été identifiées chez des enfants autistes, c'est la première fois qu'un lien aussi direct est établi. La découverte fournit ainsi de nouvelles informations précieuses sur ce trouble du développement encore mal compris. Une feuille pour remplacer le nucléaire ? Le Massachusetts Institute of Technology (MIT) a mis au point une technologie capable de produire les éléments nécessaires à la production d'électricité. Pas une découverte nous direz-vous...Sauf que là, la génératrice est une simple feuille. Voilà peut-être l'alternative au nucléaire dont tout le monde rêve. Le Massachusetts Institute of Technology (MIT) a ainsi dévoilé le fruit de ses dernières recherches dans le domaine de la production électrique. Il s'agit d'une feuille composée d'une cellule solaire en silicium avec différents matériaux catalytiques attachés sur les deux côtés. Il suffit ensuite de la plonger dans de l'eau et de l'exposer à la lumière solaire pour qu'elle produise rapidement des bulles d'oxygène sur un côté et d'hydrogène sur l'autre. En plaçant ces deux types de bulles dans une pile à combustible, elles se combinent de nouveau en eau tout en produisant de l'électricité dans ce processus, explique le Professeur Daniel Nocera. Un procédé intelligent puisqu'il fait appel à des matériaux bon marché et abondants, le silice, le cobalt ou encore le nickel. La feuille est ainsi pourvue d'une fine couche de semi-conducteurs en silice, un matériau largement utilisé dans la fabrication des cellules solaires et qui a la capacité de transformer l'énergie solaire en un flux continu d'électricité à l'intérieur de la feuille. Le cobalt va ensuite jouer le rôle de catalyseur libèrant l'oxygène d'une part, tandis que le nickel, le molybdène et le zinc de l'autre face libèrera l'hydrogène. Selon une étude publiée hier, des chercheurs américains sont parvenus à identifier un mécanisme génétique qui pourrait expliquer l'autisme. C'est en manipulant génétiquement des souris présentant des symptômes similaires à ceux d'enfant autistes que des chercheurs américains ont découvert un mécanisme génétique dans ce trouble. En effet, d'après l'étude publiée hier dans les Annales de l'Académie nationale américaine des sciences (PNAS), le fait d'hériter d'un nombre de copies moindre de certains gènes se traduirait par des symptômes ressemblant à ceux provoqués par l'autisme chez les enfants. Depuis 2007, et grâce au Professeur Michael Wigler du Cold Spring Harbor Laboratory (CSHL), on sait que certains enfants autistes ont une petite partie de certains gènes sur le chromosome 16 qui sont effacés. Cette partie affecte 27 gènes dans une région du génome appelée 16p11.2, rapporte romandie.com. Ainsi, comme l'explique Alea Mills, professeur au CSHL et auteur principal de l'étude, "nous avions ainsi les outils pour voir si des changements dans le nombre de copies de gènes trouvés chez des enfants autistes provoquaient les symptômes". Des symptômes semblables C'est donc en créant un modèle animal avec des souris rendues autistes avec une technique, dite d'ingénierie du chromosome, que les scientifiques ont démontré que le fait d'hériter d'un moins grand nombre de copies de ces gènes produit des symptômes ressemblant à ceux de l'autisme chez les enfants. Les souris génétiquement manipulées pour créer la même anomalie dans la partie du chromosome 16p11.2 (c'est-à-dire l'effacement de certaines parties du gène) ont montré une variété de comportements ressemblant cliniquement à l'autisme chez les humains : hyperactivité, difficultés d'adaptation à un nouvel environnement, déficits de sommeil et comportements répétitifs. Bien que certaines variations génétiques avaient déjà été identifiées chez des enfants autistes, c'est la première fois qu'un lien aussi direct est établi. La découverte fournit ainsi de nouvelles informations précieuses sur ce trouble du développement encore mal compris. Une feuille pour remplacer le nucléaire ? Le Massachusetts Institute of Technology (MIT) a mis au point une technologie capable de produire les éléments nécessaires à la production d'électricité. Pas une découverte nous direz-vous...Sauf que là, la génératrice est une simple feuille. Voilà peut-être l'alternative au nucléaire dont tout le monde rêve. Le Massachusetts Institute of Technology (MIT) a ainsi dévoilé le fruit de ses dernières recherches dans le domaine de la production électrique. Il s'agit d'une feuille composée d'une cellule solaire en silicium avec différents matériaux catalytiques attachés sur les deux côtés. Il suffit ensuite de la plonger dans de l'eau et de l'exposer à la lumière solaire pour qu'elle produise rapidement des bulles d'oxygène sur un côté et d'hydrogène sur l'autre. En plaçant ces deux types de bulles dans une pile à combustible, elles se combinent de nouveau en eau tout en produisant de l'électricité dans ce processus, explique le Professeur Daniel Nocera. Un procédé intelligent puisqu'il fait appel à des matériaux bon marché et abondants, le silice, le cobalt ou encore le nickel. La feuille est ainsi pourvue d'une fine couche de semi-conducteurs en silice, un matériau largement utilisé dans la fabrication des cellules solaires et qui a la capacité de transformer l'énergie solaire en un flux continu d'électricité à l'intérieur de la feuille. Le cobalt va ensuite jouer le rôle de catalyseur libèrant l'oxygène d'une part, tandis que le nickel, le molybdène et le zinc de l'autre face libèrera l'hydrogène.