Une étude effectuée par des chercheurs américains, publiée lundi, a révélé la découverte d'un gène dont une variation commune est liée à l'hypertension artérielle. Ce gène, appelé STK39, produit une protéine qui joue un rôle dans le mécanisme rénal régulant la quantité de sodium dans l'organisme, expliquent ces chercheurs à la faculté de médecine de l'Université du Maryland (Est). "Cette avancée a un bon potentiel pour améliorer notre capacité à développer des traitements adaptés à chaque individu, encore appelée la médecine personnalisée, qui permet de combattre plus efficacement l'hypertension", ajoutent-ils. Toutefois, les auteurs de l'étude soulignent l'importance de poursuivre les recherches dans ce domaine, expliquant que "l'hypertension est une maladie très complexe, dans laquelle de nombreux autres facteurs génétiques, environnementaux et liés au mode de vie entrent en ligne de compte". "Le gène STK39 est seulement une pièce importante du puzzle", disent-ils dans leur étude qui paraît dans les Annales de l'Académie nationale américaine des sciences (PNAS) datées du 29 décembre. Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), une tension artérielle idéale est de 120 mm de mercure pour la pression artérielle systolique et de 80 mm de mercure pour la pression artérielle diastolique. Une étude effectuée par des chercheurs américains, publiée lundi, a révélé la découverte d'un gène dont une variation commune est liée à l'hypertension artérielle. Ce gène, appelé STK39, produit une protéine qui joue un rôle dans le mécanisme rénal régulant la quantité de sodium dans l'organisme, expliquent ces chercheurs à la faculté de médecine de l'Université du Maryland (Est). "Cette avancée a un bon potentiel pour améliorer notre capacité à développer des traitements adaptés à chaque individu, encore appelée la médecine personnalisée, qui permet de combattre plus efficacement l'hypertension", ajoutent-ils. Toutefois, les auteurs de l'étude soulignent l'importance de poursuivre les recherches dans ce domaine, expliquant que "l'hypertension est une maladie très complexe, dans laquelle de nombreux autres facteurs génétiques, environnementaux et liés au mode de vie entrent en ligne de compte". "Le gène STK39 est seulement une pièce importante du puzzle", disent-ils dans leur étude qui paraît dans les Annales de l'Académie nationale américaine des sciences (PNAS) datées du 29 décembre. Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), une tension artérielle idéale est de 120 mm de mercure pour la pression artérielle systolique et de 80 mm de mercure pour la pression artérielle diastolique.