Les organisateurs du Salon international des énergies renouvelables, des énergies propres et du développement durable (ERA 2011) sont à pied d'œuvre pour préparer la seconde édition de cet événement devant se dérouler les 19, 20 et 21 octobre 2011 au Palais des expositions de Mdina Djedida (Oran). Hier, ils ont animé une conférence de presse au centre d'El Moudjahid pour faire la promotion de ce salon, un tantinet peu ordinaire, et dont on peut s'étonner qu'il puisse se tenir en Algérie. La première édition a eu lieu, l'année dernière, à Tamanrasset, loin des feux de la rampe, peut-être parce que les initiateurs n'étaient pas sûrs de réussir leur coup et avaient voulu miser sur l'attrait que pouvait exercer un site touristique de renom. N'empêche, le salon est organisé par Myriade Communication qui soutient que «l'évolution rapide du contexte (règlement, fiscalité), des technologies, des métiers, des savoir-faire» fera venir tout le monde «chercher des réponses à ERA 2011». Installé cette année dans la capitale de l'Ouest, ERA 2011 est placé sous le haut patronage du président de la République, et devrait drainer 27 entreprises étrangères (dont 10 de Pologne, 7 des Pays-bas, 7 d'Allemagne, 3 d'Italie, 3 d'Autriche, 1 d'Egypte, 1 d'Espagne et 1 du Liban). La surface d'exposition est de 7.000 m2, structurés en quatre espaces. Le premier est réservé aux exposants, le second pour la démonstration du fonctionnement des équipements, le troisième pour les conférences et le quatrième pour l'échange d'informations entre les entreprises en vue de répondre au besoin en formation ou en recrutement de compétences. En outre, une quarantaine d'entreprises algériennes seront également attendues. Le gros des troupes, côté algérien, est constitué par le holding Sonelgaz, la Sonatrach, les entreprises du ministère de l'Agriculture, le secteur de l'hydraulique à travers cinq centres de recherche et instituts de formation, l'Agence nationale des eaux (ADE) et l'Office national de l'assainissement (ONA). Y participent aussi l'université d'Oran, l'Unité de développement de la technologie du silicium (UDTS), l'Institut de formation pour l'électricité et le gaz (IFEG), l'Institut national de la recherche agricole (INRA) et le Centre national des formations à l'écologie (CNFE). La wilaya d'Oran est, également, partie prenante de cet événement puisque elle aura à cœur de défendre des projets pour la ville. En marge du salon, figure une riche animation scientifique avec une vingtaine de conférences-débats portant sur le thème de l'«énergie et du développement durable : l'approche algérienne». Au menu, également, des communications données par des spécialistes nationaux et étrangers traitant de l'énergie solaire, de l'éolien et de la géothermie. ERA 2011 vise, entre autres, à contribuer à la vulgarisation et au développement des énergies renouvelables en Algérie, à l'accroissement du potentiel d'exploitation et d'utilisation des énergies renouvelables, au renforcement et à la vulgarisation des mesures de préservation de l'environnement, au transfert de technologies adaptées au contexte algérien et à la promotion des investissements dans les filières d'exploitation des énergies renouvelables et des secteurs de l'environnement. Les organisateurs du Salon international des énergies renouvelables, des énergies propres et du développement durable (ERA 2011) sont à pied d'œuvre pour préparer la seconde édition de cet événement devant se dérouler les 19, 20 et 21 octobre 2011 au Palais des expositions de Mdina Djedida (Oran). Hier, ils ont animé une conférence de presse au centre d'El Moudjahid pour faire la promotion de ce salon, un tantinet peu ordinaire, et dont on peut s'étonner qu'il puisse se tenir en Algérie. La première édition a eu lieu, l'année dernière, à Tamanrasset, loin des feux de la rampe, peut-être parce que les initiateurs n'étaient pas sûrs de réussir leur coup et avaient voulu miser sur l'attrait que pouvait exercer un site touristique de renom. N'empêche, le salon est organisé par Myriade Communication qui soutient que «l'évolution rapide du contexte (règlement, fiscalité), des technologies, des métiers, des savoir-faire» fera venir tout le monde «chercher des réponses à ERA 2011». Installé cette année dans la capitale de l'Ouest, ERA 2011 est placé sous le haut patronage du président de la République, et devrait drainer 27 entreprises étrangères (dont 10 de Pologne, 7 des Pays-bas, 7 d'Allemagne, 3 d'Italie, 3 d'Autriche, 1 d'Egypte, 1 d'Espagne et 1 du Liban). La surface d'exposition est de 7.000 m2, structurés en quatre espaces. Le premier est réservé aux exposants, le second pour la démonstration du fonctionnement des équipements, le troisième pour les conférences et le quatrième pour l'échange d'informations entre les entreprises en vue de répondre au besoin en formation ou en recrutement de compétences. En outre, une quarantaine d'entreprises algériennes seront également attendues. Le gros des troupes, côté algérien, est constitué par le holding Sonelgaz, la Sonatrach, les entreprises du ministère de l'Agriculture, le secteur de l'hydraulique à travers cinq centres de recherche et instituts de formation, l'Agence nationale des eaux (ADE) et l'Office national de l'assainissement (ONA). Y participent aussi l'université d'Oran, l'Unité de développement de la technologie du silicium (UDTS), l'Institut de formation pour l'électricité et le gaz (IFEG), l'Institut national de la recherche agricole (INRA) et le Centre national des formations à l'écologie (CNFE). La wilaya d'Oran est, également, partie prenante de cet événement puisque elle aura à cœur de défendre des projets pour la ville. En marge du salon, figure une riche animation scientifique avec une vingtaine de conférences-débats portant sur le thème de l'«énergie et du développement durable : l'approche algérienne». Au menu, également, des communications données par des spécialistes nationaux et étrangers traitant de l'énergie solaire, de l'éolien et de la géothermie. ERA 2011 vise, entre autres, à contribuer à la vulgarisation et au développement des énergies renouvelables en Algérie, à l'accroissement du potentiel d'exploitation et d'utilisation des énergies renouvelables, au renforcement et à la vulgarisation des mesures de préservation de l'environnement, au transfert de technologies adaptées au contexte algérien et à la promotion des investissements dans les filières d'exploitation des énergies renouvelables et des secteurs de l'environnement.