La quatrième commission de l'assemblée générale des Nations unies, chargée de la décolonisation, a adopté une résolution qui réaffirme le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et à l'indépendance. La résolution souligne qu'elle "appuie le processus de négociation initié par la résolution 1754 (2007) et soutenu par les résolutions du Conseil de sécurité 1783 (2007), 1813 (2008), 1871 (2009), 1920 (2010) et 1979 (2011) en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui permette l'autodétermination du peuple du Sahara Occidental", tout en louant les efforts déployés par le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, et son envoyé personnel, Christopher Ross. Rappelant les réunions formelles et informelles qui ont eu lieu entre le Front Polisario et le Maroc depuis 2007, la résolution "invite toutes les parties et les Etats de la région à coopérer pleinement avec le secrétaire général et son envoyé personnel, et les uns avec les autres". Le texte réaffirme "la responsabilité de l'Onu à l'égard du peuple du Sahara Occidental", et salue, à cet égard, les efforts déployés par le secrétaire général et son envoyé personnel pour trouver au différend "une solution politique qui soit mutuellement acceptable et assure l'autodétermination du peuple du Sahara Occidental". "Il est de la responsabilité des Nations unies d'assurer le règlement de la question du Sahara Occidental, dans le respect du droit indéniable du peuple de ce territoire à l'autodétermination, conformément à la résolution 1514 de l'Assemblée générale de l'Onu et à la pratique des Nations unies en matière de décolonisation", a affirmé Mourad Benmehidi, ambassadeur et représentant permanent de l'Algérie à l'Onu, lors de son intervention devant la 4e AG. Evoquant le plan d'action de l'Onu pour l'application intégrale de la Déclaration sur l'octroi de l'indépendance aux pays et aux peuples coloniaux grâce à l'exercice du droit à l'autodétermination et à l'indépendance, Mourad Benmehidi a affirmé que l'Algérie, qui souscrit résolument à cet objectif, veut espérer que cette troisième décennie apportera l'élan nécessaire pour que le colonialisme soit éliminé complètement et rapidement dans les 16 territoires non autonomes inscrits à l'agenda de décolonisation des Nations unies. En réaction à l'adoption de ladite résolution, le ministre des Affaires étrangères de la République sahraouie, Mohamed Salem Ould Salek, a déclaré que l'adoption lundi par la 4e commission de l'ONU de la résolution sur le Sahara Occidental, est un encouragement appréciable pour hâter la décolonisation du Sahara Occidental malgré les obstacles dressés par le Maroc. Auparavant, le gouvernement sahraoui a relevé "les derniers développements dangereux" enregistrés dans les territoires occupés et l'absence quasi totale de médias et d'observateurs internationaux sur fond de blocus militaire qui frappe la région, en appellent à "l'instauration en urgence d'un mécanisme onusien pour la protection des droits de l'homme au Sahara Occidental". La quatrième commission de l'assemblée générale des Nations unies, chargée de la décolonisation, a adopté une résolution qui réaffirme le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et à l'indépendance. La résolution souligne qu'elle "appuie le processus de négociation initié par la résolution 1754 (2007) et soutenu par les résolutions du Conseil de sécurité 1783 (2007), 1813 (2008), 1871 (2009), 1920 (2010) et 1979 (2011) en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui permette l'autodétermination du peuple du Sahara Occidental", tout en louant les efforts déployés par le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, et son envoyé personnel, Christopher Ross. Rappelant les réunions formelles et informelles qui ont eu lieu entre le Front Polisario et le Maroc depuis 2007, la résolution "invite toutes les parties et les Etats de la région à coopérer pleinement avec le secrétaire général et son envoyé personnel, et les uns avec les autres". Le texte réaffirme "la responsabilité de l'Onu à l'égard du peuple du Sahara Occidental", et salue, à cet égard, les efforts déployés par le secrétaire général et son envoyé personnel pour trouver au différend "une solution politique qui soit mutuellement acceptable et assure l'autodétermination du peuple du Sahara Occidental". "Il est de la responsabilité des Nations unies d'assurer le règlement de la question du Sahara Occidental, dans le respect du droit indéniable du peuple de ce territoire à l'autodétermination, conformément à la résolution 1514 de l'Assemblée générale de l'Onu et à la pratique des Nations unies en matière de décolonisation", a affirmé Mourad Benmehidi, ambassadeur et représentant permanent de l'Algérie à l'Onu, lors de son intervention devant la 4e AG. Evoquant le plan d'action de l'Onu pour l'application intégrale de la Déclaration sur l'octroi de l'indépendance aux pays et aux peuples coloniaux grâce à l'exercice du droit à l'autodétermination et à l'indépendance, Mourad Benmehidi a affirmé que l'Algérie, qui souscrit résolument à cet objectif, veut espérer que cette troisième décennie apportera l'élan nécessaire pour que le colonialisme soit éliminé complètement et rapidement dans les 16 territoires non autonomes inscrits à l'agenda de décolonisation des Nations unies. En réaction à l'adoption de ladite résolution, le ministre des Affaires étrangères de la République sahraouie, Mohamed Salem Ould Salek, a déclaré que l'adoption lundi par la 4e commission de l'ONU de la résolution sur le Sahara Occidental, est un encouragement appréciable pour hâter la décolonisation du Sahara Occidental malgré les obstacles dressés par le Maroc. Auparavant, le gouvernement sahraoui a relevé "les derniers développements dangereux" enregistrés dans les territoires occupés et l'absence quasi totale de médias et d'observateurs internationaux sur fond de blocus militaire qui frappe la région, en appellent à "l'instauration en urgence d'un mécanisme onusien pour la protection des droits de l'homme au Sahara Occidental".