Une peine de dix-huit ans de réclusion a été prononcée, jeudi, par le tribunal criminel d'Oran à l'encontre d'un homme reconnu "coupable" dans une affaire de trafic transfrontalier de drogue. Les faits remontent au 17 octobre 2010 lorsque deux complices du mis en cause furent arrêtés par les gardes-frontières de Maghnia (Tlemcen) en possession de 56 kg de kif introduit depuis le Maroc. Leur audition a permis aux enquêteurs d'établir qu'ils convoyaient la marchandise prohibée pour le compte de leur voisin, en l'occurrence l'homme jugé jeudi pour "importation et commercialisation de drogue". L'accusé a nié les faits devant le tribunal en prétendant être victime de "complot" ourdi, selon lui, par ses deux voisins hostiles. Ses deux acolytes avaient écopé de 20 ans de réclusion à l'issue d'un précédent procès tenu au moment où, lui, était en état de fuite. Dans son réquisitoire, le représentant du ministère public avait réclamé à son encontre la réclusion à perpétuité. Les investigations judiciaires de cette affaire avaient été diligentées par le pôle pénal régional d'Oran, spécialisé dans la lutte contre le crime organisé. Une peine de dix-huit ans de réclusion a été prononcée, jeudi, par le tribunal criminel d'Oran à l'encontre d'un homme reconnu "coupable" dans une affaire de trafic transfrontalier de drogue. Les faits remontent au 17 octobre 2010 lorsque deux complices du mis en cause furent arrêtés par les gardes-frontières de Maghnia (Tlemcen) en possession de 56 kg de kif introduit depuis le Maroc. Leur audition a permis aux enquêteurs d'établir qu'ils convoyaient la marchandise prohibée pour le compte de leur voisin, en l'occurrence l'homme jugé jeudi pour "importation et commercialisation de drogue". L'accusé a nié les faits devant le tribunal en prétendant être victime de "complot" ourdi, selon lui, par ses deux voisins hostiles. Ses deux acolytes avaient écopé de 20 ans de réclusion à l'issue d'un précédent procès tenu au moment où, lui, était en état de fuite. Dans son réquisitoire, le représentant du ministère public avait réclamé à son encontre la réclusion à perpétuité. Les investigations judiciaires de cette affaire avaient été diligentées par le pôle pénal régional d'Oran, spécialisé dans la lutte contre le crime organisé.