Les pouvoirs publics œuvrent actuellement à «trouver une solution à la problématique du foncier» à laquelle sont confrontés les programmes de réalisation de logements à travers le pays, notamment dans la perspective de la construction à l'horizon 2014 de 2.450.000 logements, toutes formules confondues. C'est ce qu'a affirmé, jeudi, le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme Noureddine Moussa dans une déclaration à la presse en marge d'une séance plénière du Conseil de la nation consacrée aux questions orales. Le membre du gouvernement a révélé, à cet effet, que le gouvernement se penche actuellement sur le règlement du problème du foncier indiquant que «plusieurs décrets ont été promulgués en faveur de ce secteur pour l'identification des assiettes foncières au profit des directions de l'habitat à travers le pays». Le ministre a ajouté que cette démarche «vise à mettre en place un cadre urbanisé et à créer les infrastructures nécessaires (écoles, universités, hôpitaux, structures socio-économiques, etc.)» soulignant que les efforts du secteur ont été axés, depuis 2010, sur l'élaboration d'études sérieuses pour la réalisation des projets inscrits. «La méthodologie adoptée consiste à ne lancer aucun programme de logements si les études y afférentes ne sont pas finies. C'est pourquoi nous avons consacré l'année 2010 et une partie de l'année 2011 à l'étude des projets" a-t-il précisé. Après avoir mis l'accent sur l'importance de l'organisation du foncier en Algérie de manière à garantir à chaque citoyen un logement à travers les formules de location et de vente, le ministre a annoncé qu'il sera procédé à l'assouplissement des mesures d'octroi de logements socio- participatifs, indiquant que son département tiendra une réunion dans le courant de la semaine prochaine pour l'examen de ce dossier. M. Moussa a rappelé des statistiques du recensement national réalisé en 2008 selon lesquelles le parc national compte 7,6 millions de logements pour 35 millions d'habitants, précisant que le taux moyen d'occupation des logements en Algérie est de - 5 (moins 5) personnes par logement, jugeant cette moyenne appréciable et proche de celle enregistrée dans certains pays de l'Organisation pour la Coopération et le Développement économique (OCDE). Les crédits alloués au secteur de l'habitat et de l'aménagement urbain à l'horizon 2014 sont «très importants» et de l'ordre de 4.500 milliards/DA, a-t-il rappelé. A une question d'un député relative au logement social le ministre de l'Habitat a répondu qu'il était strictement interdit de procéder à la vente de ce type de logement. Il a également tenu à préciser que l'élaboration des listes de bénéficiaires de logements obéit à des «conditions rigoureuses» et se fait dans «la transparence et l'équité». Dans le même contexte, M. Moussa a ajouté que les autorités dument habilitées à désigner les bénéficiaires notamment de logements socio-locatifs et de logements publics aidés «veillent à leur distribution dans le cadre de la transparence et de l'équité», précisant que tout postulant au logement qui se sent lésé après l'affichage des listes a le droit d'introduire un recours. A une question sur les critères de distribution des programmes de l'habitat et de l'aménagement du territoire, le ministre a souligné que les autorités publiques «veillent à satisfaire les besoins de chaque commune en matière de logements et d'aménagement urbain» tout en prenant en compte «la disponibilité des assiettes foncières et des besoins supplémentaires dictés par l'expansion démographique». Les pouvoirs publics œuvrent actuellement à «trouver une solution à la problématique du foncier» à laquelle sont confrontés les programmes de réalisation de logements à travers le pays, notamment dans la perspective de la construction à l'horizon 2014 de 2.450.000 logements, toutes formules confondues. C'est ce qu'a affirmé, jeudi, le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme Noureddine Moussa dans une déclaration à la presse en marge d'une séance plénière du Conseil de la nation consacrée aux questions orales. Le membre du gouvernement a révélé, à cet effet, que le gouvernement se penche actuellement sur le règlement du problème du foncier indiquant que «plusieurs décrets ont été promulgués en faveur de ce secteur pour l'identification des assiettes foncières au profit des directions de l'habitat à travers le pays». Le ministre a ajouté que cette démarche «vise à mettre en place un cadre urbanisé et à créer les infrastructures nécessaires (écoles, universités, hôpitaux, structures socio-économiques, etc.)» soulignant que les efforts du secteur ont été axés, depuis 2010, sur l'élaboration d'études sérieuses pour la réalisation des projets inscrits. «La méthodologie adoptée consiste à ne lancer aucun programme de logements si les études y afférentes ne sont pas finies. C'est pourquoi nous avons consacré l'année 2010 et une partie de l'année 2011 à l'étude des projets" a-t-il précisé. Après avoir mis l'accent sur l'importance de l'organisation du foncier en Algérie de manière à garantir à chaque citoyen un logement à travers les formules de location et de vente, le ministre a annoncé qu'il sera procédé à l'assouplissement des mesures d'octroi de logements socio- participatifs, indiquant que son département tiendra une réunion dans le courant de la semaine prochaine pour l'examen de ce dossier. M. Moussa a rappelé des statistiques du recensement national réalisé en 2008 selon lesquelles le parc national compte 7,6 millions de logements pour 35 millions d'habitants, précisant que le taux moyen d'occupation des logements en Algérie est de - 5 (moins 5) personnes par logement, jugeant cette moyenne appréciable et proche de celle enregistrée dans certains pays de l'Organisation pour la Coopération et le Développement économique (OCDE). Les crédits alloués au secteur de l'habitat et de l'aménagement urbain à l'horizon 2014 sont «très importants» et de l'ordre de 4.500 milliards/DA, a-t-il rappelé. A une question d'un député relative au logement social le ministre de l'Habitat a répondu qu'il était strictement interdit de procéder à la vente de ce type de logement. Il a également tenu à préciser que l'élaboration des listes de bénéficiaires de logements obéit à des «conditions rigoureuses» et se fait dans «la transparence et l'équité». Dans le même contexte, M. Moussa a ajouté que les autorités dument habilitées à désigner les bénéficiaires notamment de logements socio-locatifs et de logements publics aidés «veillent à leur distribution dans le cadre de la transparence et de l'équité», précisant que tout postulant au logement qui se sent lésé après l'affichage des listes a le droit d'introduire un recours. A une question sur les critères de distribution des programmes de l'habitat et de l'aménagement du territoire, le ministre a souligné que les autorités publiques «veillent à satisfaire les besoins de chaque commune en matière de logements et d'aménagement urbain» tout en prenant en compte «la disponibilité des assiettes foncières et des besoins supplémentaires dictés par l'expansion démographique».