Six jours après son rapatriement en Algérie, le marin algérien, Azzedine Toudji, libéré la semaine dernière pour des «considérations humanitaires», par les pirates somaliens qui prennent toujours en otage le vraquier MV Blida et son équipage, ne s'est pas totalement rétabli. Six jours après son rapatriement en Algérie, le marin algérien, Azzedine Toudji, libéré la semaine dernière pour des «considérations humanitaires», par les pirates somaliens qui prennent toujours en otage le vraquier MV Blida et son équipage, ne s'est pas totalement rétabli. Outre les conditions de vie lamentables dans lesquelles se trouvait le marin et se trouvent actuellement 16 autres Algériens, Azzedine gardera à jamais un mauvais souvenir de ce pays frappé par la famine et affaibli par les guerres. Lui, ainsi que l'autre marin de nationalité ukrainienne, libérés en même temps, ont chopé un arrêt cardiaque, quelques jours avant leur libération. Selon une source proche, «leur libération était prévue le 8 de ce mois mais il y a eu un changement subite du négociateur, côté pirates. Le nouveau négociateur a décidé l'annulation de leur libération et c'est ainsi qu'Azzedine, et l'Ukrainien, ont piqué des crises cardiaques». Il convient de noter, dans ce contexte, qu' «ils (otages) n'ont pas bu de l'eau potable depuis 10 mois et ils se baignent avec de l'eau salée depuis qu'ils ont été capturés», affirme notre source. L'on se demande, à cet effet, qu'ont ressenti les 16 autres otages algériens, et autres membres de l'équipage, en voyant leurs collègues les quitter ? Rapatrié samedi dernier, Azzedine Toudji était dans un hôpital à Djibouti avant qu'il ne passe par Addis Abeba, en Ethiopie, pour atterrir à l'aéroport militaire de Boufarik. Rappelons, sur ce dernier point, que le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Amar Belani, lui, avait déclaré que l'opération de rapatriement, à laquelle ont pris part les représentations diplomatiques algériennes à Nairobi (Kenya), à Addis Abeba (Ethiopie) et à Paris (France), s'était déroulée dans «d'excellentes conditions», et que l'otage libéré «a pu bénéficier, dès son retour à Alger, d'une prise en charge médicale et psychologique adéquate». Azzedine a, enfin, retrouvé sa famille après plusieurs mois d'épreuves que, malheureusement, vivent encore nos 16 compatriotes. Souhaitons, enfin, un prompt rétablissement à Azzedine et des retrouvailles pour les 16 autres familles qui souffrent encore de l'absence de leurs pères à quelques jours de l'Aïd. Outre les conditions de vie lamentables dans lesquelles se trouvait le marin et se trouvent actuellement 16 autres Algériens, Azzedine gardera à jamais un mauvais souvenir de ce pays frappé par la famine et affaibli par les guerres. Lui, ainsi que l'autre marin de nationalité ukrainienne, libérés en même temps, ont chopé un arrêt cardiaque, quelques jours avant leur libération. Selon une source proche, «leur libération était prévue le 8 de ce mois mais il y a eu un changement subite du négociateur, côté pirates. Le nouveau négociateur a décidé l'annulation de leur libération et c'est ainsi qu'Azzedine, et l'Ukrainien, ont piqué des crises cardiaques». Il convient de noter, dans ce contexte, qu' «ils (otages) n'ont pas bu de l'eau potable depuis 10 mois et ils se baignent avec de l'eau salée depuis qu'ils ont été capturés», affirme notre source. L'on se demande, à cet effet, qu'ont ressenti les 16 autres otages algériens, et autres membres de l'équipage, en voyant leurs collègues les quitter ? Rapatrié samedi dernier, Azzedine Toudji était dans un hôpital à Djibouti avant qu'il ne passe par Addis Abeba, en Ethiopie, pour atterrir à l'aéroport militaire de Boufarik. Rappelons, sur ce dernier point, que le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Amar Belani, lui, avait déclaré que l'opération de rapatriement, à laquelle ont pris part les représentations diplomatiques algériennes à Nairobi (Kenya), à Addis Abeba (Ethiopie) et à Paris (France), s'était déroulée dans «d'excellentes conditions», et que l'otage libéré «a pu bénéficier, dès son retour à Alger, d'une prise en charge médicale et psychologique adéquate». Azzedine a, enfin, retrouvé sa famille après plusieurs mois d'épreuves que, malheureusement, vivent encore nos 16 compatriotes. Souhaitons, enfin, un prompt rétablissement à Azzedine et des retrouvailles pour les 16 autres familles qui souffrent encore de l'absence de leurs pères à quelques jours de l'Aïd.