Le secrétaire d'Etat adjoint américain pour les Affaires du Proche-Orient, Jeffrey Feltman, a effectué à Alger une visite officielle de deux jours. Reçu, dimanche, par le président Abdelaziz Bouteflika, Mourad Medelci et Abdelkader Messahel, Jeffrey Feltman a eu des entretiens également avec le ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale, Abdelmalek Guenaizia, selon un communiqué de l'ambassade des Etats-Unis à Alger. Le secrétaire d'Etat adjoint américain pour les Affaires du Proche-Orient, Jeffrey Feltman, a effectué à Alger une visite officielle de deux jours. Reçu, dimanche, par le président Abdelaziz Bouteflika, Mourad Medelci et Abdelkader Messahel, Jeffrey Feltman a eu des entretiens également avec le ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale, Abdelmalek Guenaizia, selon un communiqué de l'ambassade des Etats-Unis à Alger. L'évolution de la situation dans le monde arabe, notamment au Maghreb où les évènements s'accélèrent, semble préoccuper les Américains. Après la chute de Moubarak et de Ben Ali, le peuple libyen s'est débarrassé lui aussi du colonel Kadhafi. Mais la transition s'annonce difficile et incertaine en Libye, du fait de l'absence d'institutions qui auraient pu assurer la transition démocratique. Le secrétaire d'Etat adjoint américain pour les Affaires du Proche-Orient et l'Afrique du Nord, M. Jeffrey D. Feltman, a indiqué lundi à Alger que les Etats-Unis d'Amérique comprennent l'intérêt de l'Algérie de voir une transition en Libye "qui soit crédible et solide". "Nous comprenons que l'Algérie trouve qu'il est dans son intérêt de voir une transition en Libye qui réussisse et qui soit crédible et solide", a déclaré M. Feltman lors d'une conférence de presse tenue au siège de l'ambassade américaine. Le vent du changement qui souffle qui souffle sur le monde arabe et notamment au Maghreb préoccupe les puissances occidentales et notamment les Etats-Unis d'Amérique qui, surpris dans un premier temps par le déclenchement des révoltes populaires en Tunisie et en Egypte qui ont fini par emporter les présidents Ben Ali et Moubarak, cherchent à comprendre et à anticiper sur l'évolution de la situation en Libye. De hauts responsables politiques et militaires américains effectuent régulièrement des visites de travail à Alger pour s'entretenir avec leurs homologues algériens sur la situation dans la région, notamment en Libye où les rebelles ont réussi à chasser du pouvoir le colonel Kadhafi. Des mois d'intenses combats ont opposé les forces du guide de la Jamahiria et les rebelles. Une situation confuse règne dans ce pays. Le secrétaire d'Etat adjoint américain pour les affaires du Proche-Orient et l'Afrique du Nord, Jeffrey D. Feltman, a précisé que sa visite en Algérie avait pour but de s'entretenir avec les autorités algériennes de la manière dont elles analysent et envisagent les développements actuels en Libye. "Il est important pour nous de comprendre la position de l'Algérie concernant ce qui se passe dans la région et comment l'Algérie envisage la meilleure façon de soutenir les autorités de ce pays (Libye) en période de transition", a-t-il ajouté. L'après-Kadhafi est engagé en Libye, désormais «libre». Une feuille de route est mise en œuvre pour que la Libye atteigne les normes universelles de la gouvernance. Le président du Conseil national de transition (CNT), Moustapha Abdeljalil, a annoncé, hier, à Benghazi (est) la formation "d'ici deux semaines" d'un gouvernement, chargé de gérer la transition en Libye. "Nous avons commencé les discussions (sur la formation d'un gouvernement) et cette question ne prendra pas un mois mais sera terminée d'ici deux semaines", a indiqué Abdeljalil au cours d'une conférence de presse. Selon la feuille de route, annoncée en août par le CNT, un gouvernement intérimaire doit être formé, un mois après l'annonce de la libération du pays. Celle-ci a été proclamée, dimanche, lors d'une cérémonie à Benghazi (est), trois jours après la mort de l'ex-dirigeant Mouammar Kadhafi, tué jeudi à Syrte, sa région natale. Par ailleurs, des élections constituantes doivent avoir lieu d'ici huit mois maximum, suivies d'élections générales un an après au plus tard, selon le plan du CNT. Pour l'Algérie et les Etats-Unis ainsi que pour les autres pays de la région, notamment ceux du Sahel en prise avec les trafics en tous genres et les crimes organisés, il importe que la Libye se normalise, qu'elle se mette aux standards internationaux de gouvernance et qu'elle prenne à bras le corps les problèmes sécuritaires. Beaucoup d'armes circulent depuis l'éclatement du conflit. La sécurité régionale est, en effet, l'affaire de tous dans la mesure où il s'agit d'un même territoire. Ils observent, donc, attentivement leur voisin libyen tout comme la Tunisie en pleine transition politique. Un sujet évoqué aussi par le secrétaire d'Etat adjoint américain pour les Affaires du Proche-Orient et l'Afrique du Nord avec les responsables algériens. Autre pays sur lequel Algériens et Américains se sont concertés : la Syrie. Il a relevé que la Ligue arabe, dans laquelle l'Algérie est "très active", doit y envoyer une délégation le 26 octobre afin de présenter un plan arabe pour le règlement de la crise. "L'objectif de cette mission est de contribuer à mettre fin à la violence et à faire avancer les choses", a-t-il dit, affirmant que son pays "soutient" ces objectifs. L'évolution de la situation dans le monde arabe, notamment au Maghreb où les évènements s'accélèrent, semble préoccuper les Américains. Après la chute de Moubarak et de Ben Ali, le peuple libyen s'est débarrassé lui aussi du colonel Kadhafi. Mais la transition s'annonce difficile et incertaine en Libye, du fait de l'absence d'institutions qui auraient pu assurer la transition démocratique. Le secrétaire d'Etat adjoint américain pour les Affaires du Proche-Orient et l'Afrique du Nord, M. Jeffrey D. Feltman, a indiqué lundi à Alger que les Etats-Unis d'Amérique comprennent l'intérêt de l'Algérie de voir une transition en Libye "qui soit crédible et solide". "Nous comprenons que l'Algérie trouve qu'il est dans son intérêt de voir une transition en Libye qui réussisse et qui soit crédible et solide", a déclaré M. Feltman lors d'une conférence de presse tenue au siège de l'ambassade américaine. Le vent du changement qui souffle qui souffle sur le monde arabe et notamment au Maghreb préoccupe les puissances occidentales et notamment les Etats-Unis d'Amérique qui, surpris dans un premier temps par le déclenchement des révoltes populaires en Tunisie et en Egypte qui ont fini par emporter les présidents Ben Ali et Moubarak, cherchent à comprendre et à anticiper sur l'évolution de la situation en Libye. De hauts responsables politiques et militaires américains effectuent régulièrement des visites de travail à Alger pour s'entretenir avec leurs homologues algériens sur la situation dans la région, notamment en Libye où les rebelles ont réussi à chasser du pouvoir le colonel Kadhafi. Des mois d'intenses combats ont opposé les forces du guide de la Jamahiria et les rebelles. Une situation confuse règne dans ce pays. Le secrétaire d'Etat adjoint américain pour les affaires du Proche-Orient et l'Afrique du Nord, Jeffrey D. Feltman, a précisé que sa visite en Algérie avait pour but de s'entretenir avec les autorités algériennes de la manière dont elles analysent et envisagent les développements actuels en Libye. "Il est important pour nous de comprendre la position de l'Algérie concernant ce qui se passe dans la région et comment l'Algérie envisage la meilleure façon de soutenir les autorités de ce pays (Libye) en période de transition", a-t-il ajouté. L'après-Kadhafi est engagé en Libye, désormais «libre». Une feuille de route est mise en œuvre pour que la Libye atteigne les normes universelles de la gouvernance. Le président du Conseil national de transition (CNT), Moustapha Abdeljalil, a annoncé, hier, à Benghazi (est) la formation "d'ici deux semaines" d'un gouvernement, chargé de gérer la transition en Libye. "Nous avons commencé les discussions (sur la formation d'un gouvernement) et cette question ne prendra pas un mois mais sera terminée d'ici deux semaines", a indiqué Abdeljalil au cours d'une conférence de presse. Selon la feuille de route, annoncée en août par le CNT, un gouvernement intérimaire doit être formé, un mois après l'annonce de la libération du pays. Celle-ci a été proclamée, dimanche, lors d'une cérémonie à Benghazi (est), trois jours après la mort de l'ex-dirigeant Mouammar Kadhafi, tué jeudi à Syrte, sa région natale. Par ailleurs, des élections constituantes doivent avoir lieu d'ici huit mois maximum, suivies d'élections générales un an après au plus tard, selon le plan du CNT. Pour l'Algérie et les Etats-Unis ainsi que pour les autres pays de la région, notamment ceux du Sahel en prise avec les trafics en tous genres et les crimes organisés, il importe que la Libye se normalise, qu'elle se mette aux standards internationaux de gouvernance et qu'elle prenne à bras le corps les problèmes sécuritaires. Beaucoup d'armes circulent depuis l'éclatement du conflit. La sécurité régionale est, en effet, l'affaire de tous dans la mesure où il s'agit d'un même territoire. Ils observent, donc, attentivement leur voisin libyen tout comme la Tunisie en pleine transition politique. Un sujet évoqué aussi par le secrétaire d'Etat adjoint américain pour les Affaires du Proche-Orient et l'Afrique du Nord avec les responsables algériens. Autre pays sur lequel Algériens et Américains se sont concertés : la Syrie. Il a relevé que la Ligue arabe, dans laquelle l'Algérie est "très active", doit y envoyer une délégation le 26 octobre afin de présenter un plan arabe pour le règlement de la crise. "L'objectif de cette mission est de contribuer à mettre fin à la violence et à faire avancer les choses", a-t-il dit, affirmant que son pays "soutient" ces objectifs.