Après les Etats-Unis, l'OTAN, le Canada et d'autres puissances occidentales, c'est au tour du Royaume-Uni de reconnaître le leadership de l'Algérie dans la lutte antiterroriste dans la région. Ainsi, le général-major Robin Searby, conseiller du Premier ministre britannique pour la lutte antiterroriste en Afrique du Nord et au Sahel, a réaffirmé, hier à Alger, le rôle «primordial» de l'Algérie en matière de lutte contre cette menace dans l'espace sahélo-saharien. C'est à l'issue de la troisième réunion du groupe de contact bilatéral algéro-britannique de coopération sur la lutte contre le terrorisme et les questions de sécurité connexes, qui s'est tenue, lundi et mardi dernier dans la capitale, que s'est exprimé le général-major. Robin Searby a coprésidé cette réunion avec Kamel Rezzag-Bara, conseiller auprès du président de la République et coordinateur du groupe interministériel chargé de l'action extérieure dans le domaine de la lutte contre le terrorisme. Selon le haut responsable militaire britannique, cette réunion est un «pas important» dans les relations algéro-britanniques. Dans une conférence de presse tenue, hier, à la résidence de l'ambassadeur britannique à Alger, M. Searby a indiqué qu'il a eu des entretiens «très constructifs» avec M. Rezzag-Bara, relevant une «convergence totale» des points de vue sur l'ensemble des sujets abordés. Outre cela, le poids de la menace qui pèse sur la région du Sahel impose des «actions concertées», a fait remarquer le conseiller britannique, tout en réaffirmant l'engagement de son pays à aider les pays du Sahel à renforcer leurs capacités de lutte contre le terrorisme. Il a, à cet égard, exprimé l'inquiétude du Royaume-Uni qui, a-t-il dit, partage les «préoccupations» de l'Algérie quant à la prolifération d'armements en tous genres et la circulation d'éléments armés incontrôlés pouvant mettre en danger la paix et la sécurité dans la sous région. «Nous sommes autant que les pays du Sahel inquiets de la circulation incontrôlée des armes qui met en péril la stabilité de toute la région et nous devons agir ensemble pour connaître l'origine de ces armes et parvenir à les détruire», a-t-il affirmé. Rappelons que l'Algérie, qui a été pointée du doigt par certaines parties occidentales l'accusant de soutenir le régime de Mouammar Kadhafi, a, dès les premières heures du conflit libyen, exprimé sa grande inquiétude sur ce point, tout en affichant son souhait de voir le peuple libyen choisir son sort pacifiquement. De ce fait, le Royaume-Uni a, par la voix de Robin Searby, plaidé pour une coopération bilatérale et régionale «plus intense» à même de venir à bout de cette menace. Le général-major a, dans ce sens, souligné que son pays peut aider les pays de la région par son expertise en leur fournissant une assistance technique «plus soutenue». Notons, enfin, que cette réunion a été l'occasion, pour les deux parties, de procéder à un échange d'analyses et d'informations sur l'évolution de la lutte contre le terrorisme dans les deux pays et ses projections dans l'environnement régional et international, notamment à la lumière des derniers développements survenus en Libye. Après les Etats-Unis, l'OTAN, le Canada et d'autres puissances occidentales, c'est au tour du Royaume-Uni de reconnaître le leadership de l'Algérie dans la lutte antiterroriste dans la région. Ainsi, le général-major Robin Searby, conseiller du Premier ministre britannique pour la lutte antiterroriste en Afrique du Nord et au Sahel, a réaffirmé, hier à Alger, le rôle «primordial» de l'Algérie en matière de lutte contre cette menace dans l'espace sahélo-saharien. C'est à l'issue de la troisième réunion du groupe de contact bilatéral algéro-britannique de coopération sur la lutte contre le terrorisme et les questions de sécurité connexes, qui s'est tenue, lundi et mardi dernier dans la capitale, que s'est exprimé le général-major. Robin Searby a coprésidé cette réunion avec Kamel Rezzag-Bara, conseiller auprès du président de la République et coordinateur du groupe interministériel chargé de l'action extérieure dans le domaine de la lutte contre le terrorisme. Selon le haut responsable militaire britannique, cette réunion est un «pas important» dans les relations algéro-britanniques. Dans une conférence de presse tenue, hier, à la résidence de l'ambassadeur britannique à Alger, M. Searby a indiqué qu'il a eu des entretiens «très constructifs» avec M. Rezzag-Bara, relevant une «convergence totale» des points de vue sur l'ensemble des sujets abordés. Outre cela, le poids de la menace qui pèse sur la région du Sahel impose des «actions concertées», a fait remarquer le conseiller britannique, tout en réaffirmant l'engagement de son pays à aider les pays du Sahel à renforcer leurs capacités de lutte contre le terrorisme. Il a, à cet égard, exprimé l'inquiétude du Royaume-Uni qui, a-t-il dit, partage les «préoccupations» de l'Algérie quant à la prolifération d'armements en tous genres et la circulation d'éléments armés incontrôlés pouvant mettre en danger la paix et la sécurité dans la sous région. «Nous sommes autant que les pays du Sahel inquiets de la circulation incontrôlée des armes qui met en péril la stabilité de toute la région et nous devons agir ensemble pour connaître l'origine de ces armes et parvenir à les détruire», a-t-il affirmé. Rappelons que l'Algérie, qui a été pointée du doigt par certaines parties occidentales l'accusant de soutenir le régime de Mouammar Kadhafi, a, dès les premières heures du conflit libyen, exprimé sa grande inquiétude sur ce point, tout en affichant son souhait de voir le peuple libyen choisir son sort pacifiquement. De ce fait, le Royaume-Uni a, par la voix de Robin Searby, plaidé pour une coopération bilatérale et régionale «plus intense» à même de venir à bout de cette menace. Le général-major a, dans ce sens, souligné que son pays peut aider les pays de la région par son expertise en leur fournissant une assistance technique «plus soutenue». Notons, enfin, que cette réunion a été l'occasion, pour les deux parties, de procéder à un échange d'analyses et d'informations sur l'évolution de la lutte contre le terrorisme dans les deux pays et ses projections dans l'environnement régional et international, notamment à la lumière des derniers développements survenus en Libye.