Une circulaire relative aux élections des commissions nationale et de wilaya chargées de la gestion des œuvres sociales du secteur de l‘Education nationale sera prochainement diffusée pour mettre fin au différend entre les syndicats sur cette question, selon une source syndicale. La circulaire, qui fixera les modalités des élections des commissions nationale et de wilaya et qui sera prête au début du mois prochain, est en phase de réalisation par la commission mixte comprenant l‘Union nationale des personnels de l‘enseignement et de la formation (UNPEF), le Conseil national autonome des professeurs de l‘enseignement secondaire et technique (Cnapest) et le ministère de l‘Education, a déclaré le président de l‘UNPEF, Sadek Dziri. Et d‘ajouter : «La candidature est ouverte à tous», en indiquant que cette circulaire n‘exclut pas les corps communs, les enseignants et personnels qui ne sont affiliés à aucun syndicat. A ce titre, M. Dziri a précisé qu‘au cas où le taux de participation dépasse 50% «les élections seront incontestables» en précisant : «Et si le quorum n‘est pas atteint, la gestion des œuvres sociales sera confiée aux établissements scolaires, tel que réclamé par les quatre syndicats qui se sont retirés de la réunion tenue le 24 octobre dernier au siège du ministère de l‘Education nationale.» Le président de l‘UNPEF n‘a pas manqué d‘évoquer le consensus établi entre les syndicats et le ministère de l‘Education nationale sur le principe de solidarité nationale et «l‘organisation d‘une élection transparente à scrutin secret». Par ailleurs, M.Dziri a indiqué que le ministère de l‘Education estimait la valeur des fonds gelés entre 700 et 2.000 milliards de centimes au cours des deux dernières années. Pour sa part, le coordinateur national du Syndicat national indépendant des professionnels de l‘enseignement secondaire et technique (Snapest), Meziane Meriane, a précisé qu‘il ne s‘opposait pas à l‘idée d‘élections, car permettant d‘élire les commissions nationale et de wilaya pour la gestion des œuvres sociales et d‘organiser un réferendum sur la représentativité de ces syndicats. Et, a-t-il enchaîné : «Si le taux est inférieur à 50%, les élections seront annulées», indiquant que des commissions seront proposées pour la gestion de ces fonds au niveau des établissements scolaires. Dans un communiqué, la FNTE s‘est surtout étonnée de l‘ordre du jour de la dernière réunion qui a abordé le dossier des œuvres sociales sans évoquer les autres problèmes socioprofessionnels. Son secrétariat a également réaffirmé son attachement à la plate-forme de revendication soumise le 12 septembre. Quant à la réunion du comité exécutif élargi des secrétaires généraux des syndicats, M. Boudaha a précisé qu‘elle se tiendra «au plus tard le troisième jour de l‘Aïd». Une circulaire relative aux élections des commissions nationale et de wilaya chargées de la gestion des œuvres sociales du secteur de l‘Education nationale sera prochainement diffusée pour mettre fin au différend entre les syndicats sur cette question, selon une source syndicale. La circulaire, qui fixera les modalités des élections des commissions nationale et de wilaya et qui sera prête au début du mois prochain, est en phase de réalisation par la commission mixte comprenant l‘Union nationale des personnels de l‘enseignement et de la formation (UNPEF), le Conseil national autonome des professeurs de l‘enseignement secondaire et technique (Cnapest) et le ministère de l‘Education, a déclaré le président de l‘UNPEF, Sadek Dziri. Et d‘ajouter : «La candidature est ouverte à tous», en indiquant que cette circulaire n‘exclut pas les corps communs, les enseignants et personnels qui ne sont affiliés à aucun syndicat. A ce titre, M. Dziri a précisé qu‘au cas où le taux de participation dépasse 50% «les élections seront incontestables» en précisant : «Et si le quorum n‘est pas atteint, la gestion des œuvres sociales sera confiée aux établissements scolaires, tel que réclamé par les quatre syndicats qui se sont retirés de la réunion tenue le 24 octobre dernier au siège du ministère de l‘Education nationale.» Le président de l‘UNPEF n‘a pas manqué d‘évoquer le consensus établi entre les syndicats et le ministère de l‘Education nationale sur le principe de solidarité nationale et «l‘organisation d‘une élection transparente à scrutin secret». Par ailleurs, M.Dziri a indiqué que le ministère de l‘Education estimait la valeur des fonds gelés entre 700 et 2.000 milliards de centimes au cours des deux dernières années. Pour sa part, le coordinateur national du Syndicat national indépendant des professionnels de l‘enseignement secondaire et technique (Snapest), Meziane Meriane, a précisé qu‘il ne s‘opposait pas à l‘idée d‘élections, car permettant d‘élire les commissions nationale et de wilaya pour la gestion des œuvres sociales et d‘organiser un réferendum sur la représentativité de ces syndicats. Et, a-t-il enchaîné : «Si le taux est inférieur à 50%, les élections seront annulées», indiquant que des commissions seront proposées pour la gestion de ces fonds au niveau des établissements scolaires. Dans un communiqué, la FNTE s‘est surtout étonnée de l‘ordre du jour de la dernière réunion qui a abordé le dossier des œuvres sociales sans évoquer les autres problèmes socioprofessionnels. Son secrétariat a également réaffirmé son attachement à la plate-forme de revendication soumise le 12 septembre. Quant à la réunion du comité exécutif élargi des secrétaires généraux des syndicats, M. Boudaha a précisé qu‘elle se tiendra «au plus tard le troisième jour de l‘Aïd».