Les principales Bourses ont terminé en forte chute, mardi, affectées par l'annonce d'un référendum en Grèce sur le deuxième plan d'aide européen et international, à l'issue d'une séance catastrophique pour la quasi-totalité des marchés d'Europe et d'Amérique. Les places boursières ont pâti, notamment, de l'annonce faite, lundi soir, par le Premier ministre grec, Georges Papandréou, de l'organisation d'un référendum sur l'accord visant à effacer une partie de la dette publique grecque, une décision qui a surpris les marchés. La Bourse d'Athènes a connu la plus forte baisse et lâché 6,92% en fin de séance. La Bourse de Londres a fini en net recul, dans le sillage d'une chute des valeurs financières suite à l'annonce d'un référendum en Grèce sur le deuxième plan d'aide européen et international. L'indice Footsie-100 des principales valeurs a cédé 122,65 points, soit 2,21% par rapport à la clôture de lundi, à 5.421,57 points. "Le Footsie-100 a connu sa plus mauvaise séance depuis un mois, les investisseurs fuyant les actifs risqués comme les banques et les mines, après la convocation surprise d'un référendum par le Premier ministre grec", a expliqué un expert financier. "La seule certitude sur les marchés est que les choses vont devenir encore plus incertaines. Ils ont plongé aujourd'hui alors que les investisseurs étaient pris de peur concernant les événements en Grèce", a relevé un autre analyste. Par ailleurs, la Bourse de Francfort a, également, plongé, tout comme les autres place européennes. asie Le baril coté à 91,45 dollars Les cours du pétrole étaient en baisse, mercredi en Asie, après l'annonce d'un référendum en Grèce qui pourrait hypothéquer le règlement de la crise de la dette en Europe, ont indiqué les courtiers. Le baril de "light sweet crude" pour livraison en décembre perdait 74 cents à 91,45 USD dans les premiers échanges électroniques. Le baril de brent de la mer du Nord pour livraison en décembre abandonnait 59 cents à 108,95 USD. Lundi soir, le Premier ministre grec, Georges Papandréou, a annoncé l'organisation d'une consultation référendaire sur l'accord obtenu entre les pays de la zone euro, qui prévoit un plan de désendettement pour Athènes. Les investisseurs craignent que ce référendum n'entraîne la faillite du pays et ne plonge le système financier dans une inconnue dangereuse, selon une note boursière. Des statistiques économiques déprimantes venant des Etats-Unis, de Chine et d'Europe ont, également, "renforcé les craintes d'un ralentissement économique" synonyme d'une moindre demande de pétrole, ajoute la note. Mardi, le baril de "light sweet crude" pour livraison en décembre avait terminé à 92,19 dollars sur le New York Mercantile Exchange, en baisse de 1 dollar par rapport à la veille. A Londres, sur l'IntercontinentalExchange, le baril de brent de la mer du Nord à échéance identique avait fini quasi stable (-2 cents), à 109,54 dollars. Les principales Bourses ont terminé en forte chute, mardi, affectées par l'annonce d'un référendum en Grèce sur le deuxième plan d'aide européen et international, à l'issue d'une séance catastrophique pour la quasi-totalité des marchés d'Europe et d'Amérique. Les places boursières ont pâti, notamment, de l'annonce faite, lundi soir, par le Premier ministre grec, Georges Papandréou, de l'organisation d'un référendum sur l'accord visant à effacer une partie de la dette publique grecque, une décision qui a surpris les marchés. La Bourse d'Athènes a connu la plus forte baisse et lâché 6,92% en fin de séance. La Bourse de Londres a fini en net recul, dans le sillage d'une chute des valeurs financières suite à l'annonce d'un référendum en Grèce sur le deuxième plan d'aide européen et international. L'indice Footsie-100 des principales valeurs a cédé 122,65 points, soit 2,21% par rapport à la clôture de lundi, à 5.421,57 points. "Le Footsie-100 a connu sa plus mauvaise séance depuis un mois, les investisseurs fuyant les actifs risqués comme les banques et les mines, après la convocation surprise d'un référendum par le Premier ministre grec", a expliqué un expert financier. "La seule certitude sur les marchés est que les choses vont devenir encore plus incertaines. Ils ont plongé aujourd'hui alors que les investisseurs étaient pris de peur concernant les événements en Grèce", a relevé un autre analyste. Par ailleurs, la Bourse de Francfort a, également, plongé, tout comme les autres place européennes. asie Le baril coté à 91,45 dollars Les cours du pétrole étaient en baisse, mercredi en Asie, après l'annonce d'un référendum en Grèce qui pourrait hypothéquer le règlement de la crise de la dette en Europe, ont indiqué les courtiers. Le baril de "light sweet crude" pour livraison en décembre perdait 74 cents à 91,45 USD dans les premiers échanges électroniques. Le baril de brent de la mer du Nord pour livraison en décembre abandonnait 59 cents à 108,95 USD. Lundi soir, le Premier ministre grec, Georges Papandréou, a annoncé l'organisation d'une consultation référendaire sur l'accord obtenu entre les pays de la zone euro, qui prévoit un plan de désendettement pour Athènes. Les investisseurs craignent que ce référendum n'entraîne la faillite du pays et ne plonge le système financier dans une inconnue dangereuse, selon une note boursière. Des statistiques économiques déprimantes venant des Etats-Unis, de Chine et d'Europe ont, également, "renforcé les craintes d'un ralentissement économique" synonyme d'une moindre demande de pétrole, ajoute la note. Mardi, le baril de "light sweet crude" pour livraison en décembre avait terminé à 92,19 dollars sur le New York Mercantile Exchange, en baisse de 1 dollar par rapport à la veille. A Londres, sur l'IntercontinentalExchange, le baril de brent de la mer du Nord à échéance identique avait fini quasi stable (-2 cents), à 109,54 dollars.