«L'Algérie ne verse pas de rançons et elle condamne fermement cette pratique, qu'elle soit le fait des Etats ou d'organismes publics ou privés», a réitéré, hier dans une déclaration, M. Belani. En réaction «à la référence faite par certains magazines en ligne au paiement d'une rançon en relation avec la libération des marins du navire MV Blida», Amar Belani a souligné que «l'Algérie a une position doctrinale qui a été réaffirmée à de nombreuses reprises et de la manière la plus solennelle : l'Algérie ne verse pas de rançons et elle condamne fermement cette pratique qu'elle soit le fait des Etats ou d'organismes publics ou privés». D'ailleurs, «après l'adoption de la résolution 1904 du Conseil de sécurité, nous poursuivons inlassablement nos efforts avec certains de nos partenaires au sein des Nations unies pour criminaliser, de manière effective, le paiement des rançons» a précisé le porte-parole des AE. Le directeur général d'International Bulk Carriers (IBC), armateur du navire MV Blida, Nacereddine Mansouri, avait lui aussi affirmé qu' «aucune rançon n'a été payée aux pirates pour la libération des marins algériens ; la position de l'Algérie à ce propos est ferme et sans équivoque et nous l'appliquons». C'est dire que l'Algérie, premier pays à avoir demandé devant l'assemblée générale des Nations unies, la criminalisation du paiement de rançons dans les actes de prise d'otages, est ainsi restée attachée à son principe, sachant que le paiement de rançons signifie clairement l'encouragement des criminels et le financement du terrorisme. «L'Algérie ne verse pas de rançons et elle condamne fermement cette pratique, qu'elle soit le fait des Etats ou d'organismes publics ou privés», a réitéré, hier dans une déclaration, M. Belani. En réaction «à la référence faite par certains magazines en ligne au paiement d'une rançon en relation avec la libération des marins du navire MV Blida», Amar Belani a souligné que «l'Algérie a une position doctrinale qui a été réaffirmée à de nombreuses reprises et de la manière la plus solennelle : l'Algérie ne verse pas de rançons et elle condamne fermement cette pratique qu'elle soit le fait des Etats ou d'organismes publics ou privés». D'ailleurs, «après l'adoption de la résolution 1904 du Conseil de sécurité, nous poursuivons inlassablement nos efforts avec certains de nos partenaires au sein des Nations unies pour criminaliser, de manière effective, le paiement des rançons» a précisé le porte-parole des AE. Le directeur général d'International Bulk Carriers (IBC), armateur du navire MV Blida, Nacereddine Mansouri, avait lui aussi affirmé qu' «aucune rançon n'a été payée aux pirates pour la libération des marins algériens ; la position de l'Algérie à ce propos est ferme et sans équivoque et nous l'appliquons». C'est dire que l'Algérie, premier pays à avoir demandé devant l'assemblée générale des Nations unies, la criminalisation du paiement de rançons dans les actes de prise d'otages, est ainsi restée attachée à son principe, sachant que le paiement de rançons signifie clairement l'encouragement des criminels et le financement du terrorisme.