Un important réseau de trafiquants d'objets archéologiques a été dernièrement neutralisé par les gendarmes de la Section de recherches de Rouiba. Le gang, constitué de 9 trafiquants, exerçait dans plusieurs wilayas du pays. C'est suite à des informations selon lesquelles un réseau spécialisé dans le trafic d'objets archéologiques aurait investi les wilayas de Tizi-Ouzou, Bouira, Blida, Sétif, Relizane et Tiaret que l'enquête a été diligentée. Les informations parvenues à la brigade de gendarmerie de Rouiba faisaient état aussi qu'un certain dénommé S. R., âgé de 53 ans, aurait été en possession d'un CD contenant les photos des objets archéologiques, au nombre de 33. S. R., chômeur de son état, avait pour mission de proposer sa «marchandise» aux éventuels clients. Notons que la tête pensante de ce gang était un autre chômeur, âgé de 43 ans et répondant aux initiales T. M. cette même source avait, en outre, indiqué qu'un autre trafiquant, un dénommé M. M. âgé de 58 ans ainsi que son complice, âgé de 32 ans et répondant aux initiales A. H. avaient en sa possession plusieurs pièces archéologiques précieuses à Bouira. Le travail d'investigation minutieux des gendarmes a conduit à l'arrestation de cinq mis en cause. Ainsi, M. M., A. H., G.L., S. R. ainsi que Z. D. ont été arrêtés à Alger, après avoir été conduits de Bouira à Rouiba sans qu'ils le sachent. Le véhicule qui les transportait, une Peugeot 405, était bourré d'objets archéologiques ainsi que d'anciennes monnaies arabes et européennes. Pas moins de 8 coupes, 3 épées sculptées et autres objets de valeurs ont été découvert. Outre cela 23 cartes postales volées du Musée national des beaux arts d'Alger ont été récupérées lors de cette opération. L'interrogation des mis en cause a conduit à la découverte du principal propriétaire de ce trésor, qui n'était autre que M. M. et S. R. Le CD était, par ailleurs, en possession d'un habitant de Blida répondant aux initiales R.D. Interrogé, à son tour, R.D. dira que le propriétaire de ces pièces est le dénommé T .M., âgé de 43 ans et résidant dans la wilaya de Tiaret. Notons que ce dernier fait actuellement l'objet de recherches des services de sécurité. Avant de se diriger à cette wilaya, les gendarmes se sont déplacés à Bouira où ils ont récupéré, à l'intérieur d'un local commercial, un balance antique, une médailles des Jeux universitaires du Maghreb arabe de 1968 ainsi qu'une ancienne ceinture métallique pour femme et autre objets d'antiquité. Le lot récupéré à Tiaret ne manque pas d'importance. Pas moins de 7 pièces archéologiques ont été ainsi saisies. Dans le domicile du gendre du mis en cause, 13 autres pièces archéologiques, non moins importantes à l'image des statuettes et des pierres précieuses ont été découvertes. Leur propriétaire, D. K. a été à ce titre arrêté. Notons enfin que l'expertise des spécialistes en archéologie a confirmé que les pièces récupérées à Alger remontent à l'époque romaine, celles saisies à Tiaret dateraient de l'époque physicienne tandis que la balance récupérée à Bouira daterait remontent à l'année 1736 de l'époque ottomane. Un important réseau de trafiquants d'objets archéologiques a été dernièrement neutralisé par les gendarmes de la Section de recherches de Rouiba. Le gang, constitué de 9 trafiquants, exerçait dans plusieurs wilayas du pays. C'est suite à des informations selon lesquelles un réseau spécialisé dans le trafic d'objets archéologiques aurait investi les wilayas de Tizi-Ouzou, Bouira, Blida, Sétif, Relizane et Tiaret que l'enquête a été diligentée. Les informations parvenues à la brigade de gendarmerie de Rouiba faisaient état aussi qu'un certain dénommé S. R., âgé de 53 ans, aurait été en possession d'un CD contenant les photos des objets archéologiques, au nombre de 33. S. R., chômeur de son état, avait pour mission de proposer sa «marchandise» aux éventuels clients. Notons que la tête pensante de ce gang était un autre chômeur, âgé de 43 ans et répondant aux initiales T. M. cette même source avait, en outre, indiqué qu'un autre trafiquant, un dénommé M. M. âgé de 58 ans ainsi que son complice, âgé de 32 ans et répondant aux initiales A. H. avaient en sa possession plusieurs pièces archéologiques précieuses à Bouira. Le travail d'investigation minutieux des gendarmes a conduit à l'arrestation de cinq mis en cause. Ainsi, M. M., A. H., G.L., S. R. ainsi que Z. D. ont été arrêtés à Alger, après avoir été conduits de Bouira à Rouiba sans qu'ils le sachent. Le véhicule qui les transportait, une Peugeot 405, était bourré d'objets archéologiques ainsi que d'anciennes monnaies arabes et européennes. Pas moins de 8 coupes, 3 épées sculptées et autres objets de valeurs ont été découvert. Outre cela 23 cartes postales volées du Musée national des beaux arts d'Alger ont été récupérées lors de cette opération. L'interrogation des mis en cause a conduit à la découverte du principal propriétaire de ce trésor, qui n'était autre que M. M. et S. R. Le CD était, par ailleurs, en possession d'un habitant de Blida répondant aux initiales R.D. Interrogé, à son tour, R.D. dira que le propriétaire de ces pièces est le dénommé T .M., âgé de 43 ans et résidant dans la wilaya de Tiaret. Notons que ce dernier fait actuellement l'objet de recherches des services de sécurité. Avant de se diriger à cette wilaya, les gendarmes se sont déplacés à Bouira où ils ont récupéré, à l'intérieur d'un local commercial, un balance antique, une médailles des Jeux universitaires du Maghreb arabe de 1968 ainsi qu'une ancienne ceinture métallique pour femme et autre objets d'antiquité. Le lot récupéré à Tiaret ne manque pas d'importance. Pas moins de 7 pièces archéologiques ont été ainsi saisies. Dans le domicile du gendre du mis en cause, 13 autres pièces archéologiques, non moins importantes à l'image des statuettes et des pierres précieuses ont été découvertes. Leur propriétaire, D. K. a été à ce titre arrêté. Notons enfin que l'expertise des spécialistes en archéologie a confirmé que les pièces récupérées à Alger remontent à l'époque romaine, celles saisies à Tiaret dateraient de l'époque physicienne tandis que la balance récupérée à Bouira daterait remontent à l'année 1736 de l'époque ottomane.