La Syrie a appelé, hier, à la tenue d'un sommet arabe "urgent" sur la crise qui prévaut dans le pays depuis mars, a annoncé la télévision publique. "La Syrie demande la tenue d'un sommet arabe urgent pour remédier à la crise et à ses conséquences négatives sur la conjoncture arabe", a précisé la télévision, au lendemain de la décision de la Ligue arabe de suspendre la participation de Damas à ses réunions. Selon un communiqué officiel reproduit par l'agence de presse Sana, Damas invite également les pays arabes à envoyer des ministres en Syrie pour s'enquérir de la situation sur le terrain et superviser l'application du plan de sortie de crise proposé par la Ligue arabe. La Syrie "accueille favorablement une visite d'un comité ministériel arabe avant le 16 novembre", date à laquelle la décision de la Ligue arabe doit entrer en vigueur, affirme le texte. Cette délégation "serait accompagnée d'observateurs, d'experts civils et militaires et de médias arabes afin de s'informer directement de ce qui se passe sur le terrain, et de superviser, en coordination avec le gouvernement syrien, l'application du plan arabe". "La Syrie, qui a accepté le 2 novembre ce plan, y voit toujours un cadre adéquat pour remédier à la crise, loin de toute ingérence étrangère", selon le communiqué officiel de Damas qui avait dénoncé la décision de la Ligue arabe de suspendre la Syrie de ses travaux. La Syrie demande, enfin, au secrétaire général de la Ligue arabe, Nabil al-Arabi, d'"agir rapidement pour appliquer ces propositions". La Syrie a appelé, hier, à la tenue d'un sommet arabe "urgent" sur la crise qui prévaut dans le pays depuis mars, a annoncé la télévision publique. "La Syrie demande la tenue d'un sommet arabe urgent pour remédier à la crise et à ses conséquences négatives sur la conjoncture arabe", a précisé la télévision, au lendemain de la décision de la Ligue arabe de suspendre la participation de Damas à ses réunions. Selon un communiqué officiel reproduit par l'agence de presse Sana, Damas invite également les pays arabes à envoyer des ministres en Syrie pour s'enquérir de la situation sur le terrain et superviser l'application du plan de sortie de crise proposé par la Ligue arabe. La Syrie "accueille favorablement une visite d'un comité ministériel arabe avant le 16 novembre", date à laquelle la décision de la Ligue arabe doit entrer en vigueur, affirme le texte. Cette délégation "serait accompagnée d'observateurs, d'experts civils et militaires et de médias arabes afin de s'informer directement de ce qui se passe sur le terrain, et de superviser, en coordination avec le gouvernement syrien, l'application du plan arabe". "La Syrie, qui a accepté le 2 novembre ce plan, y voit toujours un cadre adéquat pour remédier à la crise, loin de toute ingérence étrangère", selon le communiqué officiel de Damas qui avait dénoncé la décision de la Ligue arabe de suspendre la Syrie de ses travaux. La Syrie demande, enfin, au secrétaire général de la Ligue arabe, Nabil al-Arabi, d'"agir rapidement pour appliquer ces propositions".